20 octobre, 2025

Meilleurs que Lupin.

 

Franchement depuis hier toutes les actualités bourdonnent du casse du Louvre.
Casse du siècle à n’en pas douter. 

Pas par la valeur, mais pour le temps de réalisation. 
Quatre minutes in vitro, sept minutes en tout.
Sans arme, ni haine, ni violence comme aurait dit Albert.
D’ailleurs je me demande si les commanditaires ne sont pas de la même veine, pour Bébert c’etait l'OAS, pour ceux-là sûrement des néo royalistes qui relèvent un peu trop le cou dernièrement.
En tout cas, c'est un joli coup, pour faire une rime.

D’abord sur le côté inventif. Vingt sur vingt.
Pareil pour la rapidité. 
La maréchaussée a du taf. 
Mais si ce n’est pas Lupin, ni Spaggiari c'est forcément leurs petits enfants. 


Bon je ne pleure pas sur le côté bling bling de la dernière reine comme je l'ai entendu ce matin à la radio.
Pour moi la dernière reine DE FRANCE fut Marie Antoinette. Faut dire que j’ai appris l’histoire de France à la communale laïque, avec encrier et plume sergent major. c'était donc avant qu’elle ne soit révisée par le fou du Puit et consorts.
L’Eugénie de ce parvenu de briseur de république de Napoléon III ne me semble pas si reine que ça . je comprends même mieux que du bout laborieux de son deuxième mandat notre omniprésent président se soit prononcé sur cet évènement.
Rêve-t-il d’un second empire bis, une saison DEUX ?


Sur le poste,  j’ai vu les EXPERTS, ils envisagent deux solutions 

  • la revente à un collectionneur ? (mais qui collection du second empire ? )
  • la découpe et refonte.

ils sont aussi experts que moi je suis une pointure sur la légende noire qui entourait Louis-Napoléon. Je me fis pour ça, à ce qu’en pensait Victor Hugo, un expert lui.


Messieurs, il y a aussi les assurances. 

Dans le cas d’un musée public les œuvres ne sont pas assurées, hors transport , l'État étant son propre assureur. Dans ce cas, la négo risque d'être serrée.
Nos as de la carambouille ne sont pas des amateurs en oseille, eux. Pas du genre a niqué un budget en cinq ans.


Ils ont oublié cette option les zéxpairs cambriole du poste.
Allez, chapeaux les empereurs des montes en l'air.
Très professionnel. 
Voyons voir maintenant si la police scientifique et toutes les caméras de la vidéo protection, dont on nous vante l’efficacité de la sécurité  tous les jours, vous coincent aussi rapidement que vous avez opéré.
Je voulais mettre une photo du Louvre et de sa pyramide venant de mon flickr. Mais damned !


Flickr c'est fait braqué aussi ,  a moins qu'ils soient hebergés chez AWS du fameux amazon qui a pris cher lui aussi aujourd'hui. 

Ma pov' mam' Michu le ternet, comme les bijoux d'la royauté, fout le camp !

17 octobre, 2025

Et deux toiles, Deux.

 


Courte pause non ? 
Bon je suis de retour pour me la péter critique cinéma. 
Il y a quelque temps que je n’ai pas ramené ma fraise sur ce sujet. Même quelques années. Bon là je me suis fait deux toiles, en plus, deux jours de suite.
Le premier jour, un film léché au niveau des images, mais alors un scénario à la IA, une compile de tous les Bessons grande époque, mais pas de lui, bref avec un clébard et une marque de pastis dans le titre , un truc juste bon pour les plateformes de streaming.
Mais…
Mais il y avait avant la projection la bande annonce pour le film du lendemain.
Une bataille après l’autre.
Ce qui s’appelle avoir l’eau à la bouche en 3 minutes. Dicaprio, Penn, Del Toro.
Bon cent soixante deux minutes sans temps mort. 

Une histoire bien fagotée. Et des acteurs au top. Ce film est parti pour être LE film de l'année. 

Je suis pas le seul à l'encenser,  Scorsese, Coppola ou Spielberg on déjà dit tout le bien qu’ils en pensaient. Je vais donc faire un spécial guest pour Sean Penn qui mérite la, un Oscar de l’interprétation. Ils sont tous bon. Mais lui, est juste ‘Incredible’ pour jaspiner ricain. 
Voilà, sortez de votre zapping Netflix pour un soir. Courrez voir ce grand film. il colle tellement a l'air du temps.

En VO si possible. 


12 octobre, 2025

konnedé veugrâ



Ce blog est donc en pause, quelques jours pas plus, forcément, je suis un incorrigible bavard...

