19 mars, 2025

Cinq ans ? vraiment ?

 


 Il y a comme une chaîne dans les blogs que je lis dernièrement sur la date des cinq ans du confinement.

Je n’y aurais pas pensé si on ne m’avait pas soufflé, donc je ne suis pas seul, smiley.

Je me demande pourquoi cette piqûre de rappel, cet anniversaire bizarre, c'est le cas de le dire, si ce n’est pas une petite promo pour le i-manuel de survie promis par notre président.

Vous savez comme les petits vieux yoyottent. Dans ce qu’il me reste de comprenette, ce COVID n'était qu’un épisode de plus à cette petite vie de yin et de yang. Juste derrière le service National, et bien après mes années lycée dont on célèbre demain l'arrivée du Courlu, qui tape plus d’un demi siècle de célébration.

Quoique comme beaucoup, ma vie à basculée depuis. Je me suis décidé bien qu’en rab de quelques années de cotisations à prendre ma retraite.
J’ai aussi déménagé suite au second passage du confinement.

Et surtout, vu la vague de complotistes et autres grands amateurs de rumeurs, je ne loupe plus une vaccination, moi qui tremblais depuis toujours sur les piqûres.

En fait j'ai presque tout oublié du confinement, heureusement qu’il me reste une pile de notes  , ça s'appelle surement cela, vieillir heureux.

Voilà demain c'est le courlu, enfin le printemps !
Carpe diem les loulous .















18 mars, 2025

Aout trente quatre



J’ai juste le temps de poster une vieille photo ou deux.

A deux jours du Courlu, je trouve qu’un petit tour sur la côte d’azur en 1934 avec le tonton René c’est tendance

 
la promenade des anglais. Elle me semble moins large aujourd'hui. Tiens toujours à Nice , la plage et le casino. je vous en ai déjà causé, le tonton semblait un peu joueur. je le remet pas le casin. déjà quand mamy Marianne m'emmenait tout mioche pour les kansseva de Noël il était plus la.


Allez ! On file a sainte Maxime, tiens la plage. On est Aout trente quatre. ça cogne.


Une autre vue de cette plage


On va filer a Juan les pins , il fait peut être moins chaud au casino


Non, un petit tour sur la promenade, on attrape le maillot dans la tire et hop on se jette à l'eau








Allez hop retour vers l'hôtel à Cannes


l'hôtel victoria

 
on se change et on file par la rue d'Antibes au port





Demain on prend le bateau en tête de gondole pour rejoindre les iles saint Honorat




14 mars, 2025

les bernaches en shopping

 


Souvent, mes notes d'hier partaient d’une photo.
Quand je lis ici ou aujourd’hui j'étais déjà dans le mouve.

En passant par Paris Nord II hier a la recherche d’un 712 slim pour madame, nous n’avons pas toutes ces facilités shopinguestes dans notre nouveau repaire, bref en barrant en maraude, je suis tombé sur ce couple de bernaches au feu.

Tranquille mémère, je traverse en remuant du croupion à la vue de l’herbe fraîche au pied du feu rouge.

L’espace d’un instant, l’espace d’un instant SEULEMENT, comme chantait Brel, je me suis parachuté dans un film de Miyazaki.

Le temps à ralenti, enfin c’est étiré, le feu rouge semblait anormalement long et je ne quittait pas des yeux dans un zoom bizarre, madame entrain de déguster l’herbe si verte de printemps au pied du mobilier urbain.

C'est un signe , mais lequel je n’ai pas encore la solution.

Le temps que je décroche mon téléphone du Waze pour prendre la photo du jour, le feu est passé au vert et les furies de boîtes en fer blanc derrière moi on remis tout de suite chronos à sa place.

Voilà si vous avez la solution pour ce présage faites moi signe, c'est le cas de le dire.

Ma virée parisienne se termine, me laissant un peu sur le carreau, la fatigue c'est plus ce que c'etait. je vais tenter une aventure, redescendre ma Beetle sans contrôle technique depuis cinq ans. Une vidange et un filtre, niveaux vérifiés, ainsi que les pneus. A vingt six ans pour une tire, ça lui fait presque le même âge que moi. C’est comme les canis on multiplie par sept. J'écris cela pour exorciser le voyage, les pirates étant de base, des gens très superstitieux.

