23 décembre, 2015

завораживающее город

Partir.
Ça faisait un moment que j'avais pas bougé. Mais quand vous avez attrapé le démon du ruban étant mino,il revient toujours. C'est comme la cigarette. Après l'arrêt, des décennies plus tard vous avez toujours la tentation au détour d'une occasion.
La clope je cède plus, mais le sirop de la rue,le plaisir de voir d'autres lieux, d'autres vies, d'échanger, impossible.

Hiver sans froid, hiver d'effrois. Je suis un curieux, me voila donc parti dans le grand nord. la c'est mon bateau. nan! je déconne.
Une ville de six millions d'habitants.
Et à peine débarqué,j'en ai été envoûté... Happé.
Pas un papier par terre. Pas un mégot. Un métro rapide, sans vitres rayées, ou un jeune c'est levé spontanément pour laisser ce poser une grand mère.


Certes ce n'est pas le paradis. Une autre grand mère voutée qui chantait comme piaf dans une ruelle sombre par moins sept me l'a rappelé. D'ailleurs en rapport de chez nous, beaucoup lui donnait.
La charité,c'est ceux qui ont le moins, qui donnent le plus souvent, non ?
Et puis,être plus dérangé dans un fabuleux musée, par les nombreuses classes d'élèves en vestons  qui piétinent d'impatience pour voir les œuvres à gommé le malaise.


En parlant d’œuvres , avec qui je papotai l'autre jour, qu'une jeune fille voilée , quand ce n'est pas excessif comme cache minois, peut être charmante, mince je perd la mémoire me souviens plus. ;.)


Mais jean-baptiste Santerre a capté les yeux de cette jeune femme de mille seize cent seize, bigre.
bon.
Peu de neige aussi ici.


L'absence de froid perturbe la nature. les Ours deviennent agressifs.
les gens leurs portent donc de la nourriture pour éviter les incursions dans les villages.
Ha l'ours russe même burger king ici l'incante sur les trottoirs

À ce propos, finissons en ! .Je ne vous dirais pas ce qu'ils pensent tous de leur natif pays,l'ours Vladimir, c'est largement à l'opposé de ce que l'on entend ici.
Mais revenons à Saint Petersbourg. En si peu de jours, j'ai navigué de long en large. Impossible de mettre la main sur la maison de Dostoïevski. sûrement un sort de mauvais Goux. À chaque coin une nouvelle découverte, donc à force de courir les lettres cyrilliques des plaques, je l'ai loupée. Cette ville à un charme fou.
Et partout de l'histoire !

Ce qui m'a le plus étonné c'est cette jeunesse immense et joyeuse dans les rues. comment dire.
Motivée.
Ha ! Si jetais un blogueur de trente ans, ou de moins trente ans, diable que les filles sont jolies.

je vous met quelques photos, pas des belettes, du patelin. Bande de gros sales.


Difficile de résumer.

Et ces moment uniques.

Cela tiens parfois  à quelques instants surréalistes. Comme dans le bar de cet hôtel à l'aménagement pré pérestroïka,  marbre et acajou, ces trois vigiles en costumes gris anthracite et qui délaissent la surveillance du portillon pour mater en loucedé sur la télé du coin Rambo en russe.
Ou tout ces Q7 et autres Porsche Cayenne très loin de respecter la limitation, que j'ai rarement vu ailleurs en si grand nombre d'ailleurs, qui pilent dès que tu met un pied dans les clous.
Ou les chats croisés, discrets,mais vénérés.

Ou après cet étonnant redoux pendant la nuit,de moins dix à six, la chanson de tout ces pneus cloutès dans les embouteillages.
Ha les embouteillages, c'est pas pour rire. Des avenues large comme le périf, et blindées. Quand je pense que des demeurés chez nous voudraient plus de voies pour les voitures. Qu'ils viennent naviguer ici, tiens.