Mes dernières notes étaient creuses, voire chiantes ou à chier c'est selon.
Et puis mon verbe, après mes foutues jambes lourdes et ce souffle qui barre en sucettes, prend cher. Il y a des mots que je ne trouve plus, ou des moments que j’oublie. La tête et les jambes. ça konnedé veugrâ.
Le vertige de la page blanche va l’emporter un moment. 
J’ai dû décrocher mes feng shui ce matin, le vent s’est levé cette nuit et elles ont chanté toute l’aube.
Le signe étant là ,je vais regarder l'océan assis sur le granit, en faisant mes pauses, pendant la sortie de Mô et mon ramassage des plastiques..
Je vais continuer à vous lire, n'ayez crainte, mais je n’ai plus la force, clairement, de griffonner une vie aussi simple.
Prenez soin de vous.

Ce blog est donc en pause, quelques jours pas plus, forcément, je suis un incorrigible bavard...

09 octobre, 2025

#IWAK 9 HEAVY

LOURD.


Le mot IWAK [inktober pour blogueur] du jour. Ça tombe pile non ?  Je trouve que je deviens lourd avec mes cent vingt mots par jour. 
LOURD je suis. 
D’ailleurs on me l'a clairement dit IRL hier, je ne parle pas. Taiseux âpre que je suis devenu. J'écris presque plus que je cause. C’est un peu accablant pour les autres. Il faut dire qu’il n’y a pas que moi à être irrespirable, le monde tourne pénible, étouffant lui aussi. Entre les guerres, le réchauffement, la politique, les religions, tout est dans le même sac de ce mot.

HEAVY

 Le pompon du jour etant l'editeur blogueur et son crayon magique qui vous 'colle' des liens, du lourd la encore, partout dans votre texte. J'en ai modifié un ou deux mais je vous les laisse en exemple .


Pour ne pas être plus balourd que tout ça, je vais peut-être faire une pause ici, les chaînes c'est pas pour bibi.
Redevenir désinvolte avec mes cailloux au fond des poches, le vent et mes souvenirs.

08 octobre, 2025

#IWAK 8 IMPRUDENT

Imprudent. Voilà bien un mot que j’ai pratiqué.
Pensez donc, ma génération fumait des P4 ou des gitanes maïs, en conduisant dans des voitures sans ceintures, ni contrôle technique. Cela passait d’ailleurs fortement le prix des bolides avec lesquels nous faisions des têtes à queues à grand coup de freins à mains.

Risque-tout , quelle idée . 

Cela collait au mot jeunesse. Le plus jeune chien fou de la bande lançait un défi, hop à qui mieux mieux, qui suivrait.

La période mobylette ou le casque n'était pas obligatoire, ce qui permettait de sentir le vent dans nos crinières, fut sûrement le summum de ce mot. 

Évidemment en vieillissant la peur de se faire MAL s’installe, on appelle ça devenir responsable. Vous ne me ferez pas avaler ça . C'est la trouille oui. 

Quels souvenirs cela laisse à ce vieux monsieur devenu,  d'avoir été un peu casse-cou et téméraire ! Des flash back de fous rires en vu tu en voilà. Surtout le regret de cette adrénaline d’insouciance. 

On n’a qu’une vie, il faut forcément être imprudent, c'est la porte du destin des audacieux. 

07 octobre, 2025

#IWAK 7 Étoile de mer.

 


Étoile de mer. Le mot de l’inktober du jour. 
Quand j'étais mino, on en levait tous les deux mètres de plages ou de rochers. Maintenant c’est plus les petites méduses. Translucides blanches ou rouges, des centaines de témoins du réchauffement.
En 2025 je n’en ai vu qu’une de star de l'Atlantique.


Sur la côte sauvage, un marmot en avait ramassé une grande comme ses deux mains. Un adulte qui passait après la lui a gentiment demandé de la remettre dans le trou d’eau du rocher jusqu'à la prochaine marée .


Non désormais on n’en trouve plus qu’en copie dans les magasins de souvenirs ou de décorations comme en tête de gondole. 


Au figuré, il y a aussi tous ces croûtons dorés que l’on peut voir sur leurs serviettes de plage on ze border l'été . C’est aussi une variété d'échinodermes à n’en pas douter. Pour l’instant j’ai échappé à cette manie de faire l'étoile de mer. Pis, je suis un peu trop abîmé par ma déjà longue vie pour mettre en avant mon physique psoradié. 

Voila demain est un autre jour, où mot pour l’inktober. Profitez donc de l'été indien et son soleil.. 
Faites donc l'asterie. 


