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15 mai, 2025

incursion à jules Verne


Je vous rassure. Je tousse toujours.  En fait je m'en BLC comme on disait à Bala quand j'étais mino. En parlant de Balagny j’ai dû y passer étant de passage downtown pour ramener le char du mousse. Tire que je lui avait emprunté le temps que j'avais des invités. Les fameux lyonnais qui m’ont filé cette super crève . Quand je suis seul je roule avec le spad, cadeau de l'équipage, et ses sacoches.  Mais je me voyais mal transbahuter mes canuts dont un a les genoux qui battent la chamade façon Tata yoyo.
Bon j’en ai profité pour lui faire une petite révision au bolide. Ainsi que de passer le contrôle technique. C'est une mode dans la famille pirate de rouler hors la loi. Le deux litres est vierge de défaut, pas un du haut de ces deux cent cinquante mille kilomètres. Vive le diesel, même pas la moitié du plein pour cinq cent bornes. Le mousse a fait une bonne  affaire. J'ai ramené la tire par l’ A11 avec une conduite sage sur une playlist de vieux machin, un waze performant, et des putains d’orages violents qui à 135 ont bien nettoyé les saloperies de bugs venues se coller sur le pare-brise. 

En attendant de re barré à Montparnasse j’ai deux heures, même en prenant une marge d'une heure sur une éventuelle toux du RERB. Toujours être circonspect avec le bébé de Valérie qui déconne autant qu'elle. Je suis  donc monté à la ferme du vieux pays, chercher des sacs de déchets verts pour le mousse. Tant qu'à me rendre utile
Rêve.
Toujours en rupture. C'est pas comme pour les FAFs de la fête  polsky dont ils font le plein ce vikende en ce lieu.
L'étiquette de rupture collée sur le carreau du bureau indique qu’il en reste à Jules Verne. Voilà une occasion de visiter ce nouvel 'espace multimodal' et de refaire un saut à Balagny. Ah on construit sur le parking de la piscine. Zyva le béton ! Les gens viendront à pied ?
Me voilà rendu. Le lieu a l’air sympa, un peu désert le matin, mais les dames de l’accueil me proposent gentiment les sacs. On blague sur l'abréviation Bala, qu’elles ne maîtrisent pas. Elle me chahute sur mes septantes  ‘que je ne fais pas’ quand je râle sur l'encombrement des sacs a transbahuter.

hop il me faut repartir.
Prendre un billet pour Paris au distributeur est un sport, vu que le bouton pour les tickets cartons est désactivé. J'ai mis mon navigo , obligé pour obtenir un ticket carton. Je ne vais pas payer 2€ pour le nouveau navigo. La procédure est un peu longue. Mais j’ai eu mon carton.
Le RERB c'est bien tenu . On dirait qu’il savait que j’allais faire une note.
Me voilà à Montparnasse. J’ai un rituel, je vais siffler une IPA au Paname en attendant l’affichage du train.


 Je charge mon portable avant le OUiGo qui n’a pas de prise USB .
La bière est bonne dans ce rade. Je laisse un pourboire de cinquante cents. La jeune femme surprise me reprend comme quoi j’ai mis trop. Cela fait deux fois qu’on me fait la remarque.Du coup on papote cinq minutes, elle me dit que c’est devenu extrêmement rare.
Ha ha.  Les gens prônent un retour aux "Valeurs" avec un grand V mais ne laissent plus de pourboires. 

le grand nimportnawak est en roue libre. A propos de nawak,  je me suis farci deux voileux du fauteuil derrière dans ce tégivi. Un à déblatérer tout le long du trajet sur ses trajets en mer : Syracuse , Corfou, Ajaccio , Tahiti j'en passe et des meilleures. Les miss de l'accueil du jules Verne me disaient que les jeunes étaient invivables. Les vieux ont , eux aussi perdu le sens commun du mot respect. C'est pas faute des annonces SNCF . Ce naze aurait mieux fait de traîner au Japon, il aurait appris la vie en société .ma quinte reviens. Je ne dois pas m'exciter après des limités. Il y en a trop. Me voilà rendu. il y a un peu de soleil.

Je file.


15 janvier, 2025

Georges

Faut que j'écrive, bien que ma ligne de vie est en rythme plus plat tu meurs.
Trouver un sujet, m'est venu en sortant chercher des patates dans la remise avec mon tablier de popote. Arrivé là, je n'ai pas de sac pour les ramener. Me revient le geste de l’aïeule, ma chère Lucie. J’attrape les deux coins du tablier ce qui forme un sac improvisé, ou mon kilo de patates et d’oignons prélevés rejoint sans encombre la maison.
Comment j’ai basculé de Mère grand à Georges, c'est la chute de cette note.