Et l'étendue ! Les gens trottent c'est impressionnant. Je me suis fait aux portiques, ceux du  métro, ceux des magasins, et ces myriades de caméras partout.
D'ailleurs, Inutile de tenter de passer à côté deux baraqués en treillis neige (je sais où certains 93600 se fournissent #privatejoke) veillent au grain.
Well, mes amis blogueurs qui ne jurent que par la grosse pomme,si surannée et prévisible, devraient tenter le voyage. Le parallèle avec le New York foisonnant des seventies est facile.
Voila, voilà pour l'envoûtante St Petersburg, место быть .Trop swag.
Mes guibolles rendant l'âme, je n'ai pas eu la patate pour sortir jusqu'au bout de la nuit,ce que j'aurai du faire in Prince Georges memory. Mais ce n'est tout de même pas une note sponsorisée. J'ai pas touché un décilitre de  Kremlin Award pour ce flot de gentillesses.

Pour les gens qui trouvent, ou trouveraient qu'avec ce gribouillis je suis pas dans le bon sens du vent. je leur rétorquerai que les pirates son entrainés depuis mousse à pisser face aux éléments,

qu'ils révisent donc la bérézina et ces différents échos ces formatés du discours, tiens.

Il suffit.

Allez bonnes fêtes les gens.


10 commentaires:

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    1. Ben oui. Complètement sur ce coup la. Merci du passage Nicolas :.)

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  2. Sur la deuxième photo, j'ai cru reconnaître le voilier.....
    Un des plus grand au monde qui avait fait escale à Sète où je vais de temps en temps.....Les marins russes avaient sorti vodka et harengs...
    Bonnes fêtes, pirate.

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    1. Oui jean-louis on dirait bien le krusenstern, l'un des plus grands quatre mâts en activités. Mais ma vue n'est plus si bonne. C'est comme l'hiver, tout fout le camp.
      Pareil je te souhaite un noyeux joèl et pleins d'attentions. Pour la vodka, il semble que ce ne soit pas la boisson la plus répandue dans les bas fonds ou je me suis posé. La mondialisation est aussi passée par la. Mais ils ont une mousse qui tient le comptoir :.)

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    2. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    3. On devrait pas écrire si tôt on oublie le caviar de cette affaire de vodka et de pirate. Figure toi qu'en revenant au terminal un, je suis tombé sur ton épistolaire correspondant préféré sur un autre site Aulnaysien, qui baisse d'ailleurs, pas le commentateur,le site.
      Bref, je me suis dit avec ce gaillard, adieu veaux vaches cochons, mon compte etait bon. À moi l'étalage de mes caleçons douteux devant le flot des touristes revenant de Bangkok ou de tatawin les bains.
      Mais la chance appartient aux flibustiers.
      Le diable ne m'a pas calculé étant en grande discussion, monologue ? avec un de ses collègues. À premier vue il aussi volubile que prolixe dans les commentaires.
      Voilà pour la petite histoire ;.)

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    4. Je ne me rappelai plus le nom de ce majestueux bateau....A Sète, il était accompagné d'un autre presque aussi imposant.
      En ce qui concerne ta rencontre, c'est pas très professionnel de sa part... ;)

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    5. Mais non, cela montre que je suis toujours un excellent flibustier ;.)

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  3. Réponses
    1. Oui j'ai pensé à tes montagne en survolant la suisse. Je suis passé par zurich, j'avais rendez vous avec Lindt ;.)
      C'est bien bien haut la neige cette année. Personne ne semble flipper plus que cela de ce petit dérèglement.
      Cela me scotche et me fait penser au tsunami. La mer se retire loin, elle qui ne bouge jamais, et tout le monde est enchanté de découvrir ce nouvel univers de rochers et cette longue plage de sable.
      Personne ne regarde au loin cette écume qui frise sur l'horizon.
      Breuhhhh....

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Allez y causez !
Avec le renouveau des trolls qui se la racontent, je modère systématiquement, normal ,je suis seul maitre à bord.
Donc ceux qui ne savent pas se tenir vont à la planche direct..