06 octobre, 2025

#IWAK 6 PERCER

 


Percer,  c'est le mot de ce six octobre dans l’inktober pour blogueurs. Un lundi c'est pas trop le jour où on a envie de percer. 
Si j’avais été chanteur ou artiste j'aurais sûrement aimé cela, percer. Être reconnu, avoir des tables au restaurant sans réserver. Mais c'est pas trop mon trip les zotograffes. Je suis plutôt à passer incognito, transparent, ectoplasme. 
Après percer, si j’avais été marlou, ça aurait pu être une branche ou je me serais éclaté, si j’étais un peu plus bâti. Mais travaillez en sous sol, même si on est considéré comme un as de la carambole ou pour passer à la postérité comme Spagiari, ce n'est pas trop mon truc.
Je suis en train d'écrire cette petite note, quand un bruit bizarre attire mon attention. En levant les yeux je vois une feuille en chef, sûrement du cerisier, suivie des petites de l’olivier tourner frénétiquement  en rond sous la table de la terrasse, ce sont elles qui produisent ce bruit si étrange de papier de verre. Un reste de la tempête Amy.
Voilà un mystère de percé.
Je vous laisse avec celui de la roche dite percée.
@ demain, si je me fait pas trouer, d'ici là.

05 octobre, 2025

#IWAK 5 CERF


 Le cinquième jour du iwak tombe sur le mot Cerf.
Voilà qui me facilite la photo en tête de gondole, j’en ai un dans ce qui me tient lieu de bureau. Un héritage de grand-mère Marianne, quel joli prénom, ou j’accroche dans ses bois tout un tas de trucs inutiles, ou que je ne veux pas perdre, comme mes clefs.
Sinon, il y a quelques années,  je suis déjà sorti, avec ma bande de pieds nickelés du horse ball, écouter le brame de l’animal vers Ermenonville. Mais on était pas vraiment équipé, il s'est mis à pleuvoir, ça c’est fini à la pizzeria.
Non c’est sur l'île de Miyajima ou la version nippone de ces cervidés m’a scotché. Les cerfs la bas se baladent en ville où ils sont même une sorte d’attraction.


Ils font fi des humains, se baladant partout. Je me rappelle d’un qui dormait sur le paillasson d’une boutique. 
Cette île était spéciale, et pas que sur les sika, cette variété de cerfs japonais. Il y avait aussi d'immenses huîtres qui se mangeaient chaudes et semblaient très en vogue dans les restaurants.
Un joli coin avec un magnifique torri.


Dans mon lieu de villégiature actuelle, c'est plus le chevreuil qui prédomine . Pour l'instant, il ne rôde pas encore en ville, juste sur les plans du maraîcher qui apprécie moyen. Ils sont arrivés dans le périmètre  pendant le COVID et se plaisent dans les maquis de ronces et de prunelles.


Voilà pour le cerf
Jour 5 d’octobre. 
@+



04 octobre, 2025

#IWAK 4 MURKY

 


Trouble, le foutu mot du jour, dont je préfère la version rosbeef, Murky, qui est plus sombre.
Tout de suite j’ai pensé à cette jeunesse dont l’avenir est si justement murky, et qui se rebelle en ce moment violemment un peu partout dans le monde.
Ils ont adopté le drapeau de Luffy et l’affiche dans leurs luttes pour un avenir meilleur, ou simplement moins trouble et juste plus digne.

Ces couleurs ont flottées il y a une ou deux décennies, j’ai du mal avec chronos, dans mon coin de banlieue. J’avais récupéré un mât de quatre ou cinq mètres en pin. Je l’avais bondexé et y avait affiché les couleurs.
En ces temps-là on était au début du manga, dont le mousse a presque la collec complète. Dans ce coin du neuf cube, un peu entre guillemet ‘bourgeois’, car composé de maisons individuelles, cela avait choqué. Un couple de retraités voisin s’en était enquit par-dessus la haie quand je passais la tondeuse.

  • Mais qu’est ce que cela représente ? 
  • Vous le laissez tous les jours ?

Il faut dire que leur salon donnait sur mon jardinet

  • C'est le ralliement des pirates et oui, je le laisse au vent.

Ils m’on pris pour un illuminé.
Mais l'histoire m'a rattrapé. 
Dommage qu’elle ne m'ait pas écoutée pour le second tunnel gare du Nord. Car dans le RERB l'avenir est toujours aussi trouble, ou sombre , comme vous voulez.


03 octobre, 2025

#IWAK 3 CROWN

 



