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19 mars, 2025

Cinq ans ? vraiment ?

 


 Il y a comme une chaîne dans les blogs que je lis dernièrement sur la date des cinq ans du confinement.

Je n’y aurais pas pensé si on ne m’avait pas soufflé, donc je ne suis pas seul, smiley.

Je me demande pourquoi cette piqûre de rappel, cet anniversaire bizarre, c'est le cas de le dire, si ce n’est pas une petite promo pour le i-manuel de survie promis par notre président.

Vous savez comme les petits vieux yoyottent. Dans ce qu’il me reste de comprenette, ce COVID n'était qu’un épisode de plus à cette petite vie de yin et de yang. Juste derrière le service National, et bien après mes années lycée dont on célèbre demain l'arrivée du Courlu, qui tape plus d’un demi siècle de célébration.

Quoique comme beaucoup, ma vie à basculée depuis. Je me suis décidé bien qu’en rab de quelques années de cotisations à prendre ma retraite.
J’ai aussi déménagé suite au second passage du confinement.

Et surtout, vu la vague de complotistes et autres grands amateurs de rumeurs, je ne loupe plus une vaccination, moi qui tremblais depuis toujours sur les piqûres.

En fait j'ai presque tout oublié du confinement, heureusement qu’il me reste une pile de notes  , ça s'appelle surement cela, vieillir heureux.

Voilà demain c'est le courlu, enfin le printemps !
Carpe diem les loulous .















12 mars, 2025

Vive les liens

 


 J’ai décidé de me poser un peu. Quand je suis en déplacement downtown comme cette semaine, je cours trop. J’ai une liste de tâches bien classée , deux par jours et pourtant j’en rajoute sans discontinuer.
Je me demande si je suis pas un hyperactif qui s’ignore.

Bon ça va un moment, l'âge me rattrape et je dois me poser à un moment, souvent l’aprèm. La machine renâcle. Je respire un peu sur le canap et je m’enfile un vingt cinq de wasser sirop de violette. No comment, je sais, je deviens sage.
J’attends que la respiration reprenne un cours normal et que ma fatigue disparaisse. 


 

Le chat mochi regarde par la fenêtre, puis se roule et s’endort. Il n'est pas habitué à avoir autant de mouvements la journée.
Donc je blogue à ce moment, puisque c'est reposant.
Je pensais que les blogs étaient  has been avec tous ces réseaux qui ont envahi le paysage internet.

Ben, je m’es gourré.

Un petite nouvelle, récemment ajoutée dans ma blogroll, a mis quelques liens sur une de ses notes.
Comme j’ai du temps quand je ralentis, j’ai suivi les liens.
Ha les liens comme disait Nicolas, y a que ça de vrai.
Donc je suis tombé sur des notes sympa, avec des blogrolls , donc j’ai continué cahin cahan a dérouler la pelote.
Oui, les blogs sont bien vivants. Ces jeunes écrivent tous les jours, se font des chaînes, commentent.

Incrédule, je suis resté.

Je les rajoute donc petit à petit dans ma liste de blog. Et mon reader est content aussi.
Voilà.
Une petite note de canap, vite fait.

Vive les blogs.


Hop @+



28 octobre, 2024

GÉANT IWAK 28#

 


JUMBO.

L’ IWAK de ce 28 octobre est un peu compliqué pour moi.
géant. Je n'aime pas ce mot. Surtout l’expression qui va avec :

  • C'est géant.


Je pense qu'on touche là le fond du vocabulaire.
C'est d’la balle est beaucoup plus fleuri.

Quand aux géants, ils ont tous des pieds d'argile, c'est bien connu.
Et puis je suis petit et avec une certaine expérience à la fronde.
Donc normal que je dézingue les goliath.

Voilà j’ai pas trop envie de ma casser l’azerty pour ce géant. Quoique je me suis fais un boudin noir au pommes ce midi. Plat d’automne s’il en est . La , on peut lâcher un facile et populaire :

  • C'est géant.



