30 octobre, 2025

Encore un mot, juste un mot

 


Encore un mot, juste un mot  
Paroles et paroles et paroles …
Ça continue. Comme je parle de moins en moins, quand je lâche une phrase, il y a toujours ‘bidule’ ou ‘machin’ dedans en lieu et place du terme exact.
Cette faille commence à m'inquiéter un peu, souvent on me répond :

  • Mais de quoi tu parles ?

Ça devient alors CRINGE de reformuler avec le mot correct. Il ne vient plus tout seul. Plus la, effacé.
Comme à table , je propose :

  • Il reste des bidules vert.
  •  Des quoi ?

Panique à bord pour retrouver le nom de ce légume que j’ai épluché y a pas une heure.
Il se passe un long silence avant que je ne lâche :

  • Des épinards, il en reste pas mal.

Pourtant les épinards c'est plein de fer. Bon pour Popeye et la comprenette. Ou aussi :

  • Je vais déplanter le machin.
  • Quelle plante ?

Il me faut bien une minute pour que le terme revienne. Je pourrai utiliser Lens. Mais je me demande si toutes ces facilités ne liquéfient pas mon vocer.
Je sais bien que pour causer actuel, ‘je vis ma meilleure vie’ depuis que j’ai décroché du turbin.  Mais si je passe effectivement de bons moments cette expression modernoeud comme disait un défunt blogueur a un côté péjoratif et me déplaît fort.


YOLO les gens. 

Donc forcément quelle qu’elle soit, cette vie, c'est la meilleure.
Non, cette perte de vocabulaire me fait un peu stresser.


Et si je ne pouvais plus écrire ? La, ça serait le drame. Du coup j'interrompt cette note et vais écrire derechef mes directives anticipées pendant que je yoyote pas .

Je suis bien trop vieux pour que la science récupère un seul organe valide, mais je finirai bien en pâté pour chien. Certains culs bénis vont me rétorquer que c’est interdit. Ce serait plus économique que ces voleurs d’emballeurs de refroidis.


tiens faut penser aussi  à la musique.


Et puisque j’ai volé deux strophes au début.

27 octobre, 2025

Marche du coté sauvage 🎶

 


Mince.
La radio jazz & soul me susurre ce matin que c'est l’anniversaire de la mort de Lou Reed.
Je m'aperçois que je n'ai jamais fait de note ici sur ce musicien, auteur de la véritable bande son de mes jeunes années.
J’ai causé de Bowie, des Who, des Stones, mais jamais de ce sombre poète . 
Je me rattrape donc.


Ado, je vivais dans le noir au sous sol, Halloween tous les jours, véritable repère deux fois cinquante watts pour mes potes, presque dèjà des hectoplasmes avec leurs coupes de douilles ridicules. Avec les 33 rock qui sortaient tous les mois en cette fin de seventies. Forcément ce chanteur était celui qui avait le plus la côte de mes murs recouvert de couverture de paquets de camel.


J’ai débuté avec l'album Berlin dont j’ai eu la chance de le voir interprété en concert l'intégrale au palais des congrès quelques décennies plus tard. Je me suis même acheté un tee shirt ce jour là, en photo en tête de gondole. Maillot de corps que je ne peux plus porter, les personnages étant légèrement déformé par mon oreiller d’amour. Deux mille sept, c'est pas si loin. Pitin !

Cet album fait partie des 3 que j'emmènerai sur une île déserte. De toute façon, y aura pas de platine, ni de jus sur cette foutue isle, mais je le connais tellement par coeur que je pourrai le chanter en promenant Molly.
Caroline say

Je me suis dit une note sur Lou Reed, sans mettre le tube si usé, c'est une belle manière de lui dire que je l’ai pas complément oublié.
Voilà, tiens un petit dernier avec ce men of good fortune


, qui est bien d’actualité quand on voit le ci-devant entaulé, heu enbastillé à la santé avec ses gardes du corps.

Ou bien ces mômes du neuf cube, wesh trente piges on est encore un gosse, attrapés suite au casse du siècle dont on lâche qu’ils ne sont pas, forcément, les commanditaires du coup. trop classe pour eux ?


Allez tchuss…

20 octobre, 2025

Meilleurs que Lupin.

 

Franchement depuis hier toutes les actualités bourdonnent du casse du Louvre.
Casse du siècle à n’en pas douter. 

