Avant dernier jour de l'année . C'est un marronnier ici. L’anniversaire de ce blog.
Dix-neuf ans. Pitin !
Créé quelques jours après celui de Nicolas mais bien après le Faucon et aussi ce ‘En éternelle convalescence’ que j'ai découvert depuis peu.
Pour le ternet , Twitter ne sera créé qu’au printemps suivant et Facebook ne sera disponible pour tous que fin de l'année suivante.
Le moyen âge non ?
Ça paraît bien loin. J’avais été inspiré par un blog local à l'époque, blog d'informations toujours indépendant, libre et affuté.
Au fil des années, mes notes sont devenues elles, plus personnelles, pour finir par n'être que sur mon nombril.
Je me m'efface petit à petit de cet internet ou je me suis quand même bien éclaté.
Mais en retraite cela semble logique.
Chaque période de la vie a ses plaisirs.
Bien différents désormais.
Beaucoup plus IRL. Il m’arrive d’oublier mon téléphone et je ne touche le PC que rarement.
Quand même, bon anniversaire petit journal.
Il y a tellement de pages que j’ai oubliées et que je feuillette de temps en temps.
Sinon voilà dix ans que je repousse ta note de clôture, active mais antidatée, elle viendra bien assez tôt, Non ?
A moins que dieu Google, qui retire régulièrement des produits, ne zigouille ce vieux grimoire.
A suivre donc.
Bon, la photo de tête de gondole n’a presque rien à voir avec cette note. Le périph en 2005 était à 90, grâce à saint Anne, pas celle de bretagne, celle de Paname, il est passé à cinquante en 2024. Pour une fois qu'une chose augmente pas en dix neuf ans . Je la nomme comme cela, Mame Hidalgo, parce que les bouffons n’ont rien vu de son taf de transformation en ville moderne de Paris. Les mêmes réduits du bulbe qui ont râlé pour le centre d’art moderne de Pompidou ou la pyramide du Louvre de la Mite, en leurs temps.
Curieusement on les a moins entendu pour le musée d’arts premiers de Chirac, qui lui, ne s'est jamais remis de son service national, hein ! On risque pas de les esgourder non plus sur le bracelet électronique du vilain petit Nicolas.
Mais revenons au périphérique.
Ce samedi matin, en reprenant cet axe, j’ai pu mesurer le bonus de cette baisse de vingt kilomètres par heure.
Circulation fluide. Là où je queutais il y a dix neuf ans, même pas vu le parcours. Les politiques d’un autre temps doivent bouffer leur galure, ça fonctionne. Et en plus le premier bilan semble positif.
Comme quoi, j'ai encore mes queunottes qui sortent encore de temps en temps. La pleine lune est passée pourtant.
Allez on se retrouve en 2025, si le bouchon me pousse jusqu'à la.
@+