Couronne ou crown. Le mot du troisième jour de ce mois d’octobre qui vire automnal ce matin. Il drache sa reum, comme on disait avant quand j'étais tout petit, au milieu du siècle dernier.
Mais ayé je m'égare,  je digresse veugra.
Revenons donc à notre Iwak.
Il n’y a plus de têtes couronnées chez nous. Comme Didier n'est plus là, je n'aurais pas de commentateurs pour venir me contredire sur le fait que c'est une bonne chose tout de même.
Le droit divin, y a divin dedans, c'est des cracks pour endormir le cave.
Je sais bien qu’il y a plein de nostalgiques de la couronne, à voir la fréquentation du fou du Puit, mais voyez vous , un de mes livres de chevet  ado fut le quatre vingt treize de Victor Hugo et je suis donc, plus Républicain que tête couronnée.
Donc pas de couronne dans le périmètre. 
Pour bibi Crown c'est un super whiskey que j’ai tapé largement, quand j’en buvais encore de cet excitant breuvage, au Canada un hiver où il faisait encore froid, si je me souviens bien, et où j'usais mes guêtres dans des collines au sud de Trois rivières. Donc si y a des amateurs de sky dans mes lecteurs, c'est donc une note de placement de produit pour ce breuvage de nos cousins Canadien.
Perso, le squaille j’ai arrêté il y a bien trente piges après quelques épiques aventures dont je serai bien incapables de vous compter le moindre bout. 
La chaleur antillaise, la douceur et le parfum de son rhum m’ont convaincu de lui attribuer la couronne du meilleur breuvage de pirate de ce petit monde qui barre en sucettes comme la météo ce matin.
Voilà pour la couronne de ce jour.
A demain, si vous le voulez bien, comme disait si bien celui qui avait la couronne des jeux radiophoniques , Lucien jeunesse.





02 octobre, 2025

#IWAK 2 Tisser

 


Tisser. 

C’est le mot du jour, un iwak du 2 octobre qui me laisse perplexe.
Je ne suis plus vraiment à tisser des liens avec mes contemporains. Je vire ermite. Ermite à chien, dans l'échelle sociale c’est tout juste en dessous de punk à chien. 

De tisser j’aurai pu prendre en photo la magnifique toile sous la fenêtre de la chambre où un monstre jaune et noir ne bouge pas d’un poils de ses pattes quand je me penche vers elle pour fermer les volets. 


Non, je ne me suis pas senti vraiment habité par ce verbe.



Jusqu'à ce que je lève la tête . 
Le ciel d’automne était entrain de tisser une longue écharpe cotonneuse de boules de minuscules cumulus, c'était assez joli, je me suis voilà tisser mon iwak du jour ...

01 octobre, 2025

#IWAK 1 Moustache


Donc c'est le retour de l’iwak, en ce joli mois d'Octobre. La version inktober pour les blogueurs . Toutes les propositions sont ici, ou la. Bon c’est les mêmes liens, mais c'est l’heure du ty punch, c'est l'été indien, et j'ai la flemme de chercher.
Ça tombe à pic, je suis en rade d’inspiration sur 2025 pour ce foutu blog.
Ça commence par "Moustache". 
Bigre diable.
Alors forcément moustache c'est l'arrière grand père louis
Il serait furieusement tendance aujourd'hui avec son petit bouc et ses rouflaquettes. Bon c'était avant quatorze, après il a plus que porté la barbe. j'ai son livret de marin sur le Pothuau, il faut que je le place ici au lieu de glander dans les chemins creux à lever des chevreuils. 


Ce matin c'était un jeune de l'année, il n'avait pas encore de moustache, ni de bois. Il a disparu dans le massif de prunelles avant que Molly ne le calcule., un peu à la mode du mème d'Omer Simson, 


  Sinon j'étais pas bien barré, cette princesse est DIANE chasseresse, elle part en vrille et n'écoute rien.

 Bon, dans le port de la moustache, il y a moi aussi avec ma casquette réglementaire, juste après que l'on m'ai coupé les douilles du dessus.

 Pendant presque six mois, ou un an j'ai gardé la barre sous le blair..
Ce qu’il y a de bien c'est que j’ai viré toutes mes photos papiers des albums, dans un pochette craft. C'est plus facile à retrouver.

Voila, j’ai rempli le premier #iWak. 

Vais je tenir tout le mois ?


#asuivre

29 septembre, 2025

l'odyssée de Jim & celle de Nico.

 


Je voulais écrire sur ma monomanie de lecture des œuvres de Jim, Harrison je veux dire. Comme le vieux en son temps. C'est chez lui que j’ai pécho le terme de monomanie. Là je viens de finir ‘une odyssée Américaine’ un road trip au states d’un sexagénaire dont la vie est chamboulée , vous pensez bien que j’ai pas débandé avant le dernier état traversé. Bon tout ça sort d’une boîte à livres somme toute assez jolie, il a bien fallu que je me rabatte chez le libraire, je peux pas rester sans lire et la médiathèque est fermée le lundi. 
Bullshit ! comme il aurait dit l'ecrivain, il n’avait pas sur les étagères le 'Wolf' que je ciblait. Je me suis rabattu sur ‘Sorcier’ qui va bien me faire la semaine, je n’ai pas de trajet en TIGIVI prévu et je lis désormais avec de longues pauses, dû à cette saloperie de portable. Je devrais faire comme le vieux héros de son odyssée ricaine, le coller au fond des chiottes.
Mais je ne vous spoile pas le kinbou. 
Puisqu’on cause odyssée, ne voilà pas qu’un événement cette semaine me force à sortir du bois.
Sarkozy. Monsieur Sarkozy, excusez, s'est fait serrer. J'aurais pas pensé que les juges étaient aussi burnés. Bon, à son âge c'est du lourd.
Prendre cinq piges, en zonzon, même si tout le monde sait qu’il ne les fera pas, c'est couillu.
Eparpillé façon puzzle le naboléon, comme aurait dit mon défunt et regretté pote un peu gauchiste, Mowgly.
Il aurait adoré voire ça. Rien que pour lui, j’en cause ici. 
Par contre ce que j’aime pas , mais alors pas du tout, c’est que cet ancien président, se la ramène contre la république en jaspinant que 
l'état de droit à été violé. 
Je suis pas sûr que jouer les vierges effarouchées à son âge, ça va prendre. Peut-être sur une madame Michu ou deux dont le cerveau a été lobotomisé par Hanouna.
Mais bon si j’ai dit que je ne parlerai plus ici de politique, je peux toujours jaspiner malfrats. Un keum qui négocie du pognon par l'intermédiaire de deux bras cassés, avec un terroriste responsable de la mort de 54 français je suis désolé.
C’est le karma et le début de ton odyssée Nico ...