J’avais déjà évoqué ici un Georges, le flamboyant prince de Biarritz, à qui je pense chaque fin de mois. Ou presque.  Mais là il s’agit d’un autre géant, des Flandres plus particulièrement. Après l’invasion des poules dans notre vie, le mousse, jamais avare de nouveauté, décida d'acquérir un lapin. Elle trouva sur Blanc-Mesnil un éleveur particulier qui revendait sous le manteau, surement en peau de lapin, des rongeurs. Nous voilà donc le long du RERB de si mauvais présage, ou nous faisons l’acquisition moyennant vingt euros de Georges comme elle le prénomma de suite.

Ce machin bien que tout jeune faisait déjà dans les soixante centimètres . Un géant des Flandres qui s’habitua parfaitement dans notre bout de pelouse. Évidemment il fallait le loger. Les cages à lapin de Louis étant remplies de petits bois et petites, nous décidons donc, après une réunion familiale bien plus rapide et efficace qu'une déclaration de politique générale, de lui affecter l’ancienne cabane des filles, en enlevant les carreaux, aussitôt remplacés par du grillage à poule.
Un petit coup de scie sauteuse sur la porte qui s’ouvre alors en deux parties. une vraie écurie.
Mieux ,un palace .

Georges est ravi. Il passe la, deux années de bonheurs, avec moult sorties à s'étendre de tout son long au soleil sur le gazon. Il avoisine le mètre une fois étendu.
La cohabitation avec le chien est zen. Les Georges sont princiers, il ignore royalement le barclé.
Une vie de pacha avec carottes et choux en veux tu en voilà, à bignoler par sa fenêtre.
Niveau entretien, bien moins chiant que les poules. Ce bunny est propre et fait toujours dans une bassine remplie de paille. Étonnant non ?



Mais voilà un matin c'est le drame.
Le mousse me chope avec sa tête des mauvais jours

  • Il a dû avoir peur d’une fouine et sa patte arrière semble cassée. Il doit souffrir !

La véto fait la moue. Il faut l'opérer, mais elle ne fait pas ça. Il faut prendre rendez-vous avec un CHIR. Ça coûte des sous. Elle lui file du tramadol. Le lapinou déjà pas nerveux va être grave foncedé. En rentrant, grande discussion avec le mousse qui a un caractère entier, comme sa mère. smiley.

  • Je paye avec mes économies !
  • Ok on va voir avec l'école des vétos alors. Au moins qu'il forme les jeunes.

A l’origine de cette note, là tout autant déterminée, Lucie, qui avait traversé quatorze et quarante cinq  et qui avait une méthode radicale pour les lapins défaillants .
Elle sortait un gourdin court accroché par une ficelle à un clou de la grange et attrapait le gaillard par les deux pattes de derrière .

La d’un seul coup sec derrière la tête, elle l’envoyait ad patrès. Ensuite elle coinçait les deux pattes dans le nœud de la corde du gourdin et suspendait le tout au clou de la porte du poulailler.
Les poules connaissaient le rituel et s’approchaient de la porte dans un amas et un brouhaha digne des soldes.
Au pied de la porte, Il y avait au sol une gamelle en alu de troufion.

Grand-mère sortait de son fameux tablier le petit couteau pointu à tout faire. Elle énucleait l’oeil, ploc, et le sang giclait dans la gamelle avec les derniers soubresauts du bestiau.

Je devais avoir dans les huit ans, peut-être moins. Mais j’en perdais pas une miette.

Ensuite elle incisait les pattes arrière sur cinq centimètres d’un geste sec et précis.
Elle prenait ensuite appui et ‘deshabillait’ jeannot.
Le moment le plus technique. elle passait sa fourrure par-dessus la tête, puis incisait sur les côtés .
La fourrure de lapin renversée, recouverte d’un film de peau encore transparent, finissait tendue sur une branche de noisetier en fourche en forme de V.
Il y en avait un stock aligné sous la grange au-dessus du foin tout au fond. Avec évidemment, plein de grosses mouches les premiers jours. Le marchand de peaux ne passait que tous les mois. Enfin si je me souviens bien.

Ensuite un dernier coup rapide de lame, de bas en haut pour éviscérer. Elle gardait le foie et les rognons, le reste tombait avec force ploc dans le récipient alu. Ce signal déclenchait l'hystérie chez les poules.

Le lapin sacrifié pendait rougeoyant avant de vite être déposé dans le plat en terre cuite.
Le repas du dimanche était prêt .
Elle s’essuyait les mains de chaque côté du tablier, c'est donc héréditaire. Ensuite elle jetait la gamelle sur le sol aux poules ce qui provoquait l'hallali de la basse cour. Plus rapace, ça n’existe pas.

Mais revenons à Georges.