Pas par la valeur, mais pour le temps de réalisation. 
Quatre minutes in vitro, sept minutes en tout.
Sans arme, ni haine, ni violence comme aurait dit Albert.
D’ailleurs je me demande si les commanditaires ne sont pas de la même veine, pour Bébert c’etait l'OAS, pour ceux-là sûrement des néo royalistes qui relèvent un peu trop le cou dernièrement.
En tout cas, c'est un joli coup, pour faire une rime.

D’abord sur le côté inventif. Vingt sur vingt.
Pareil pour la rapidité. 
La maréchaussée a du taf. 
Mais si ce n’est pas Lupin, ni Spaggiari c'est forcément leurs petits enfants. 


Bon je ne pleure pas sur le côté bling bling de la dernière reine comme je l'ai entendu ce matin à la radio.
Pour moi la dernière reine DE FRANCE fut Marie Antoinette. Faut dire que j’ai appris l’histoire de France à la communale laïque, avec encrier et plume sergent major. c'était donc avant qu’elle ne soit révisée par le fou du Puit et consorts.
L’Eugénie de ce parvenu de briseur de république de Napoléon III ne me semble pas si reine que ça . je comprends même mieux que du bout laborieux de son deuxième mandat notre omniprésent président se soit prononcé sur cet évènement.
Rêve-t-il d’un second empire bis, une saison DEUX ?


Sur le poste,  j’ai vu les EXPERTS, ils envisagent deux solutions 

  • la revente à un collectionneur ? (mais qui collection du second empire ? )
  • la découpe et refonte.

ils sont aussi experts que moi je suis une pointure sur la légende noire qui entourait Louis-Napoléon. Je me fis pour ça, à ce qu’en pensait Victor Hugo, un expert lui.


Messieurs, il y a aussi les assurances. 

Dans le cas d’un musée public les œuvres ne sont pas assurées, hors transport , l'État étant son propre assureur. Dans ce cas, la négo risque d'être serrée.
Nos as de la carambouille ne sont pas des amateurs en oseille, eux. Pas du genre a niqué un budget en cinq ans.


Ils ont oublié cette option les zéxpairs cambriole du poste.
Allez, chapeaux les empereurs des montes en l'air.
Très professionnel. 
Voyons voir maintenant si la police scientifique et toutes les caméras de la vidéo protection, dont on nous vante l’efficacité de la sécurité  tous les jours, vous coincent aussi rapidement que vous avez opéré.
Je voulais mettre une photo du Louvre et de sa pyramide venant de mon flickr. Mais damned !


Flickr c'est fait braqué aussi ,  a moins qu'ils soient hebergés chez AWS du fameux amazon qui a pris cher lui aussi aujourd'hui. 

Ma pov' mam' Michu le ternet, comme les bijoux d'la royauté, fout le camp !

17 octobre, 2025

Et deux toiles, Deux.

 


Courte pause non ? 
Bon je suis de retour pour me la péter critique cinéma. 
Il y a quelque temps que je n’ai pas ramené ma fraise sur ce sujet. Même quelques années. Bon là je me suis fait deux toiles, en plus, deux jours de suite.
Le premier jour, un film léché au niveau des images, mais alors un scénario à la IA, une compile de tous les Bessons grande époque, mais pas de lui, bref avec un clébard et une marque de pastis dans le titre , un truc juste bon pour les plateformes de streaming.
Mais…
Mais il y avait avant la projection la bande annonce pour le film du lendemain.
Une bataille après l’autre.
Ce qui s’appelle avoir l’eau à la bouche en 3 minutes. Dicaprio, Penn, Del Toro.
Bon cent soixante deux minutes sans temps mort. 

Une histoire bien fagotée. Et des acteurs au top. Ce film est parti pour être LE film de l'année. 

Je suis pas le seul à l'encenser,  Scorsese, Coppola ou Spielberg on déjà dit tout le bien qu’ils en pensaient. Je vais donc faire un spécial guest pour Sean Penn qui mérite la, un Oscar de l’interprétation. Ils sont tous bon. Mais lui, est juste ‘Incredible’ pour jaspiner ricain. 
Voilà, sortez de votre zapping Netflix pour un soir. Courrez voir ce grand film. il colle tellement a l'air du temps.

En VO si possible. 


12 octobre, 2025

konnedé veugrâ



Ce blog est donc en pause, quelques jours pas plus, forcément, je suis un incorrigible bavard...

