J’ai jamais aimé laisser en tête de gondole mes notes de vieux râleur. Maintenant qu’il y a de plus en plus de chance que le grand cric qui croque me cueille au détour d’un chemin creux,
ce serait couillon que ma dernière note soit un vomito de bile lié à des actions de notoires incompétents.
Je dois me faire à l'idée : place aux jeunes.
C'est leur monde à eux désormais. Ils n'ont qu'à se bouger le fondement.
Je dois reprendre cette foutue retraite, prendre du recul, contempler, promener molly et éventuellement cuisiner.
C’est toujours bien ça, popoter libère la tête .
Voilà une jolie note de rien.
Je vais me poser plus loin regarder la mer.
Sur la plage . Pis tiens, faire une encoche de plus sur blog...
Eh ben ! Qué sé passa ?
RépondreSupprimerQuand on habite un si bel endroit avec une chienne d’amour et un bosco au top, on ne parle pas de cric qui croque.
Non mais !🙂
Hélène
Ha ha . Je sens la camarde arriver à dix lieues. Justement parce que je suis trop verni pour que la partie dure. Et que c'est dans l'ordre des choses, la logique de la nature.
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