Je l'emmène donc à l'école véto. Il prend le B ou personne ne tique sur ce monstre de sept kilos aux oreilles de vingt centimètres. Je suis sur que si Elon Musk prenait le B aucun quidam ne le remarquerait. C'est un train fantôme, rempli de tous les aliens de la galaxie.
A l'école on me fait signer des papiers, on me rappelle le prix, bien moins cher que chez le véto, mais un bras et un rein tout de même.
Notre Georges va être équipé d’une prothèse en titane
Et wesh. La classe. Bon on me rappelle pour me donner des nouvelles.
Le lendemain soir les nouvelles sont bonnes. L'opération s'est bien passée , Georges se repose. On le garde en observation.
Le jour suivant, il y a quelques complications , on ne peut pas venir le chercher de suite. Il s’est affaibli.Deux nuit plus tard vers trois heures trente je suis tiré du lit par un appel

  • Allo p'tit louis ?
  • Oui
  • Georges est décédé . Nous sommes désolés. On a tout tenté. Suit une longue énumération de termes médicaux que les aficionados de la série urgence maîtrisent, mais pas bibi à trois plombes.
  • Ok merci , vous pouvez récupérer la plaque en titane pour un autre ?
  • Ce n’est pas possible, c'est à usage unique.
  • Ha.
  • Que comptez- vous faire pour les obsèques ? vous voulez le récupérer ? Sinon nous avons la crémation à plusieurs ou unique ?
  • Hum, non  rien de spécial, bonne nuit.
Voilà, j'espère que, ou elle est, Lucie me pardonnera. On est quand même toujours un peu faible quand il s’agit de nos enfants, non ?

Même le plus vil des pirates.


29 avril, 2024

décrocher de la ZRB 28143

 

A chaque fois que je reviens dans mon bled, le mot est bien raccord, je repense à la chanson du Stéphanois.

On est pas d’un pays mais on est d’une ville, ou la rue artérielle limite le décor

Voilà presque un an que je suis parti. La maison est remplie encore de mes affaires. Le quart ne tiendrait pas dans mon nouveau repaire . C’est comme si j'allais revenir demain, recharger mon Navigo et remonter tout les petits matins à la capitale Mais cela ne se fera plus.

Plus de temps mort de cinq minutes à choisir une de ces chemises quelconque, que je 

n'arrive pas à jeter, dans cette penderie désormais inutile.

Terminado la ZRB 28143, elle qui a tellement généré de notes dans ce blog. Avec la chance que je ramasse, je suis capable de sortir encore son numéro maléfique lors de ce trip du lundi à Paname. A peine repeinte et nettoyée pour les jeux olympiques.



J’ai cette vilaine impression d'être un ectoplasme et de venir hanter les lieux où j’ai vécu pour essayer de raccrocher un ou deux souvenirs.

Mais me voilà sur le bord de ce trottoir si souvent emprunté, mes idées noires balayées par ce soleil printanier du lundi matin qui reflète dans L’eau courante du caniveau. Une jolie photo pour ma tête de gondole.

Me revoilà, douze ans, en pleine aventure au bord du précipice du trottoir. Vais-je glisser et tomber ?
Non le pas est encore sûr, et bien que je sois dans les temps, je trace.
J’arriverai entier chez mon traitant, et à l'heure.

 Y a pas de wifi chez le carabin, je passe le mot à une charmante patiente qui lève désespérément son tél pour vérifier sur doctolib, si c'est bien le jour de son rendez-vous. Du coup elle s'évade vers la cour et me remercie avec un joli sourire en revenant.

Je vous laisse.
C'est lundi, et au soleil ☀️


 

 





01 février, 2024

un p'tit tour en 615


Un pt'i retour à Paname histoire de gérer la causa familiare et hop ce matin j'ai repris le 615. Je ne me sentais pas d'affronter le RERB.
Cette ligne ou j'ai souffert pendant quarante piges est devenue un genre de catalyseur dangereux pour mes nerfs.
Trop peur de partir en vrille.
D'ailleurs bien m'en a pris, j'avais zappé  le jour de grève.


 

Je prend vingt balles au distributeur du boulevard. j'ai aussi un ticket de métro papier en stock.
Je regarde l'heure de passage, je suis dans les temps et pas le seul à attendre.

Je monte et met un point d'honneur à prendre mon ticket. Comme je l'explique au chauffeur à mon âge avancé, je donne l'exemple.

À DONF.


je l'ai déjà dit en commentaire sur un blog ailleurs, ou il faut faire partie du sérail pour commenter, c'est 'moderne'. cet avis à la trappe, me pousse à faire un petit gribouillage ici tiens.