Mes dernières notes étaient creuses, voire chiantes ou à chier c'est selon.
Et puis mon verbe, après mes foutues jambes lourdes et ce souffle qui barre en sucettes, prend cher. Il y a des mots que je ne trouve plus, ou des moments que j’oublie. La tête et les jambes. ça konnedé veugrâ.
Le vertige de la page blanche va l’emporter un moment. 
J’ai dû décrocher mes feng shui ce matin, le vent s’est levé cette nuit et elles ont chanté toute l’aube.
Le signe étant là ,je vais regarder l'océan assis sur le granit, en faisant mes pauses, pendant la sortie de Mô et mon ramassage des plastiques..
Je vais continuer à vous lire, n'ayez crainte, mais je n’ai plus la force, clairement, de griffonner une vie aussi simple.
Prenez soin de vous.

Ce blog est donc en pause, quelques jours pas plus, forcément, je suis un incorrigible bavard...

09 octobre, 2025

#IWAK 9 HEAVY

LOURD.


Le mot IWAK [inktober pour blogueur] du jour. Ça tombe pile non ?  Je trouve que je deviens lourd avec mes cent vingt mots par jour. 
LOURD je suis. 
D’ailleurs on me l'a clairement dit IRL hier, je ne parle pas. Taiseux âpre que je suis devenu. J'écris presque plus que je cause. C’est un peu accablant pour les autres. Il faut dire qu’il n’y a pas que moi à être irrespirable, le monde tourne pénible, étouffant lui aussi. Entre les guerres, le réchauffement, la politique, les religions, tout est dans le même sac de ce mot.

HEAVY

 Le pompon du jour etant l'editeur blogueur et son crayon magique qui vous 'colle' des liens, du lourd la encore, partout dans votre texte. J'en ai modifié un ou deux mais je vous les laisse en exemple .


Pour ne pas être plus balourd que tout ça, je vais peut-être faire une pause ici, les chaînes c'est pas pour bibi.
Redevenir désinvolte avec mes cailloux au fond des poches, le vent et mes souvenirs.

08 octobre, 2025

#IWAK 8 IMPRUDENT

Imprudent. Voilà bien un mot que j’ai pratiqué.
Pensez donc, ma génération fumait des P4 ou des gitanes maïs, en conduisant dans des voitures sans ceintures, ni contrôle technique. Cela passait d’ailleurs fortement le prix des bolides avec lesquels nous faisions des têtes à queues à grand coup de freins à mains.

Risque-tout , quelle idée . 

Cela collait au mot jeunesse. Le plus jeune chien fou de la bande lançait un défi, hop à qui mieux mieux, qui suivrait.

La période mobylette ou le casque n'était pas obligatoire, ce qui permettait de sentir le vent dans nos crinières, fut sûrement le summum de ce mot. 

Évidemment en vieillissant la peur de se faire MAL s’installe, on appelle ça devenir responsable. Vous ne me ferez pas avaler ça . C'est la trouille oui. 

Quels souvenirs cela laisse à ce vieux monsieur devenu,  d'avoir été un peu casse-cou et téméraire ! Des flash back de fous rires en vu tu en voilà. Surtout le regret de cette adrénaline d’insouciance. 

On n’a qu’une vie, il faut forcément être imprudent, c'est la porte du destin des audacieux. 

07 octobre, 2025

#IWAK 7 Étoile de mer.

 


Étoile de mer. Le mot de l’inktober du jour. 
Quand j'étais mino, on en levait tous les deux mètres de plages ou de rochers. Maintenant c’est plus les petites méduses. Translucides blanches ou rouges, des centaines de témoins du réchauffement.
En 2025 je n’en ai vu qu’une de star de l'Atlantique.


Sur la côte sauvage, un marmot en avait ramassé une grande comme ses deux mains. Un adulte qui passait après la lui a gentiment demandé de la remettre dans le trou d’eau du rocher jusqu'à la prochaine marée .


Non désormais on n’en trouve plus qu’en copie dans les magasins de souvenirs ou de décorations comme en tête de gondole. 


Au figuré, il y a aussi tous ces croûtons dorés que l’on peut voir sur leurs serviettes de plage on ze border l'été . C’est aussi une variété d'échinodermes à n’en pas douter. Pour l’instant j’ai échappé à cette manie de faire l'étoile de mer. Pis, je suis un peu trop abîmé par ma déjà longue vie pour mettre en avant mon physique psoradié. 

Voila demain est un autre jour, où mot pour l’inktober. Profitez donc de l'été indien et son soleil.. 
Faites donc l'asterie. 


