Et hop.
Eleanor ...Cette tempête à un nom d'épée. Elle m'a réveillée vers quatre heures. Le vent sifflait par le velux resté ouvert. La pluie a pas tardé. Un truc bien dru. Un vrai grain d'hiver. Dehors deux trois bidules se sont envolés frappant les tuiles. Sûrement mes nains de jardin qui se sont mis au wingsuit.
En quelques minutes le concert des alarmes à commencé. Ils y en a qui ont le sommeil lourd. Où qui on perdu leur bip. Ça a sonné un moment. On est habitué, généralement le matin, c'est à peine deux heures plus tard le concert des sirènes, ambulances, polices. C'est à qui sonnera le réveil dans le coin.
Vers cinq heures il y a eu un répit.
J'en ai profité pour sortir Buck le chien. J'adore quand ça souffle un peu comme ça. Les poubelles bleus sont les premières victimes. Celles non calées le long des murs sont prises d'une sorte de vie par soubresauts. Elle se déplacent par à-coups avant de se vomir brusquement sur la chaussée. S'en suit une échappée de sacs plastiques, atteints de folies, comme si cette soudaine liberté leurs imposaient une ridicule course effrénée. Et ça se colle sur les clôtures, ça saute dans les jardins. Un dawa de premier choix.
En tout cas, je regrette pas mon nébo.
Du coup, avec tout ça, je me suis retrouvé un peu en avance pour prendre mon train. ça tombe bien c'est un peu le Binz aussi, pour changer. On est coutumier du fait. Tempête ou pas.
On ne pourra pas, pour une fois, accuser la vétusté des installations ou leur sous dimensionnement.
Un arbre a coupé la ligne K. Inutile de zoner sur le quai deux. Une tof pour vous montrer l'emplacement de la patinoire des jours de gel et je me rabat sur ce bondé de RERB. Je souris en croisant la pub de la Sneuf du quai 3. Vous êtes dans un espace vidéo protégé.
La belle jambe.
Voilà une journée qui s'annonce pleine d'aventures.
Je vous laisse, je suis un peu trop serré pour écrire sur mon phone et, on arrive enfin gare du Nord. Tiens j'ai oublié les vœux.
Une année qui démarre en tempêtes. Je ne peux que vous la souhaitez bonne.
Non ?
Eleanor ...Cette tempête à un nom d'épée. Elle m'a réveillée vers quatre heures. Le vent sifflait par le velux resté ouvert. La pluie a pas tardé. Un truc bien dru. Un vrai grain d'hiver. Dehors deux trois bidules se sont envolés frappant les tuiles. Sûrement mes nains de jardin qui se sont mis au wingsuit.
En quelques minutes le concert des alarmes à commencé. Ils y en a qui ont le sommeil lourd. Où qui on perdu leur bip. Ça a sonné un moment. On est habitué, généralement le matin, c'est à peine deux heures plus tard le concert des sirènes, ambulances, polices. C'est à qui sonnera le réveil dans le coin.
Vers cinq heures il y a eu un répit.
J'en ai profité pour sortir Buck le chien. J'adore quand ça souffle un peu comme ça. Les poubelles bleus sont les premières victimes. Celles non calées le long des murs sont prises d'une sorte de vie par soubresauts. Elle se déplacent par à-coups avant de se vomir brusquement sur la chaussée. S'en suit une échappée de sacs plastiques, atteints de folies, comme si cette soudaine liberté leurs imposaient une ridicule course effrénée. Et ça se colle sur les clôtures, ça saute dans les jardins. Un dawa de premier choix.
En tout cas, je regrette pas mon nébo.
Du coup, avec tout ça, je me suis retrouvé un peu en avance pour prendre mon train. ça tombe bien c'est un peu le Binz aussi, pour changer. On est coutumier du fait. Tempête ou pas.
On ne pourra pas, pour une fois, accuser la vétusté des installations ou leur sous dimensionnement.
Un arbre a coupé la ligne K. Inutile de zoner sur le quai deux. Une tof pour vous montrer l'emplacement de la patinoire des jours de gel et je me rabat sur ce bondé de RERB. Je souris en croisant la pub de la Sneuf du quai 3. Vous êtes dans un espace vidéo protégé.
La belle jambe.
Voilà une journée qui s'annonce pleine d'aventures.
Je vous laisse, je suis un peu trop serré pour écrire sur mon phone et, on arrive enfin gare du Nord. Tiens j'ai oublié les vœux.
Une année qui démarre en tempêtes. Je ne peux que vous la souhaitez bonne.
Non ?
Bonne année à toi, tes proches, ton toutou et tutti quanti ;)
RépondreSupprimerTriste sort pour certains arbres qui ont rejoint au paradis des leurs ceux de la cité des tilleuls et bien d'autres emportés par leur maladie ou celle des hommes.
La Roseraie a payé son du, j'en ai fait un article...
Touchons du bois, tant qu'il en reste pour que 2018 soit l'aube d'un renouveau ;)
Salut jean-louis. yep j'ai lu ton article, éléanore m'a tué et pour ce qui concerne les arbres dans le périmètre il semble que je ne sois plus Le seul à être inquiet de la secte des tronçonneurs, ce qui est amusant c'est qu' Aulnay Cap à mis l'image de la découpe du cèdre bleu de la gare, Disparition que je considère comme une erreur de l'ancienne mandature.
SupprimerIl était pour moi l'image de la place de la gare.
Et wouai, mais à leur décharge, on était pas au rythme de ces paysagistes maniaco de la tronçonneuse que l'on se trimballe dernièrement.
Ces collègues locaux de "pas CAP" n'ont pas de photos plus récentes ?
Comme celle de la nudité glaçante du départ de la route de Bondy ou d'ailleurs ?
Mais peut être leur 'REDACTION' ne crèche plus 93600.
Bref quoi qu'il en soit. meilleurs vœux en retour pour cette jolie année 2018.
Pleine de combats. Pleine de victoires.
bon la santé et quelques apéros avec des blogueurs en plus.
Les gens trop sérieux et qui se pensent importants sont lénifiants, non ?