Donc le chauffeur reste de marbre de Carthage à ma remarque et démarre.
Je note que sa casquette est pas toute neuve non plus et de la même couleur marbré. Puis son petit sourire n'est pas de pierre, lui.
- On ne prend pas la carte bleue, par sms si vous voulez ?
Avant hier en le prenant à Bobigny passé vingt deux heures le chauffeur n'avait pas de caisse pour rendre la monnaie.
ça se comprend.
- ha non par sms je suis pas si 'moderne'. la monnaie sur dix ?
- je roule là, au feu la bas.
Au dit feu il me rend ma monnaie.
- n'oubliez pas votre ticket !
me lance-t-il alors que je me dirige vers le fond.
- ha oui mon ticket !
Prendre un billet dans ce fameux bus braque sur vous les mirettes des autres passagers.
Cet événement est assez exceptionnel pour agrémenter leur curiosité matinale.
Les voir lever le nez de leur addon téléphonique est mon petit exploit.
Ils me prennent pour un nanti d'étranger, ce que je suis presque devenu, étranger pas nanti hein !
Ou alors ils ont ce regard inquiet, comme on est le premier du mois il doit être au courant d'un contrôle des bleus.
On traverse Bondy puis sur le boulevard Lénine c'est un peu la révolution, le chauffeur se gare à l'arrêt et nous informe qu''un incident sur la route va retarder d'un délai inconnu notre arrivé à la station Pablo Picasso.
Je baisse le son de ma Zik. Personne ne bronche, tout le monde évacue le bus et traverse l'avenue.
Je suis le troupeau désabusé.
Je demande à une jeune fille, d'ou dépasse de son tot-bag le classeur 'Français',  si c'est le bon chemin pour la gare.
Toute heureuse de renseigner un vieillard de touriste avec un si joli bonnet de la SNSM elle m'indique la direction.
- de l'autre côté par l'escalier cela doit y donner aussi, mais je suis moins sûre.
je la remercie chaleureusement.
Voila Pablo picasso,
quel tableau !
Premier Fevrier, onze heures, la queue devant les deux automates sort presque de la station.
je ne regrette pas mon ticket de metro prémonitoire.
Ma tendance rédemptrice à rentrer dans le bon chemin en payant mon ticket de bus c'est arrêtée la.
j'ai tenu le tourniquet à une maman un peu enveloppée qui a eu bien du mal à passer dessous. Avec force sourire. Et même pour son grand dadais, un échalat qui semblait avoir deux de tense, ou pas la lumière à tous les étages. il a mis une bonne demie minute à passer sa guibolle par dessus l'obstacle.
j'aime mon côté don ki chiotte à lutter contre ces saloperies de 'modernes' blutoirs.
Ça va pas durer, les nouveaux de verre habillés ne craignent plus que le brise glace.
Finalement le métro est parti. occupé a taper un foutu commentaire sur un blog. j'ai pensé rater ma station en regardant la liste des sorties. je suis sorti , l'ai pris dans l'autre sens, continuer mon commentaire, mais non j'ai mal lu hop on redescend avant le bip et demi tour.
Mes pisteurs sont largués.
Moi aussi.
j'ai eu mon tigivi.
je revis, je prend même le temps de faire une note. tiens
Avant j'ai dévoré le petit didier ou j'ai eu pas mal de résonnance avec un certain parcours.

J'ai aussi infesté le wagon avec sinead o' connor mais pod bidules n'ayant plus de batterie 🔋. Ou j'ai coupé le roi Bluetooth.

Le temps que je réalise et m'excuse, j'ai même piqué un fard, ou alors il faisait chaud. Ou je suis tout à fait rédempté.
Bon je suis un peu long,
@ plus. 


Enfin si j'oublie pas de descendre et que mon bus passe les barrages.

Post scriptum : j'ai le temps de finir dans mon bus qui a évité, par le chemin des écoliers, le rond point québlo.






30 décembre, 2023

Avant dernier jour de la pitin d'année ... 2023

C'est l'avant dernier jour de l'année.
Ce moment ou tout le monde est en plein dans les soucis de préparatifs de réveillon.
Par exemple, par quoi remplacer cette année les huîtres, qui n'ont pas supportées les débordements des stations d'épurations avec toutes ces pluies et tout ce caca, ce qui les rend impropre à la consommation ces petites mères.

Y a pas qu'elles qui sont chonchons avec les méfaits de ce réchauffement du fond de l'air.

Un p'tit biff en suivant tiens, y a pas deux jours que j'lai décripter ce petit mot la. En regardant un déroulé VousTube sur cinquante centimes, un futé de rappeur ricain.

Un noyau de miss, heu.. de gonzesses, elles, se sont octroyées le Maccarthisme du consentement.
Ce lot de déconstructeuses, dont certains dossiers peuvent néanmoins être jugés par la justice, dans les cas de viols, comme pour le présumé innocent, le gros Gégé, aka le Napoléon des cabots. 

Elles en font un peu trop sur le côté barouf médiatique.
Elles balancent tous les vieux mâles à la vindicte de la nouvelle rue, les réseaux.
Gare à vous si vous avez dit Chatte, salopes, connasses ou que vous aviez envie de serrer une collègue que vous kiffiez dans les années quatre vingt le long de la machine à kawa.
Je suis bien conscient, qu'avec de tels propos, je vais me mettre à dos quatre vingt dix pour cent de ma famille, cent pour cent de mes amies ou copines, mais merde :
Niquez vos mères avec le politiquement  correct.
Ce mouvement avec bien sûr une appellation angliche, pour que ça est l'air important, est une place de grève de puritaines trois points zéro. voila mon avis.
Ce tribunal immédiat, à lui aussi le même effet que les huitres du moment, VOMIR

J'ai lu ailleurs qu'ils étaient devenus tous fous. Tout à fait. Ce commentaire a disparu. Étrange non ?

