03 septembre, 2020

Timber le gamin.

De mes longues promenades avec Buck sur les trottoirs du labyrinthe des sens uniques d'Aulnay sous, il y a le coup du d'oeil du matin a ce petit Chêne de la rue derrière.

Années après années. 

Comme si je le saluais en passant. Lui que j'ai connu scion ridicule, comme ci dessus, à la naissance des enfants et que,maintenant qu'ils s'envolent, est devenu un jeune gaillard plein de futurs.

Le plus beau du quartier. 

Petit feuillu deviendra grand...


Avec la densification inexorable de notre coin. Les nouveaux chênes 'naturels' de la forêt de Bondy ne sont plus légions.

Celui ci, poussé tout seul est le dernier exemplaire conséquent que je connaisse.

Il y a bien sûr le 'greenwashing' de ceux plantés dans la cour de l'école,  l'annexe du martyr Barrault transformer en primaire d'Ormesson par cette folie locale du renommage des lieux.

Un feu de paille pour masquer la fin proche juste en face du plus vieux chêne d'Aulnay, le majestueux Camus et ses plus de quatre cents ans, pile sur le terrain d'un promoteur




Un qui a peut être vu passer Napoléon.[Je suis prêt à tout pour le sauver, non ;.) ]

Mais revenons à mon gaillard de la rue derrière.

Je suis trop sensible.

En passant hier matin je me suis arrêté et j'ai lâché un

  • Ohh NoOOoon !



Débité le long du mur. Il attend la cheminée de 2022.

Au début j'ai pesté contre les nouvelles constructions, l'absence de VRAIE charte de l'arbre entre les particuliers et cette ville qui se dit sous bois.

Bref.

J'étais un peu véner comme je disais étant gamin.

Mais ma sagesse, le Bosco, beaucoup plus observatrice que bibi, m'a donné la vraie raison.

Les immeubles ici ou là et leurs cuvelages étanche des parkings souterrains, liés au coup de chaud de cet été on eu raison du gamin.

Ses feuilles étaient grillées.

Le réchauffement climatique dans la rue derrière.

Je vais fourrer des pièges à pangolins dans le jardin !

Bonne rentrée les loulous.