06 octobre, 2025

#IWAK 6 PERCER

 


Percer,  c'est le mot de ce six octobre dans l’inktober pour blogueurs. Un lundi c'est pas trop le jour où on a envie de percer. 
Si j’avais été chanteur ou artiste j'aurais sûrement aimé cela, percer. Être reconnu, avoir des tables au restaurant sans réserver. Mais c'est pas trop mon trip les zotograffes. Je suis plutôt à passer incognito, transparent, ectoplasme. 
Après percer, si j’avais été marlou, ça aurait pu être une branche ou je me serais éclaté, si j’étais un peu plus bâti. Mais travaillez en sous sol, même si on est considéré comme un as de la carambole ou pour passer à la postérité comme Spagiari, ce n'est pas trop mon truc.
Je suis en train d'écrire cette petite note, quand un bruit bizarre attire mon attention. En levant les yeux je vois une feuille en chef, sûrement du cerisier, suivie des petites de l’olivier tourner frénétiquement  en rond sous la table de la terrasse, ce sont elles qui produisent ce bruit si étrange de papier de verre. Un reste de la tempête Amy.
Voilà un mystère de percé.
Je vous laisse avec celui de la roche dite percée.
@ demain, si je me fait pas trouer, d'ici là.

05 octobre, 2025

#IWAK 5 CERF


 Le cinquième jour du iwak tombe sur le mot Cerf.
Voilà qui me facilite la photo en tête de gondole, j’en ai un dans ce qui me tient lieu de bureau. Un héritage de grand-mère Marianne, quel joli prénom, ou j’accroche dans ses bois tout un tas de trucs inutiles, ou que je ne veux pas perdre, comme mes clefs.
Sinon, il y a quelques années,  je suis déjà sorti, avec ma bande de pieds nickelés du horse ball, écouter le brame de l’animal vers Ermenonville. Mais on était pas vraiment équipé, il s'est mis à pleuvoir, ça c’est fini à la pizzeria.
Non c’est sur l'île de Miyajima ou la version nippone de ces cervidés m’a scotché. Les cerfs la bas se baladent en ville où ils sont même une sorte d’attraction.


Ils font fi des humains, se baladant partout. Je me rappelle d’un qui dormait sur le paillasson d’une boutique. 
Cette île était spéciale, et pas que sur les sika, cette variété de cerfs japonais. Il y avait aussi d'immenses huîtres qui se mangeaient chaudes et semblaient très en vogue dans les restaurants.
Un joli coin avec un magnifique torri.


Dans mon lieu de villégiature actuelle, c'est plus le chevreuil qui prédomine . Pour l'instant, il ne rôde pas encore en ville, juste sur les plans du maraîcher qui apprécie moyen. Ils sont arrivés dans le périmètre  pendant le COVID et se plaisent dans les maquis de ronces et de prunelles.


Voilà pour le cerf
Jour 5 d’octobre. 
@+



04 octobre, 2025

#IWAK 4 MURKY

 


Trouble, le foutu mot du jour, dont je préfère la version rosbeef, Murky, qui est plus sombre.
Tout de suite j’ai pensé à cette jeunesse dont l’avenir est si justement murky, et qui se rebelle en ce moment violemment un peu partout dans le monde.
Ils ont adopté le drapeau de Luffy et l’affiche dans leurs luttes pour un avenir meilleur, ou simplement moins trouble et juste plus digne.

Ces couleurs ont flottées il y a une ou deux décennies, j’ai du mal avec chronos, dans mon coin de banlieue. J’avais récupéré un mât de quatre ou cinq mètres en pin. Je l’avais bondexé et y avait affiché les couleurs.
En ces temps-là on était au début du manga, dont le mousse a presque la collec complète. Dans ce coin du neuf cube, un peu entre guillemet ‘bourgeois’, car composé de maisons individuelles, cela avait choqué. Un couple de retraités voisin s’en était enquit par-dessus la haie quand je passais la tondeuse.

  • Mais qu’est ce que cela représente ? 
  • Vous le laissez tous les jours ?

Il faut dire que leur salon donnait sur mon jardinet

  • C'est le ralliement des pirates et oui, je le laisse au vent.

Ils m’on pris pour un illuminé.
Mais l'histoire m'a rattrapé. 
Dommage qu’elle ne m'ait pas écoutée pour le second tunnel gare du Nord. Car dans le RERB l'avenir est toujours aussi trouble, ou sombre , comme vous voulez.