C'est le double effet kisscool de ce dérèglement climatique.Et pas le dernier, ni le plus terrible. C'est chiant, faut zapper.

Pour bibi, il y a pile dix huit ans, cet avant dernier jour je lançais mon blog.
Une assez drôle d'idée. 

Très revendicatif au début, comme sur ce scandale du fonctionnement du RERB, il a au fil des ans viré plus personnel avec des sujets bien moins polémiques, voire d'un intérêt limité à ma pomme.
Je ne pensai pas que j'aurai la chance que ça dure aussi longtemps.
Il y a eu des bas et des hauts. Cette année c'est reparti un peu. Plus de temps, le larguage de X-Twitter, m'ont remis les doigts sur le clavier.
je n'ai pas repris mon cahier pour écrire, mais je pars toujours de photos.

bon anniversaire petit blog. 

 
Celui de Jegoun est plus vieux de deux jours, il n'a pas eu le temps de le fêter cette année.
j'espère que ca roule pour lui, il est plus prolixe d'habitude.
je compte continuer l'an prochain, si mon souffle tiens. Il faudra bien que je me résolve à vous abandonner à cette meute, enfin ce gang d'émasculeuses patentées et sa cohorte de suiveurs tatoués, hormonés d'la gonflette et sûrement de ce fait, atrophiés du sgeg.


En attendant, bon réveillon à toutes et tous.
Pas de foie gras, {grippe aviaire} pas d'huitre {norovirus} le réchauffement attaque salement non ?


Tiens une photo de la mer de glaces en 1950 de ma base d'images du grand tonton.

 

Le même lieu aujourd'hui 😉 ou il y a pas cinq ans. 

On comprend que les huitres et les meufs fassent le nez.
Cette suite d'images de mon, lui aussi disparu grand tonton, me laisse de quoi faire quelques notes sur 2024.
Pourvu que dieu me prête vie, comme aurait dit Lafontaine. Quoique je fasse plus vielle carpe que menu fretin.


 Faut que je lâche, so, passez tranquille à 2024,

 @ +






09 novembre, 2023

le maudit des transports

 



Je ne peux m'empêcher de remettre le couvert sur mes relations cahoteuses avec la SNCF.

J'avais un billet de retour pour le train de Quimper a 13:44. Je me prépare doucement  et à 09:30 je met les bouts.
Je vais pas loin avec ma valise à roulette.
Place Camélinat, ou Jean-Claude suivant comment vous votez, un SMS m'interpelle.

Les smeus de nos jours. C'est souci. Soit c'est mon ex-taf qui pédale, soit une couille dans le potage. En sonnerie je leur ai mis le 'sorrow' de David Bowie et dès les premières strophes je crispe.

Yep. Consultez vos mails pour connaître nos propositions de prise en charge.
Je plonge et regarde mes mails.

 



Un remboursement et cinquante de bonus en bon d'achat. Je crache pas dans la soupe, mais le trading m'inporte peu. Je veux voyager sans trop de carbone.

je me lance donc sur cette super application SNCF-Connect pour soit échanger mon billet soit prendre un autre train



Plus rien aujourd'hui, je réserve donc un train pour vendredi même heure .Mais à mon grand dam, mes CB sont refusées. Comme à chaque fois .

La pro qui a encore un peu de liquidité, ou la perso. Dalqueu.
J'ai déjà appelé ma banque et la sneuf, chacun se renvoie la patate chaude.
Évidemment je chauffe un peu. A l'inverse de ma CB.

Je retourne à mon point de départ, enfourche mon spad et file à la gare

La queue au guichet, mais je suis patient comme un lynx. Finalement le guichet ne délivre que des billets banlieue. Mauvaise pioche !

Il faut aller sur Paris ou se servir de l'automate grandes lignes en face.
Je fends l'immense queue à l'opposé de la salle, celle pour obtenir une Navigo qui avec le monde cache le robot à billets et…
L'unique automate grandes lignes est en rideau.

Mon champ de vision aperçoit un de ces jolis chapeaux bleu marine et mauve dans toute cette foule.

Excusez moi , madame, l'automate est planté, je voudrais changer mon billet.

Ha ? C'est bizarre on a pas reçu d'alerte dans notre bureau. Je vais le vérifier mais c'est assez long.

Elle part, revient avec une clef, rentre son mot de passe (échange mot de passe contre la clef 😉) et passe le programme du scan de vérification de cet automate. 


Incroyable ! Cela passe.
Il va démarrer. Mais c'est assez long me dit-elle avec un sourire.

 


Je vais patienter , re-sourire.
Effectivement cela dure un moment, un temps certain, c'est même, pour un ex informaticien, un amusement. Des machines sous Windows avec du powershell en fin. Curieux.
Bon la machine est ON après cinq petites minutes
Je tente un échange de billet


Comme je suis un garçon persévérant, je tente un autre billet. Et la, miracle, l'automate qui sûrement pour me remercier de lui avoir redonner vie, me trouve un billet une heure après mon train supprimé.