22 septembre, 2025

back-rooms IRL

 


Bon.

Étant dans le monde, ex civilisé, pour quelques jours je me suis dit profitons en pour faire la tournée des grands ducs et nous achalander en divers pacotilles absentes de notre foutu navire dans le no man's Land. 
J'ai commencé ma virée par des tricots de corps chez praille-marque les miens ayant pour la plupart DCD cet été .
Puis nous avons continué chez Niqué-a ou j’ai repris des sacs congélations qui peuvent se laver et servir plusieurs fois, pour la salade, for exempel.
Parti dans les dépenses j’ai investi aussi dans une boule à glace qui faisait cruellement défaut à ma cuisine pourtant super equipée et à ma consommation de vanille.
Dernier crochet par une galerie pour trouver des tasses à kawa, je suis un grand casseur.


Le parking souterrain est désert.
Et en haut de l’escalator, j’ai un choc. 

Comme dans ces affreux cauchemars où je saute d’étage en étage dans des couloirs vides pendant une bonne partie de la nuit.


Une atmosphère de back-rooms.

 
La guerre commerciale du ternet chinois à fait la une victime de taille. Je n’avais pas encore croisé une grande galerie commerciale aussi lourdée.



Bon, mes tasses ont changé d’emplacement mais je les ai trouvées. Je peux continuer à être maladroit, ou à boire mon café à la russe . 
Il n'empêche vu le nombre de boutiques fermées, cela fait encore un paquet de gens sur le carreau.


Bon.
une note de plus sur la guerre économique silencieuse du world wide web.

















20 septembre, 2025

IA,TDAH,RERB et autres abréviations


Il y a peu j'étais en maraude, heu ballade sur une île, ou avec le retour du cagna, je m'étais arrêté pour siffler une mousse.
Le juquebox, je veux dire la playlist passait en sourdine des airs un peu folk, underground, voir presque rebelle, si ça existe encore dans la musique. 
Voila pas que passe cette chanson ‘je m’en BLC’.


Je souris. Comme c'est un terme que j’ai beaucoup usité, par le passé évidemment, je note dans un coin de ce qui me reste de mémoire le nom de la chanteuse. Un peu de temps passe.
De passage dans mon neuf cube 

pour ramener le mousse de ses kanssevas, je discute avec le quartier maitre de ce morceau rigolo.
Elle sourit et me rétorque 

  • Ha ! Mon daron boomer ! C'est de l’IA daddy.
  • Je fronce le sourcil.
  • Vraiment ?
  • Oui , regarde ils font même des comptines pour enfants.

Et elle me montre cette vidéo du rappeur de sevran


La vidéo est mignonne. J'ai souri. L’air m’est même resté dans la caboche tout le déjeuner. Bon je comprend que ça peut NRV le fameux rappeur, dont le fond de commerce est plutôt du côté téci, genre Edith Piaf du XXI ième siècle, mais bon comme on disait au mariage de ce droitard de Figaro : ‘Sans  liberté de blâmer il n’est point d'éloge flatteur’.

Le phraseur de Rougemont, dont le QM ne rate pas un concert et que j'aurai presque pu croiser quand j'étais  à l'ACR avec mes potes d'EDS, enfin il devait être certainement mino.

Justement cette fameuse descendance, le QM et le mousse, alliées avec leur reum, me sortent d’un coup, le café à peine froid, que je suis TDAH
Sans déconner. Certes je suis un peu disséminé, mais c’est du au fait que je m’adapte. J’ai toujours été un peu moulti-taches comme disait le cinquième élément. Désormais mes journées sont beaucoup plus courtes. Efficace à la fraîche , je vire papy après le déjeuner. Plus question de grimper au laurier de huit mètres pour tailler les gourmands de l'année où d'il y a deux ans. Je n’y suis pas monté non plus l’an passé.
Mais de là à m’encapsuler dans une abréviation, Bigre. Faites des enfants.
On est trahi que par les siens. 