27 octobre, 2024

ROAD IWAK 27#

 

Road.

Le mot de ce dimanche de changement d'heure dans la liste IWAK. 27 Octobre.

Trois jours que j'ai balayé des notes qui parlent de changement d’heure le weekend du 27 et ce matin j’ai tenu tête au bosco à sept heures quarante lui assurant que le changement était le weekend prochain.
Jusqu'à ce que mon oeil tape l’horloge du four à huit heures quarante.
Je ne sais pas où j’ai la tête. Peut-être, encore , sur la route.

On ze road, comme on disait.

cette drogue de découvertes que j’ai tant fréquenté. Fauché mais heureux. Et surtout jeune. C’est peut être pour cela que la nostalgie est si forte.

J'ai chopé une photo pour la tête de gondole sur mon flickr, du temps où je les rangeais mes clichés. Ce jeune homme, ce fut un peu moi. Sûrement pour cela que je l’ai capturé.

Des mois entiers a user mes camarguaises d’une ville à l’autre , de petits jobs en petits tafs.
Je regrette des tas de choses de ma vie, et certainement en premier cette insouciance de la vie sur la route.
A part peut-être ce banc de la côte d’usure  où j'ai cru être paralysé, ha ha jeune et déjà con.
Voila pour ze ROAD.

Une dernière remarque, comme je l’ai lu ailleurs. Je soupçonne le créateur de la liste Inktober et donc Iwak d'avoir besoin d'évasion, ou juste d'être un rêveur avec des semelles de vents.


24 octobre, 2024

EXPÉDITION IWAK 24#

 

tas d'algues
Étant devenu casanier et taiseux, je peux pas dire que le mot du jour de ce 24 octobre du IWAK est fait pour moi. Les grandes expéditions c’est plus dans ma cour. Même les aventures de découverte chez les vikings sont remplacées par une livraison à domicile, après commande sur leur site du net.

Net qui est en panne d’ailleurs. Une armée de techniciens est venu changer un poteau en bois, ils en ont mis un beau, en résine simili bois. Mais ils ont niqué allègrement la liaison internet.
Je sors et leur demande quand ça va être rétabli.  Un au téléphone , un sur son téléphone  et un qui bosse.

  • Ne vous inquiétez pas on a prévenu Orange

Je ne dis rien. Mais il y a de quoi être inquiet vu la physionomie du câble.

Une expédition de bras cassés si vous voulez mon avis.
Le lendemain, étant chez free,  je me rencarde chez le zinvoi qui est chez Bouygues mais qui connaît celui plus haut qui est chez orange.
Le réseau à l'ancienne.
  • Pas avant le 30 octobre !
joyeux Halloween 🍄 Pis 🍊 Peut être plus la saint Theodore ou la saint Sidoine.

Du coup c'est  radio classique à la place de la télé. J’ai bien tenté une expédition sur Europe1 et RTL mais entendre dire que les français en ont marre de la démocratie chez l’une, ou qu’il faudrait revoir la loi de 1905 pour permettre de facturer l’entrée à notre dame chez l’autre, me cours un peu sur le haricot comme disait Eloi. Un peu une expédition le choix d’une radio pas morflée désormais !

Voilà, pour m'aérer après toutes ces billevesées radiophoniques, je décide donc de mener l'expédition du jour :  ramener les algues pour le potager. D'où la photo en tête de liste.

Il fait doux , Buck se ramasse sans arrêt, sur les cailloux. Je mets mes lunettes de soleil dans la poche de mon tricot de corps. Oui j’ai des tee-shirts avec une poche , je fume plus, mais je trouve ça swag.
Mes sacs actions plein de kombu et de wakabé, zézette à la plage, je rebrousse chemin vers la voiture.

Le soleil réapparaît. Mais les lunettes ont glissés de la poche. Je fais demi tour , mais marron sur marron sur les tas de goémon, c'est plutôt le KK.
Elles sont donc MIA lors de cette expédition.
Nous rentrons.
Demain le mot du jour est scarecrow.