Le même jour pour faire mentir ma capture d'écran du matin.
Un bon point pour le robot Windows powershell VS l'appli SNCF-Connect.
Avec un crochet par Nantes, certes. Mais ça roule, ne boudon pas notre plaisir.
Je sens que je vous ennuie avec mes pérégrinations.
Pour faire court, après avoir remisé mon vélo, j'arrive à pécho un direct paris du RERB, toujours les bonnes ondes de l'automate de la gare.

Cependant, je ne sais pas si je vais arriver.
Je vous referai une note si je suis planté.La je suis dans le tigivi.
Il ne faut pas que ma diatribe ne soit trop longue.
A Montparnasse, en rentrant sur le quai 2 les portiques ne fonctionnaient pas.
La dame au chapeau scannait les QR depuis sont téléphone.


Alors une suite S01EP03 ? 
#oupas 😜
 

 


 
 





06 février, 2021

Des biquettes, de l'eau et une taupe

 


il pleut d'une force, toute cette eau ...
Avec  ce jour sans fin, tous les jours que votre Dieu fait, perso, j'en profite donc  pour déblayer cinquante ans de fringues de mon armoire.
Macadam cowboy en daim est déjà parti à la ressourcerie en preum’s. 
j’avais tellement rempli la tire cette fois la, de bazar seventies, que l’on m’a regardé un peu space quand j’ai sorti mon berloquin.
Il ne me reste que des vieux 501 et quelques tuniques techniques .
Rien de recyclable, que de l'affectif.
je me barre pour mettre mes chiffons dans le bac de récup sous la caméra sur le rond point sans nom au bout de l’avenue Dumont.
Pourquoi ce rond point ne s’appelle pas, alors qu'on renomme a tout va 93600, un mystère pour bibi.
Mais appelons le, rond point du château bleu, ou créchait un célèbre jeune chanteur quand il jouait avec la zone. 
Quand je le vois dans the Voice, pas le rond point, le chanteur, je souris. Mais tout ça c’est des ragots de ma défunte nounou. Ma progéniture est adulte désormais
Bref je fais signe au zinvoi quand je  me gare sur son bateau que je viens juste sacquer des sapes, deux minutes, garçon…
il lève le pouce.
Mais ce con est blindé. Pas le voisin , le bac de récupération. Au quatrième 30x30 il dégueule. D’ailleurs le charmant zinvoi s’en aperçoit et me conseille un autre vers Sevran.
Encore un parachuté. je comprend la présence de ce panneau d'un metre cinquante bloquant le trottoir et vantant l'humide parking Abrioux. Que des pièces rapportées sur Aulnay Sous.
je l’informe donc sur la présence d’un jumeau au parc Bigottini.
Et je file là bas.
le rond point de Bigottini, c’est pas la même , t’a tous les cadres catégorie A de la Mairie qui rejoignent leurs bureaux après déjeuner. c’est plus difficile de se garer.
Mais là, le bac est vide.
Je plie mes rétros, méfions-nous des gens à la bourre.
En tournant la tête, une fois mes copains de tour du monde abandonnés au fabricant d'isolation, je les capte.
Valérie et Nadine. 
les deux pros du désherbage embauchées récemment par la ville. 
Avant elles étaient à la ferme ou dans le temps, on cultivait l’orge pour la vodka.
La ferme a été préemptée  pour des évolutions post covid.
Les biquettes ont ratiboisées l’orge.
De ce fait la, elles sont sur le parking abandonné du parc bigo. il reste un bout de bitume. large comme un rail de chemin de fer. Valerie, spécialiste des transports, sort souvent pour vérifier qu’il n’y aurait pas un inauguration sur la voie.
Mais ce bout de terrain semble bien abandonné. en attente d'un immeuble ?
Peu de chance qu’on creuse là un bassin de rétention naturel pleine terre,  par ici , on est encore bloqué dans les années quatre-vingt , à enterrer des cuves de béton dépassées de cinq cent mètre cube. 
Mais elles sont mignonnes les biquettes.
je les mets donc dans mon bestiaire, déjà bien rempli..
j’aurai pu vous parler d’une taupe aussi. mais les taupes sont aveugles.
et mamy Lucie m’a appris à les fumer avant qu’elle ne bousillent ma ligne d’asperges.
bonne semaine #lesgens

02 février, 2021

la mort du teuf teuf de cheuri


En fait je reviens souvent dans le fil du blogger ces derniers temps Blogger est bien plus libre. Et bien plus étendu dans les sujets.

Mindieux !


Alors aujourd'hui puisque je suis parti sur la liberté de causer, je vais vous raconter ma sortie après dix huit heures. Après dix huit heures ? Bigre et pour quelle IMPERIEUSE raison? Et bien voilà . Pas de RERB ce Week end

Cette artère de la banlieue nord n'est plus qu'une loque de transport public. On laisse le privé de CDG Express fermer cet axe le week end.