Bon il est certain que je suis pas HPI. L’orthographe à toujours été un obstacle infranchissable pour bibi. Me suis toujours cru un peu autiste, mais mon hyperkinésie tendance anti-sociale aurait dû m'alerter. 
Bon, on  ne se voit jamais comme on est ? non ? 

Pour l'effet que ça me fait , je vous remettrai bien le morceau en tête de gondole, mais ce serait radoter.

Sinon, profitant de ma virée on a filé sur Paname manger un vrai ramen avec tout l'équipage. Évidemment j’ai pris le B, mon hummer like est surtaxé dans les parkings de cette contrée. 

Le RER était tout content de me revoir il a stationné un bon moment sur la voie 2  toutes les autres voies bloquées aussi.


Les gilets rouges sont venus à trois nous informer, qu’il serait direct paris, mais ils débutent, ce RER à comme devise la première chanson de cette note et est reparti, clopin,clopan en omnibus .

Le ramen, assis en tailleur dans un mezzanine d’un rade vers Bastille, était excellent.
Allez, je vais faire le café, avant de filer en finir avec mon laurier.

18 septembre, 2025

Vtere Felix

 


C’est quand Molly a levé la perdrix dans le champ hier matin que ça m’a traversé l’esprit.
Le volatile affolé volait à moins d’un mètre des herbes hautes et cette satanée chasseuse lui emboitait le train arrière, sautant allègrement les murets des champs en friche comme au steeple.l'instant d’avant je regardais la mer au loin, le vent ne s'était pas encore levé. Comment ai je pu vivre ailleurs  ? 
Ce silence, ces espaces sauvages et ce sentiment de plénitude. 
J'étais déjà un peu taiseux, mais la c’est comme si je m'étais fondu dans ce paysage en quelques années. Une petite parcelle, un atome de pierre, d'herbe et de vent. Comme je ne me vois pas, c'est comme si j'étais devenu , déjà, inpalpable. L’ectoplasme de la lande.Je connais d'ailleurs les chemins pour ne croiser personne, et à peine sorti de la maison je disparais avec le canis dans les hautes herbes et les chemins creux. Comme si je passais une porte temporelle .

Wild


Molly réapparaît de sa course à la plume. Le soleil brise la brume. Il fait tout de suite doux. Je ramasse la pierre tombée lors de son passage par le muret.
Dieu qu’elle est lourde. Je me baisse pour mon dos, je vais bientôt prendre une année de plus, je ménage mes lombaires. 
En me relevant je ressert d’un cran ma fidèle ceinture, Vtere felix, mon ben est descendu dans l’effort.
Je regarde de nouveau l'océan au loin. 

Cette balade fera bien une note dans mon blog, bien muet lui aussi ces dernières semaines.
La pluie ne reviendra pas aujourd'hui. 


Je prends une longue inspiration et lâche un ‘devant’ tonitruant au chien.
Nous voilà repartis dans ce septembre qui se la joue automnal. Quoique en marchant la température remonte, allez , assez déliré, à plus .




31 août, 2025

Tirer des bords.

 

Les feuilles du cerisier sont à moitié tombées dans la nuit. Le bosco ratisse pendant que je flemme d'après le repas, de plus en plus redoutable celle-là,  dans le canapé. Le râteau sur les feuilles fait un bruit répétitif et régulier, c'est certainement fait exprès pour que je pique du nez.
Début de semaine je suis passé à une expo photo d’une connaissance qui se passe dans le coin.
Du coup comme je suis sorti de ma cale, j’ai pris quelques photos, ce qui va me faire une jolie note pour trois fois rien.
Les photos de l'exposition du poto étaient sympas, un peu trop travaillées à mon goût, mais je ne critique pas les artistes, surtout en photographie.
Être photographe dans le monde d’instagram et faire des expos c'est un sacerdoce. Il faut un peu de foi, au bas mot.
En sortant, vu que j'étais barré par les chemins on s’est fait une balade avec Molly en passant par le vieux pont suspendu du Bono le long d’un sentier sur la rivière du même nom.
D'où ma bobine en tête de gondole.
L'ombre des grands arbres cassaient la chaleur encore bien présente. Le coin est sympa. 

Pour poursuivre la goguette, on a poussé jusqu'au golfe. J’ai capturé des cailloux ici ou là.

Et une vue de cette petite mer . 


On s’est arrêté prendre un café et une glace. Il y avait encore des touristes mais déjà moins. Ça babillait bateaux et Everest, mais je ne devrais pas toujours écouter mes voisins. 
C'est laid. 