Ça me va. A demain.









19 octobre, 2024

RIDGE IWAK 19#


Le thème du jour est crête. Enfin ridge pour ce IWAK du 19 Octobre.

Difficile. Je suis né avant les punks. J’ai donc jamais eu de crête. C'était plutôt comanchero mon look de jeunesse .

Sinon j'ai pensé aussi à mon coq. Mais j’ai déjà raconté son histoire à koko. Lui il en avait une sacrée de crête. En plus d’un organe de baryton qui a failli m’attirer les foudres du voisinage.

Alors ? Dur ce Ridge non ?
Et bien il me reste LA crête.

Celle que nous avait fait descendre un matin de février Bernard notre chef d’équipe de bras cassés. Un week end de ski à la montagne.

Quand je suis sorti du téléphérique les skis sur l’épaule droite j’ai eu un moment d’arrêt à la porte en regardant cette corde tendu entre quelques piquets au dessus du vide et cette crête du pic du midi .
Le vent soufflait moyen et des petits tourbillons de poudreuses virevoltaient par endroit .
C'est Alain son bonnet à pompon vert sur la tête qui a invectivé nanard
  • Tu déconnes Bernard, on peut pas descendre la les skis sur l’épaule , t’a vu ce vent
la réponse est tombée directe.
  • Tu peux reprendre le télé dans l’autre sens, mais faut prendre un billet gros.
J'étais juste derrière et je vous avoue que je me souviens de chaque mètre. Chacun lâchait sa sentence à la con.

Jean-Marie : si tu perd tes  batons c'est direct chez le loueur de Chamonix.
Raoul : après ça un vin chaud ne sera pas de trop
Je ne me rappelle plus trop de la mienne. J’ai du rire nerveusement. Comme à chaque fois que ça barrait en vrille.

La vallée blanche est un super souvenir. Mais maintenant, quand on me parle crête je revois cette arrête balayée par le vent.

Évidemment j’ai pas filmé, mais bon d’autres sont passés après


18 octobre, 2024

DRIVE IWAK 18#

 



Drive.
Je pourrais vous parler du film que j’ai bien aimé. Mais tout le monde l’a vu.

Conduire.
J’ai désormais une woiture avec boîte auto et même un régulateur adaptatif qui anticipe les freinages des autres tires devant.
Zeu fiouture.
Ce n’est plus de la conduite, c'est un vrai somnifère.

Comme disait le loueur de voiture, à qui j’ai présenté mon nouveau permis carte de credit lors de la location du camion de déménagement :

  • Il vous manque que l’avion !

Ce format CB si pratique, je l’ai échangé il y a peu, par la nouvelle procédure internet  pour les vieux cons à roulettes qui ont encore leur trois volets cartonné rose.

Mais je lui réponds aussi sec.

  • Oui . Obtenu à l’armée. Au service. Une fortune aujourd'hui non ?

Je me rappelle du passage du super lourd. Je venais de réussir le transport en commun sur un bus de transport scolaire qui servait le matin pour emmener les fils de gradés à l'école.
Il y avait de grandes casernes en Allemagne.

Bon pour ce miper drive de super lourd. je me retrouve au volant d’un TBU. un bouzin porte chars, photo plus haut. un Tracteur Berliet Universel. Universel sûrement, mais pas pour le siège conducteur. Impossible de toucher les pédales.

Trop petit.

Décembre il pelait à cette époque. De moins dix à moins vingt certains jours. Je redescends de la cabine, roule ma parka fourrée en boule et la cale au fond du siège. j'ai lu depuis sur la description du Berliet que le siège etait adaptable. la rampouille d'instructeur ne m'avait sûrement pas à la bonne.

Yes ! A moi les pédales !
J’ai raflé l’intégralité des permis.

Et je me suis toujours dit que le personnel engagé était confiant de nous laisser conduire le bus de leurs mômes, qui forcément s’amusaient plus qu'à la maison.