Au dortoir le quatre vingt treize. De la région à l'état tout le monde s'en #BLC.

il y a d'autres priorités Bon Je suis pas le seul à râler.

surtout qu'il y a une décision de justice pour stopper cette inutile gabegie


En attendant tant pis pour les voyageurs ou les travailleurs de fin de semaine.

On voit bien que les gens qui votent ne le font pas pour les transports en commun.

Mindieux !

Mais revenons à mon nombril. J'ai ma progéniture a récupéré de retour d'un voyage en train qui circule,

mais c'est ailleurs en France. Heureusement pour une fois le T4 et le RERE fonctionnent. c'est la roue de secours. je vais donc les prendre sous des trombes d'eau à la gare d'#aulnay sous à 21:00

les rues étrangement désertes. il drache sareum.

Un concert de hallebardes. Je ne croise que deux voitures avec des giros, la routine. J'ai mon papier en règle. Enfin pour un pirate.



Et je ne rencontre que des Uber Eats

Au moins cinq en dix minutes.

En spad ou en scoot.

Le monde d'après  !


Mindieux !  


l'ubérisation qui aura flingué leur teuf teuf de riche avant qu'il ne bousille tout à fait le RERB.


Comment ces milieux autorisés, n'ont pas vu qu'il reviendrait moins cher de prendre à deux un Uber ou autre depuis CDG que d'emprunter leur train de riche.


On reserve depuis le ternet et on est déposé devant sa porte.

Mais les milieux autorisés, s'autorisent, comme aurait dit un saint homme. tiens je vous le met après, le si actuel. 

pas une ride.


Ce CDG EXPRESS est un vestige, un boulet du monde d'avant

 

Mindieux ! 


18 mai, 2020

Bleu comme une libellule

Étang de comelles 12.5.2020
 

 J'ai acheté mon masque chez le tailleur à côté du boulanger. un joli bleu foncé trois couches de tissus.
En parlant de masques, mon voisin m’a demandé si je lui avait pas taxé ceux distribués par la municipalité. Souvent son courrier s'égare dans ma boîte. Et vice versa. Certes les enveloppes étaient volumineuses et dépassaient des  boîtes aux lettres. Mais quand même il y a une limite à la piraterie. je lui ai proposé les miens. il à décliné. smiley.
J'ai abordé ce dé-confinement avec un recul effroyable.
Presque plus de RS, ni de lecture de blogs. Coupé les infos. Passer mon temps à apprécier de faire des choses inutiles, ou presque.
La première chose que j'ai faite d'ailleurs, et qui me manquait horriblement, c'est d'aller courir les bois avec buck.
La forêt d'Ermenonville était noire de monde un mardi .
Bon vu que les diminués ont fermés les parcs, les gens qui peuvent se tirent plus loin.
En parlant de dé-confinement.
J'ai renbarré direct mon boss en lui disant que je reprendrai pas le RERB pour monter à Paname dès le 11, ni le 18, ni...
Tous les gens qui ont télé travaillé autour de moi ont du mal à penser le retour à l'Open Space. 
Dans mon cas la vision du RERB ces derniers jours sur les RS a été rédhibitoire. Mes vieilles guiboles prendront le vélotaf. Une fois de temps en temps. 
J'étais déjà un ours. 
Mais du fond de ma dunette avec mes quatres écrans je suis devenu un geek.
Dehors on distribue des médailles aux soignants en lieu et place d'une revalorisation de leur taf.
Dehors on impose pas le masque dans l'espace public mais on lourde les parcs et les plages.
Dehors on se colle sans distanciation dans la queue du primeur au marché pour trois barquettes de fraises pour deux.
Dehors. La liste est trop longue.
je reste dans ma dunette avec mes bronches trouées.
En revenant de la forêt je suis passé sous Roissy. D’habitude les avions font la queue pour atterrir. on les voit de loin bien avant le tunnel des pistes de l'A1.
la rien.
Et toujours ce ciel bleu comme une Libellule.
Ou comme l'enfer, je sais pas pourquoi on place toujours une déclinaison de rouge dans cet endroit la.
En arrivant dans les petites rues d'ASB en fin d'aprèm ensoleillée, il y avait tout ces gens qui marchent au milieu des avenues, ou qui font du vélo avec leurs enfants.
Il y a la quelque chose d'irréel quand même.
Voila, fin de lundi, je décroche.
Bon mardi ,les gens.

08 décembre, 2019

Down in....


Bon voila plus d’un mois que j’ai pas pondu une ligne ici.
la vie est devenue tellement difficile sur Aulnay sous.
Nan je déconne.
les minusculess ont téléportés un olivier plu-ri centenaires pour remplacer nos tilleuls.
j’aurai pu râler mais j’étais trop occupé de l’autre côté du web ou des businessmens ont tentés de m’interdire un truc
donc je n’avais même pas conscience.

ce qui m'a un peu VNR, j'ai du me débarrassé de ce bidule pourtant sympa mais rempli de PUB.
j'ai jamais aimé qu'on m'interdise. c'est pas des commerçants du ternet qui vont commencer.