De toute façon cela va faire une note complémentaire , comme celle de ma cent, je suis un bon gros macho d’automobiliste-cycliste, c'est pas incompatible, j’aime ma ferraille.

Bon dredi 

@+  si dieu platane me prête vie !

 


12 mars, 2025

Vive les liens

 


 J’ai décidé de me poser un peu. Quand je suis en déplacement downtown comme cette semaine, je cours trop. J’ai une liste de tâches bien classée , deux par jours et pourtant j’en rajoute sans discontinuer.
Je me demande si je suis pas un hyperactif qui s’ignore.

Bon ça va un moment, l'âge me rattrape et je dois me poser à un moment, souvent l’aprèm. La machine renâcle. Je respire un peu sur le canap et je m’enfile un vingt cinq de wasser sirop de violette. No comment, je sais, je deviens sage.
J’attends que la respiration reprenne un cours normal et que ma fatigue disparaisse. 


 

Le chat mochi regarde par la fenêtre, puis se roule et s’endort. Il n'est pas habitué à avoir autant de mouvements la journée.
Donc je blogue à ce moment, puisque c'est reposant.
Je pensais que les blogs étaient  has been avec tous ces réseaux qui ont envahi le paysage internet.

Ben, je m’es gourré.

Un petite nouvelle, récemment ajoutée dans ma blogroll, a mis quelques liens sur une de ses notes.
Comme j’ai du temps quand je ralentis, j’ai suivi les liens.
Ha les liens comme disait Nicolas, y a que ça de vrai.
Donc je suis tombé sur des notes sympa, avec des blogrolls , donc j’ai continué cahin cahan a dérouler la pelote.
Oui, les blogs sont bien vivants. Ces jeunes écrivent tous les jours, se font des chaînes, commentent.

Incrédule, je suis resté.

Je les rajoute donc petit à petit dans ma liste de blog. Et mon reader est content aussi.
Voilà.
Une petite note de canap, vite fait.

Vive les blogs.


Hop @+



04 mars, 2025

Empaillé comme un goupil.

 


Je venais de m'arrêter là pour mettre dans ma boîte à images un cliché pour le blousquaille.

C’est ma seule participation désormais aux réseaux sociaux. Une photo par jour, et encore  les jours ou je zappe pas.

En me retournant pour rejoindre mon paquebot que j’avais garé sagement à l'entrée d’une impasse, j’ai vu le panneau ‘pas de déchets sauvages’. Dans un coin de nature aussi perdu, je me suis dit que les vandales poussaient loin.

Jusqu'à ce que mon oeil ne soit attiré par un regard fixé sur moi depuis le muret. Une tâche orange.le temps que mes mirettes focalisent, j’ai mis deux secondes à comprendre qu’il n'était plus en vie. Un déchet sauvage du siècle précédent . M'étonnerait qu’il y ait encore des taxidermistes dans le périmètre.  Ha...qu’il est laid, mais quel vandale à été assez culotté pour mettre ce déchet sauvage de goupil la ?


Finalement l'idée m’a amusé, je me vois bien tout taxidermé, momie plantée au milieu d’un bois  pour faire fuir les chasseurs. Comme si j’y étais tiens, le sursaut de l’homme habillé fluo, avec son nez tout rouge et son œil torve, puis le choc de la chevrotine pour se venger de sa frousse.

Mais en tant qu'embaumé, je pourrais aussi me rendre utile, j'ai lu ce jour qu'il ne fallait pas mettre un mannequin dans sa voiture pour utiliser les voies de co-voiturages car les nouveaux radars, grâce à l'IA, dédectent la supercherie. Si vous voulez évitez les 135€ vous pourrez me poser sur le siège passager.

Et même me coller un sent-bon bagnole , style sapin vert, sous la casquette, si vous trouvez que je renaude trop la paille humide. J'insiste ça ne me dérange nullement, ça me ferait mème plaisir, continuer à faire des niques à la  prevoté.

Voilà, de quoi faire une note de rien sur Mars. Remettre la machine en marche car ma cosse me désosse dernierement, vite fait, en attendant le retour du  printemps, courlu . 🤟🏼