J’ai croisé sur l’A10, à ma dernière virée,  trois tracteurs militaires clone du Berliet qui montaient vers Paname. La caisse est presque inchangée, mais le fauteuil a l’air de s’être amélioré.

Bien que je turbine limite radar, je les ai doublé trois fois et ils sont sûrement arrivés avant moi, ayant eux moins d'arrêts pipi, certes court, mais fusillant ma moyenne.

Bon demain c'est le redoutable Ridge le mot du jour…


JOURNAL IWAK 17#

 

IWAK jour 17 du mois d’Octobre.

Ça commence à tirer dans les jambes. Cette chaîne, c'est comme le tour de France. Faut être organisé, et ne pas avoir une vie dissolue comme bibi, sinon tu lâches.  Je plains les dessinateurs de l’inktober. C'est une tuerie.

Nous, sur l'IWAK, on a juste à dégoiser, c'est plus facile que dessiner.

Et si tu loupes le jour,  tu perds.

Le thème du jour c'est le journal. Je vais le prendre au pied de la lettre et non comme ce blog qui est , en quelque sorte, un canard lui aussi.

J’aime la presse papier. Bon je ne suis pas tout jeune non plus. Dans la famille on garde les UNES marquantes.

Ma grand-mère avait gardé la libération de Paris. Mon reup le métro de Charonne où il avait fini au poste. Ma reum la mort du grand Charles, pensant que la une aurait un intérêt. Le bide.

Moi dans mon cabanon j’ai les deux une du haut.

Je ne peux pas me résoudre à m’en servir pour allumer le feu.

Je ne pense pas que vos puch internet d’actualités soient autant conservés..

Bon demain le mot c'est Drive . Cool.




16 octobre, 2024

GRUNGY IWAK 16#

 


Grungy.

Ha ha ! Le mot IWAk de ce 16 octobre tombe à pic.

Figurez vous qu’après une journée à manier la scie sauteuse sur du placoplâtre, c'est un peu le sentiment que j’ai eu.

Bon. J’avais prévu ce matin que ça ne servait à rien de se laver avant une journée de bricolage.

En final, j'étais crasseux de plâtre jusque dans  le coin des yeux.

Je ne m'étais pas trompé.

Mais bon le placo est posé, il reste les finitions, le bosco va faire l’enduit et la peinture.

C’est moins salissant. Ces niches à bûches semblent en bonne voie.

Demain le mot est journal. Comme un blog quoi.

Je vais prendre une douche histoire d'être moins souillon.

A demain !


15 octobre, 2024

GUIDEBOOK IWAK 15#

 


Pour le thème du jour, guidebook, je l’avoue je me suis dit, trop simple, c’est sur ce blog.

Du coup puisque je vous ai parlé de l’Union des Républiques Russes il ya pas deux jours, je vais pas remettre ça.

J’ai cherché un coin ou deux dans ce carnet à vous donner plutôt qu’un guide, pour une envie d’y passer. Tout d’abord parce qu'elle fait l’actualité avec son coût de la vie effarant et qu’elle est la destination que j’ai le plus fréquenté, la Martinique. Mais je peux vous filer comme un lien vers l'isle Bourbon l’histoire de biscotte un endroit ou vous pourrez rendre visite a Olivier.

Je n’ai pas retrouvé le guide du Danemark, ou je me suis bien plu aussi. Normal, j’aime le spad. Je ne peux pas passer à côté  de la claque du Japon qui deux ans après résonne encore.

Si vous voulez partir moins loin, j'ai le perigord en stock . Ou le neuf cube. juste en prenant le RER B, mais pas trop tard le soir, souvent lourdé pour les travaux du train des riches : le CDG Express .

Voilà ce blog est parsemé de carnets de voyage.  Faut juste les retrouver, c'est pas rangé dans cette malle à mots.



12 octobre, 2024

REMOTE IWAK 12#


 J’étais bien dans le potage avec le mot IWAK du jour. REMOTE. Déjà j’ai dû faire un translate. Pour moi remote c'était distant. Un peu ce que je suis devenu.