Je me suis dit mec. va commenter chez Jegoun ou chez Falcon Hill , voir chez le très vilaine langue,
mais aussi doué Didier .
Et puis j’ai du ranger des papelards pour obtenir ma retraite.
Après un peu de rab sur les soixante deux officiel, j’ai décidé de poser mes valises. 
Avant que ça parte en couilles. les pirates ont du flair pour les entourloupes.
D'où mon bulletin d’Eugène de Soixante quinze que j’affiche  comme un drapeau en tête de gondole
à tous ces endormis qui ont des masters, voir comme moi aujourd'hui des Doctorats de la VIE.
Un petit coup de COURLU ne saurait nuire.
Avec le regret de ce prof de philosophie.
Qui a déjà eu les regrets d’un prof de Philo ?
Sans DEC
Demain pour mes deux dernières semaines , je me fait un resucée de quatre vingt dix sept.
Je vais monter en spad au taf à Paname, juste pour voir. sous la pluie.
je pourrai télé travailler. 
Mais je suis d’une autre génération que ceux qui patientent tout seuls dans leurs woitures.
Ceux la sont déjà morts.Croyez moi, dans le genre accro, j'en ai vu d'autres avant.
Franchement je me croyais déjà grillé à ressasser mes souvenirs en serrant les paluches des notables qui
vous offrent un repas annuel chers ‘petit vioques’
En espérant qu’ils mettent le bon bulletin dans l’urne .
Quand j’ai écouté ça.




Et hop c’est reparti comme en quatorze

11 octobre, 2018

CDGX DTX



Je suis trop poli.
Hier je peaufinais une note pour la reprise de ce blog.L’extraire de son coma estival.
Les rendez vous d'automne approchent non ?
Bref.
Tout y passait, déjà le scandale du retour du Cdg-express, ou CdgX comme les films,
mais dans le votre de cul, les 900.000 usagers du RERB. 
CC @laurentComparot Twitter

Sans que cela semble affoler le moins du monde vos élus, obnubilés par  les jeux olympiques 
et la ligne 16. 
Ni la région, ni l'état qui s'en BLC de votre empreinte carbone. 
Bande de zonards de travailleurs du neuf trois.
A priori ces gras de nantis ne se la tapent pas tout les matins pour tenter d'atteindre leur taf avant dix heures,
cette putain de ligne fantôme. Sinon ils auraient fumé un câble lundi matin.
Après les fameux travaux du vikende pour cette fumisterie de train privé d’ ADP 
CC ( Twitter @plusdeTrains)
.
Oui j'étais remonté. L'avancée sournoise de cette saloperie de train.
Comme le putain de tunnel qu'ils construisent entre gare de l'est et magenta pour que 
les touristes qui l'auront pris ce braquage de train de cheuri puisse rejoindre le centre de Paris 
via la gare du Nord et le RERB (mouarf)
 
CC Twitter  @Bdefait
A croire que ce blog a été créé pour lutter contre cette abus ferroviaire.
Chaud comme la braise. je vous dit  et pas le seul ;.)


Et y en avait pour tout les sujets dans cette note. même du local.
Un texte incendiaire ou les 80 centimètres de la bande cyclable du pont de la croix blanche 
et sa conception de la circulation urbaine des années cinquante, le temps ou les cyclistes partageaient
la route avec les automobilistes semblait juste un amuse bouche.
Oui
Ça montait crescendo , jusqu’au summum la liberté d'expression bafouée sur Aulnay-sous-Bois 


avec toutes les procédures judiciaires lancées par cette municipalité de tourne en rond, 
contre toutes formes de contestation de leurs lubies. 
Tentative d'intimidation des blogs. 
Procès payés par le contribuable.
C'était un joli texte . 
Vraiment.
Mais j'ai fait une erreur de débutant, utilisé un cloud open source foireux et le ternet m'a retourné 
une version de mon texte très expurgé où il manquait mille mots.
Putain.
Je suis trop poli. Ma maman m'a bien élevé, enculé. 
Je me retiens donc sur la langue verte.
Je me suis dit comme tout bon pirate superstitieux, sans foi, ni loi, c'est un signe.
Laisse tomber .
Tu vas toi aussi récolter une convocation chez le juge et tu n'a pas de RTT pour tenir le crachoir 
à ces obsédés de la procédure.
Il ne reste que toi dans le coin qui n'a pas été mouché non ?
Enfin je veux dire en dehors des lèches-cul distillateurs d'infox à la gloire des promoteurs,désormais 
seuls maîtres à bord sur AulnaySous.
Alors je me suis dit racontons une histoire drôle. 
Il ne reste plus que ça a mettre sur les blogs, du futile.
Ok let's go.
Ha bah non. j'ai plus le temps , la pause dèj est finie. Majdo.
Mais venez donc à la fête DES arbres entre deux jurons, je vous la raconterai. 
j'adore papoter .