03 octobre, 2025

#IWAK 3 CROWN

 



Couronne ou crown. Le mot du troisième jour de ce mois d’octobre qui vire automnal ce matin. Il drache sa reum, comme on disait avant quand j'étais tout petit, au milieu du siècle dernier.
Mais ayé je m'égare,  je digresse veugra.
Revenons donc à notre Iwak.
Il n’y a plus de têtes couronnées chez nous. Comme Didier n'est plus là, je n'aurais pas de commentateurs pour venir me contredire sur le fait que c'est une bonne chose tout de même.
Le droit divin, y a divin dedans, c'est des cracks pour endormir le cave.
Je sais bien qu’il y a plein de nostalgiques de la couronne, à voir la fréquentation du fou du Puit, mais voyez vous , un de mes livres de chevet  ado fut le quatre vingt treize de Victor Hugo et je suis donc, plus Républicain que tête couronnée.
Donc pas de couronne dans le périmètre. 
Pour bibi Crown c'est un super whiskey que j’ai tapé largement, quand j’en buvais encore de cet excitant breuvage, au Canada un hiver où il faisait encore froid, si je me souviens bien, et où j'usais mes guêtres dans des collines au sud de Trois rivières. Donc si y a des amateurs de sky dans mes lecteurs, c'est donc une note de placement de produit pour ce breuvage de nos cousins Canadien.
Perso, le squaille j’ai arrêté il y a bien trente piges après quelques épiques aventures dont je serai bien incapables de vous compter le moindre bout. 
La chaleur antillaise, la douceur et le parfum de son rhum m’ont convaincu de lui attribuer la couronne du meilleur breuvage de pirate de ce petit monde qui barre en sucettes comme la météo ce matin.
Voilà pour la couronne de ce jour.
A demain, si vous le voulez bien, comme disait si bien celui qui avait la couronne des jeux radiophoniques , Lucien jeunesse.





02 octobre, 2025

#IWAK 2 Tisser

 


Tisser. 

C’est le mot du jour, un iwak du 2 octobre qui me laisse perplexe.
Je ne suis plus vraiment à tisser des liens avec mes contemporains. Je vire ermite. Ermite à chien, dans l'échelle sociale c’est tout juste en dessous de punk à chien. 

De tisser j’aurai pu prendre en photo la magnifique toile sous la fenêtre de la chambre où un monstre jaune et noir ne bouge pas d’un poils de ses pattes quand je me penche vers elle pour fermer les volets. 


Non, je ne me suis pas senti vraiment habité par ce verbe.



Jusqu'à ce que je lève la tête . 
Le ciel d’automne était entrain de tisser une longue écharpe cotonneuse de boules de minuscules cumulus, c'était assez joli, je me suis voilà tisser mon iwak du jour ...

01 octobre, 2025

#IWAK 1 Moustache


Donc c'est le retour de l’iwak, en ce joli mois d'Octobre. La version inktober pour les blogueurs . Toutes les propositions sont ici, ou la. Bon c’est les mêmes liens, mais c'est l’heure du ty punch, c'est l'été indien, et j'ai la flemme de chercher.
Ça tombe à pic, je suis en rade d’inspiration sur 2025 pour ce foutu blog.
Ça commence par "Moustache". 
Bigre diable.
Alors forcément moustache c'est l'arrière grand père louis
Il serait furieusement tendance aujourd'hui avec son petit bouc et ses rouflaquettes. Bon c'était avant quatorze, après il a plus que porté la barbe. j'ai son livret de marin sur le Pothuau, il faut que je le place ici au lieu de glander dans les chemins creux à lever des chevreuils. 


Ce matin c'était un jeune de l'année, il n'avait pas encore de moustache, ni de bois. Il a disparu dans le massif de prunelles avant que Molly ne le calcule., un peu à la mode du mème d'Omer Simson, 


  Sinon j'étais pas bien barré, cette princesse est DIANE chasseresse, elle part en vrille et n'écoute rien.

 Bon, dans le port de la moustache, il y a moi aussi avec ma casquette réglementaire, juste après que l'on m'ai coupé les douilles du dessus.

 Pendant presque six mois, ou un an j'ai gardé la barre sous le blair..
Ce qu’il y a de bien c'est que j’ai viré toutes mes photos papiers des albums, dans un pochette craft. C'est plus facile à retrouver.

Voila, j’ai rempli le premier #iWak. 

Vais je tenir tout le mois ?


#asuivre