Mais Google translate me lâche : télécommande.

Bon on va faire un mix. Une compile .
Télécommande distante.

D'où ma photo du jour en tête de gondole.
Les professionnels de l’archéologie se sont posés ou se posent encore des questions sur la finalité de tous ces hommes debouts en granit.

Le lien avec les étoiles est évident quand on dort une nuit sans nuage ici. Il y a de quoi apprendre la carte du ciel par cœur tellement ça scintille de milliards de points.

Mais ces pointures n'ont pas vu que ces rocs n'étaient en fait que des télécommandes distantes du néolithique.

Ça vous en bouche un coin, ou vous êtes dubitatif. Pourtant les pierres émettent des ondes.  Ma théorie tient autant que celle de Goscinny qui chassait le romain avec ces pavetons.

Bon en tout cas j’ai traité le remote, mot du jour. Mais je suis peut-être pas si ‘distant’ que ça, juste 'fêlé' 😉



11 octobre, 2024

COLLATION IWAK 11#


Snack, collation, en cas. C'est le mot du jour de ce 11 octobre dans l’IWAK du WWW.

Bof, j'évite de snacker entre les repas. Ou alors un fruit, ce fameux kiwi dont je fais une consommation journalière avant l’hiver.

Un peu plus bas dans ce village, il y a une maison avec une clôture couverte de kiwiller 🥝. Je pense que c'est comme ça qu'on dit, j’ai la flemme de googler.

Tout les ans, le monsieur, ou la dame, je l’ai jamais calculé, mets une caisse de kiwi de sa récolte dans la rue , avec une pancarte ‘à disposition '

Je trouve ça sympa. Étonnant par les temps qui courent. Mais revenons au mot du jour, collation. Si ce n'est pas mon truc, la cuisine le
devient elle. J’ai un compte marmiton ou je stocke mes recettes. On m’aurait dit ça il y a dix ans j’aurai hurler au loup. Mais y a que Barnier ou Macron qui changent pas.

J’ai eu les félicitations du voisin a qui j'ai filé un pot de ma confiture de mûres de la wild coast pour ses en cas.
Et celle du bosco, ex maître de la cuisine, et qui m’a félicité pour mon colombo de thon.
Elle n’a jamais faim, et snack du bout des lèvres. Mais la, elle a fini le plat, c'est un signe non ?

Bon à demain, en remote 😉

10 octobre, 2024

NOMADE IWAK 10#

 



Je fus nomade.

J’aime bien cette formule qui sonne un peu comme une ligne échappée de Dune.

En fait, c'est à l'époque de la sortie de ce livre que je me suis barré avec ma 4L à l’arrière de laquelle j’avais aménagé des étagères en contreplaqué pour bien ranger mes deux 501 , six tee shirt et deux tuniques. La mode était à la tunique, même pour les keums.
Nomade mais maniaque.

Cette armoire roulante, cela avait fait rire le garagiste du lot, au moment où j’ai claqué une fourchette de la boîte de vitesses.
Saviez- vous qu’il y avait une fourchette dans une boîte de vitesses ?

Bref je vivais dans la tire d’un job de saison à l'autre. Par choix, pas par nécessité comme pour beaucoup aujourd'hui.

Abreuver de lectures jusque là, pas d'écrans pour dénerver les djeun’s de cette époque. j’avais donc soif de sortir de mes kinbous pour affûter mon romantisme au monde. Il a vite été fusillé platoniquement par les yeux en amande d’une jeune fille de la chambre d’Amour.

Heureusement les années ont filés et j’ai dû me sédentariser. Car la vie de nomade use, je vous le dit. C'est une aventure au jour le jour.
En tout cas je garde un grand souvenir heureux de cette période, ce qui me fait un capital de joie, qui à mon désormais âge avancé, est un vrai trésor.

