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21 juillet, 2021

l’été.

l’été.

Depuis le temps qu’on l'attendait, il est arrivé plein pot.

Me voilà perclus dans l’ombre de mes volets.  A savourer la fraîcheur en lançant ma note.

Ma rue est presque vide.

Ne passe plus que la balayeuse, tous les deux jours. Ou presque. il doit crêcher pas loin.

j’aime bien l’indolence de cette période.

Tout semble marcher au ralenti. Même buck traîne la patte. 

En bon vieillard, je réfléchi à deux fois avant de monter l’escalier, je me fais des listes pour ne rien oublier.

Et je bois des tonnes de thé.

Le matin les oiseaux se la donnent encore un peu, et donc me tirent du lit.

Mais le silence de l'après-midi est surprenant.

juste trois lignes dans la chaleur .

pas de liens, pas de râleries. pas même une binouze. rien, nada.


l’été.



(*) et un regret, j'avais mon titre,  pas de radio des blogueurs , ce @lolobobo il est assommé par le soleil ;.)

24 juillet, 2020

#IZC (In Ze Cluster)

Cent trente quatrième jour d’après.

Ou de #FDM, suivant comme vous le vivez.

c’est pas moi qui fait le décompte. C’est un pro. Ici

j’ai décidé de m’offrir quatre jours de brake.

Ce premier semestre 2020 à été particulièrement tendu, enfin par ici.

Me voila donc parti prendre un bain de mer ou deux. Sortir Buck sur la lande et lire un bouquin ou trois.

Évidemment les bonnes résolutions, c’est comme les todo, on a toujours un grain de sable échappé du camping des flots bleus qui vient mettre le brin.

Le deuxième jour en sortant chercher le pain, je trouve space, pour ne pas dire bizarre tout ces gens masqués dans la rue.

Les gens par ici seraient-ils tous dans mon optique ? Sortons couvert ?

Je me dit quelle chouette ambiance, jusques que je titube sur le mot covid au bar ou je me siffle une mousse le midi en regardant la mer. 

parce que la vraie raison est la, regarder la mer.

bref je me suis fourré dans un cluster.

Je peux vous dire la, comme par enchantement, tout le monde le porte le masque.

Moi je suis passé chez le petit tailleur de la place Edouard VII avant de partir.

Je voulais deux masques, il était en rupture. il me les a retrouvés sous un pile de ben-houses

J’ai eu le nez de lui dire de relancer la machine.

Bon vais je pouvoir rentrer ? Po grave j’ai mon bureau dans le web et la 4G ici est presque meilleure que la fibre d’Aulnay.

Dans l'attente, je vous met un morceau bien que la radio des blogueurs soit confinée ce qui en désole pus d'un

Allez Salut et surtout


- SORTEZ COUVERT




07 juillet, 2019

La Fontaine Mémorielle


wesh.
samedi six sept .
seize deux points zéro zéro. 
30° Celsius.
Me voilà arrivé au Parc Ballanger.
je vous dit pas pourquoi.
ici Neuf trois six zéro zéro, tout le monde sait pourquoi je suis monté la haut.
Pour le coup et pour répondre aux interrogations d'Amy ,


j’ai pu remarquer que la seule piste cyclable qui tenait le pavé,
c’est le cas de le dire, est celle qui fait le tour du rond point de l’Europe.
Certainement un aménagement pour la future gare de la ligne de métro.
On anticipe.
Mais le spad, depuis Nonneville, même si il te permet de gagner trente minutes sur tous ces avachis
dans leurs daubes diesels,(je dis ça mais j’ai un putain de SUV)  te fait arriver la, la gorge un peu sèche.
Je me vois mal réclamer auprès des gens d’ABC si présent dans ce parc depuis quelques semaines
un Daïquiri frappé pour me remettre de mes efforts.
Bien que redoutable pirate, j’ai gardé un côté un peu timide dès qu’il s’agit de quemandé au lieu
de braquer.
Bon bref j’ai soif. je leur demande un verre d’eau.

  • no souci , il y a des verres là et puis la fontaine est la , me disent-ils en m’indiquant
    un peu à gauche la fameuse fontaine.

Hop je m'enfile deux verres de suite.
Mince, elle est dans le périmètre sauvegardé par leurs actions.
je l’avais jamais VUE !
certes à l'époque j’avais moins soif. 
Mais à dix sept piges, soit il y en a presque cinquante, je suis venu ici avec Marie-Annick, cannelle,
patchouli et une coupe Afro à faire frémir les Jackson five.
On a traînés vers les sapins juste avant la butte vers Parinor.
On disait pas encore O’Parinord.
Mince... j’avais presque zappé cet épisode merveilleux des seventies.
Cette fontaine du parc aurait elle des effets sur la tête de linottes des vioques ?
En tous cas un chose est sûre, je suis heureux de cet embryon de victoire sur la  sauvegarde du parc.
On la doit, incredible, à ces inertes de Capade.
Grands biens leur fasse. je suis si content pour tout ces gens que j’ai vu samedi à l’ombre
des arbres cinquantenaire. 
Dans leur bonheurs du vikende. 


Avec tout ces pitchouns qui criaient partout.
Tellement Tan-Kon que ce matin au Ché-Mar j’ai failli tapé la bise à notre premier édile
quand il m’a salué fort courtoisement.
Mais j’ai renoncé. 
les baisers de pirates sont souvent mal interprétés.
bonne semaine et  profitez de cet été au parc d’Aulnay sous

 #Baurdayl




25 juin, 2019

35 le 25


ça fait trop longtemps.
Cette semaine, je suis tombé sur ce tweet



Un blog, j'avais oublié.
A vrai dire la dernière fois que j’ai commenté sur un blog, vers les aurores, par la,
sur le bloc-note d’un collègue blogueur réactionnaire de haut vol, je me suis ramassé un

  • Mais en quelle langue parlez-vous donc ? Vous cajolez déjà ou bien ?
C’est certainement cela je cajole déjà. bon ce soir la, c’était plus sûrement le gevrey chambertin que je cageolais.
Smiley.
Mais c’est pas faux , en fait du plus loin que je me souviens j’ai cajolé.
Et que pas que des mots, croyez moi,  jusqu'à ce que la lénifiante sagesse me cloître sur ma chaise à
regarder dézinguer les arbres du périmètre , avec une certaine lassitude, je vous le concède..
Enfin tout ça ne pousse pas à laisser glisser dans les grand carreaux, le Waterman et son encre bleu pacifique.. 
Yep, j’écris toujours D’ABORD avec un stylo plume, je suis de la génération des encriers sur le pupitre et des plumes sergent-major.
Un tic de vioque.
J'écrirai bien plus, mais plus tard, quand on m’accordera une retraite, que j’aurai déjà pu prendre
depuis longtemps, si on ne me faisait pas lanterner, que ma plume est unique pour l’entreprise.
Ces boss toujours à la ramasse sauf pour les ritournelles.
Bon.
En attendant qu’est ce qui m’amène en ce soir de canicule ?
Ben les braises de la saint jean sont à peine éteintes. on rentre dans le plein été, et par la grande porte .
Donc c’est l’époque de la radio des blogueurs. le morceau qu’on glisse dans le Jukebox pour l’été.
Voila le mien.
Une musique de nuit tombée.
Par Trente cinq degré un vingt cinq Juin. 
je sais pas si lolobobo a déjà démarré,ni même si il a la pêche pour cette année.
Anyway
Hop in the box