La serveuse jeune et tatouée était limite désagréable, et la boule de glace inmangeable, légèrement rance, ça sent bien la fin de saison. 
Juste à gauche une grande table familiale, les hommes semblaient perdus au moment de la commande, parce qu’il n'y avait pas de seize, alors que la liste des bières locales remplissait une ardoise d'un mètre dont la serveuse d’un coup plus détendue faisait l’article.
Ils ont fini par se rabattre sur des Despés bouteille. Ça m’a bizarrement interpellé. Si  c'est des marins, ils font sûrement toujours le même tour entre l'île aux moines et l'île godec.  
Comme  je deviens un peu ermite, je suis très curieux dès que je me retrouve dans la civilisation. Ou ce qu'il en reste. Curieux et quand même un peu moqueur. 
C’est laid.
Mais bon je ne le suis pas plus que ça. Ce quart d’heure au troquet m’a beaucoup intéressé sur la vie d’aujourd’hui. 
Sentir le monde est désormais un petit évènement pour bibi.
Hier toujours en petite vitesse, je me sentais pas d’attaquer un de mes douzes travaux. 
Nous voilà donc parti visiter saint cado, ce moine du pays de Galles qui a fondé un ermitage sur un îlot qui porte son nom.
Déjà on ne met pas Waze du coup on se retrouve à un saint cado perdu au milieu des bois, avec une chapelle aussi, mais on voulait voir celui avec la maison du gardien des parcs à huître. 
Le ternet nous guide cette fois sans encombre



Voilà la maison. 
Le coin valait le détour. Il n’y avait pas trop de monde et j’ai eu de quoi faire une photo.


Ou deux..


Voilà une note pour finir le mois, je l’écris vite fait à l’abri du tamaris sur le banc de M. Robert attendant la fin du grain.

Le tamaris c’est pas le must comme protection, mais ce siège est le bienvenue pour les quidams usés dans mon genre. Allez, on se retrouve en Septembre.
Fluctuat nec mergitur.


 

22 août, 2025

Ah ! La mûre ! toujours la mûre !


J'ai fais hier une blague vaseuse en commentaire sur des mamans qui partaient à dix neuf heures en quête de la mûre avec leurs minuscules tupperwares. J’ai ajouté, je vais même le replacer. Mais je ne pensais pas si vite.
Ah ! La mûre ! toujours la mûre !
Dans un autre commentaire, Cinabre m’a trouvé le titre du jour.
Je me suis dit, si je tarde ma deuxième cueillette, ces redoutables mères de famille prêtes à tout pour nourrir leurs progénitures de ‘confitures maison’ vont dépouiller le périmètre. Voilà un nouvel Eldorado surgit dernierement des réseaux qui furent sociaux. En remplacement de la pâte à tartiner bourrée d’ acétamipride, qui si elle n’est pas encore totalement retirée par les agriculteurs dans les supermarkets, ne devrait pas tarder à disparaître. Et pour cause, les mamans n’aiment pas trop que leurs chérubins aient une probabilité de pécho un lymphome non hodgkinien ou une plus banale, mais pas moins grave, leucémie.
Vous verrez, le Nutella va finir par morfler.
D’un autre côté, les noisettes vengeant la disparition des orang-outans, victime colaterale de l’huile de palme, c'est un drôle de raccourci, mais il me plaît bien.
Revenons à nos mûres . 

L'appât du gain ne sourit qu’aux flibustiers, l’adage c'est confirmé. En sortant Molly j’ai trouvé un filon dans un bosquet de ronces juste derrière. Avec mes bottes et mon ciré par vingt cinq degrés, ça ne m’a pas pris longtemps .

Une fois mon butin en poche, j’ai rappliqué à la cuisine, ou un nouveau chinois ⁰⁰ m'a bien servi.


Je l’ai récupéré sur le muret d’un voisin, qui sûrement en partance, avait laissé un panneau ‘servez vous’ sur un lot d'articles ménager. La version 2025 épisode un de ma confiture était bonne mais avec un peu trop de grains. La S2025EP02 va être beaucoup plus réussie.


 Sinon sur un blog y a pas si longtemps j’ai mis un commentaire pour un pied de melon bien réussi.
J’ai planté des pieds qui m’ont fait des jolies fleurs jaunes, mais, damnation,  toujours pas de melon.



Voilà, Yann m’a rassuré en me disant que les fleurs des différents plans allaient se polliniser, faut être patient . Tout ce que je ne suis plus.
Ben ça y est.


Mon melon n’a pas encore pris vraiment le sien , mais je le surveille avant qu'il ne le chope.








19 août, 2025

Déjà l'automne ?


Les fougères roussissent. 

C’est ce qui m’a frappé dans ma sortie d’hier. Sérieusement, je me suis dit :

  • l'automne commence tôt .

