11 novembre, 2017

Les 5 du goéland


Si vous êtes un habitué de ce blog, vous savez qu'il y a une note que je ne loupe pas. C'est celle du onze novembre.
Ne demander pas pourquoi.
mon dernier post parlait de volaille, de coq tiens, cet emblème si Français.


Vous voyez ce que je veux dire, la haut dans les beaux quartiers.
Onze (slash) Onze (slash)  Dix sept
Putain.
certains ont des visites bizarres quand ils sont des coins de France inconnus ou reculés.
Prenez ma reum, elle c'est les églises. Je vous raconte pas le nombre de boites à encens que j'ai visité étant mino.
Moi c'est les monuments de 14-18.
Du plus petit village perdu des Antilles, ou la peinture de l'uniforme bleu 'Horizon' est conservée avec classe, jusqu’à sur mon caillou préféré du 'goéland' ou j'ai pris la photo du haut cet été.
Les Blanchet c'était cinq frères ? ou des cousins ? j'ai pas osé demandé.
Tout ces jeunes gens. toute cette jeunesse d'Europe effondrée pour quelques intérêts financiers.
Mais cent ans ont passés. le pognon ne mène plus le monde. non ?
Passons.
Je sais pas pourquoi je boucle ainsi tout les ans.
Ni pourquoi je m’arrête encore une jour de cette semaine pour prendre le Tigre en photo alors que j'étais parti visiter l'expo Gauguin.

Quatorze Dix huit. le seul jour férié justifié, après le Quatorze Juillet hein.
Vous voyez que je suis grave libéral.
je voulais vous mettre une énième version de la chanson des sacrifiés de Craonne;
Mais en vieillissant j'ai eu une pensée pour toutes ces jeunes filles, femmes qui ont perdues leur cœur la haut, sur ce foutu plateau.