Puis je suis passé à autre chose. Non s’en prendre une photo.
Ce soir je déroule mon reader. Et je tombe sur ce blogueur beaucoup plus rapide que moi pour le calcul de l'arrivée de l’automne. 
Un dix neuf août.
Je pose un com et je me dis . On est trop sensibles. Et puis je tombe sur un autre article sur une page du monde.
Puisque je cause réchauffement, je vous conseille d’aller calculer votre poids en CO2 disponible sur un lien disponible sur un des blogs de Nicolas 
Pareil j’ai mis un com, mais bon il n'y a pas que les particuliers qui peuvent faire quelque chose ? Non ? les plans quinquennaux c'était bien.
On avait des centrales, de l'électricité pas chère et pas toutes ces merdes d’éoliennes qui tuent les oiseaux et nous niquent le paysage pour un courant somme toute, assez alternatif. Regardez le trou noir en Espagne.
Voilà. 
Et une note de râleur, une.
Mais jusqu' ici tout va bien, non ?










13 août, 2025

OP Mûres.


Mi-aout
Déjà.
J’ai pris cette TofDuJour en sortant de la forêt où on a levé de nouveau Menhirs avec Molly.
C’est un endroit où on est à peu près seul en cette veille de quinze Août. 
On croise bien une ou deux familles perdues en VTT, mais c’est à peu près tout.
Mais revenons à nos ballots, pas les familles, la photo du jour. C’est rare désormais les conditionnements de pailles rectangulaires. Les ronds sont plus courants. Souvent emballés de plastique vert ou même rose pour pouvoir être stockés dehors. Plus moderne, plus pratique.
Mais les bottes de paille carrées sont pour moi une usine à souvenirs. Traverser l’écurie avec la brouette plate. Couper le lien d’un coup d’opinel. 

  • Mozart, TOoourne bourrique !

le petit alezan, ce si fier compagnon de horse ball se plaçait instantanément contre le mur du box.
La tranche de paille extrait du ballot glissée et éparpillée sous son licol. Un caresse en passant et il fallait passer rapidement à coté car Mazurka raclait du pied.
Tous ces chevaux de clubs n’ont pas toujours la vie facile. Je n'aimerais pas me repointer en cheval. Quoique.
Quoique le Kanter qui se transforme en galop de charge dans les chaumes c'est enivrant. Surtout vers la mi Août quand la brume du matin se lève en lisière de la forêt et que deux chevreuils intrigués par ce bruit sourd du front de chevaux, restent en bordure à nous regardez arriver au loin.


Mais revenons à cette bascule de l'été. Il fait toujours chaud, mais la brume du matin est de retour. Ce 2025 est un cru qui file.

Comme mazurka dans les chaumes.


J’ai aussi fait une OP mûres les gens. Bon pas de quoi nourrir la blogosphère. A peine plus d’un kilo. 

Mais j’ai trouvé un filon le long du ru à gauche de la zonmé. Bien emmitouflé, mes vieilles  bottes de canasson, casquette,  blouson et jean flingué, une griffe de rallonge, je ferai d’ailleurs rapidement un doublé. Le bosco est fruit rouge. Et si les enfants ou le voisin passent, il me faudra faire un triplé,  je suis complimenté sur ma confiote de mûres sauvages.
Molly est contente, elle reste aux alentours à chasser avec des sauts de gazelles le mulot ou le lézard.
Voilà, je vais devoir m’y mettre , j’ai le sucre. Le moulin à légumes est opérationnel sur le plan de travail. mais ma flemme est comme 2025, bien entammée !
Allez, faut que je vous laisse, je vais stériliser mes pots. Mon eau bout. 
Carpe diem 

#LesGens .


06 août, 2025

Grabataire l'influent.

 


 Ce jour, je vais vous faire mon influenceur , un peu grabataire l'influent , mais bon. C'est pour un reportage, et non pas pour une de ces séries nian-nian de Netflix dont on fait généralement la promo sur les blogs. 
Quoique vous pouvez vous faire ‘une nature sauvage ‘ que j’avais vu avant que Nicolas n’en fasse la promo . Série bien ficelée avec de magnifiques paysages.
Non.
Ce qui m'amène en ce six août qui est l’anniversaire de la bombe sur Hiroshima. C'est l'excellent reportage proposé par France TV sur la fuite en avant pour la création de la bombe. Avec des images d’archives assez inédites. J’ai passé un très bon et instructif moment. 

A voir en replay donc.


Hiroshima ou je suis passé il y a deux ans et dont je n’ai pas pu approcher le dôme, au fond à droite sur la photo, parce que notre président y faisait un tour le même jour. Un peu boulet celui-là.
Mais j’ai visité ce grand fort transformé en parc. La photo en tête de gondole. Avec ce vieux monsieur en bicyclette qui m’a sourit avant d'abandonner son vélo pour prendre en photo des oiseaux.

Je garde un souvenir fort de ce Japon alliant traditions et modernité.
En nos temps troublés, ce reportage est éclairant sur la genèse de l’apocalypse.


A voir, si vous êtes curieux ou si vous séchez sur le programme du mois d'août.