Même si de nos jours cette vie aventureuse doit être moins facile, n’hésitez pas si le gris vous oppresse, ailleurs l'herbe n'est pas forcément plus verte, mais le ciel est bien bleu au sommet de la vallouise.

Voilà de quoi alimenter le mot Nomad du IWAK de ce 10 octobre, tiens.




09 octobre, 2024

SUN IWAK 9#


 Aujourd'hui le thème de ce IWAK 2024 est Sun.

Le soleil. Un thème difficile en ce mois d’octobre qui démarre comme septembre, avec des ondées en veux tu, en voilà.

Ce jour, c’est Kirk qui met le dawa , nous imposant plus de douze heures de drache. Bon faut dire aussi que ses parents l’ont pas gâté, avec un blaze ça comme, je comprends qu’on s'énerve.

J’ai eu une amie, y a cinquante piges qui s’appelait Fernande. Elle en a souffert. On l’appelait Fanny.

J’aime le soleil. Je vous ai pas retrouvé ma bobine avec l’éclipse de quatre vingt dix neuf, super dangereuse. On devait acheter des lunettes spéciales pour la regarder. C'était l’événement de fin de siècle, avant bien sûr ce fameux passage à l’an 2000 où on allait tous mourir, à cause de ces enfoirés d’ingénieurs qui avaient merdé, comme d’hab.

Le ☀️.  Avec mon pso, c’est l’allié absolu. C’’est donc une de mes divinités préférées. Même si j'aime beaucoup les pierres et l’eau.  Forcément.

Bon vous remarquez que j’ai les trois divinités principales. Ça érase un peu les monothéistes, non ? Rà maîtrise parfaitement le changement climatique, lui.

Voilà pour le soleil. La tempête Kirk m’a sûrement un peu trop aéré les esgourdes. Faut que je sorte le chien maintenant que la pluie a cessé.


08 octobre, 2024

MARCHE IWAK 8#

 


Le thème de ce huitième IWAK est marche, ou hike dans la langue de Shakespeare.  Comme on a traité la randonnée il y a deux jours, je dirais que pour la marche il n’y a qu’un pas.  Et qu'il a déjà ete franchi.

Donc la, manque d’inspiration, j’ai loupé la marche.

Mais dans le mot marche, il y a aussi la marche comme celle que j’avais fait après les attentats de Charlie.Voilà aussi comment je comprends le mot marche.
Autant de monde, si différents et cette atmosphère. J’avais fait une note à l’époque.
Cette marche là, m’est restée.

Allez zou. 

Demain le mot c'est 'sun' alors que le silence de ce soir présage de la première tempête  annoncée .







07 octobre, 2024

PASSEPORT IWAK 7#

 

PASSEPORT IWAK 7#

Bon ça va pas être facile. J'ai cherché pendant deux heures une photo de mon précédent passeport avec sa copie une page plus loin en cyrillique, mais impossible de mettre la main dessus.

Je voulais vous raconter la recherche de mon visa pour partir à Saint-Pétersbourg. Ça c'était avant la fameuse blitzkrieg de Poutine. Plus mauvais que Macron celui-là. C'est pas peu dire.

Bref la gestion du visa via l’agence de voyage étant d'un coup de près de 100 balles et comme je suis curieux et que c'était sur Paname ou je taffais encore, je me suis pointé dans les beaux quartiers,  avec mon formulaire dûment rempli et tous les papiers qu’il fallait.

L’accueil fut chaleureux, mais bon remplir le formulaire avec le stylo bleu, ça collait pas.
J’ai dû revenir. deux fois.
Finalement j’ai eu mon visa.

La ville de Pierre le Grand est fantastique, mais il y a toujours un mais. Les procédures de présentation pour le retour du passeport ont été spéciales.

Il y avait des portiques, au métro, à l'entrée de l’aéroport où on nous a remis nos passeports, conservés par l'hôtel lors de notre séjour. Et plus loin lors de l'embarquement avant la douane. Après tout sa, on se retrouve devant des sas individuels ou on attend sagement  la lumière verte pour rentrer.

Je tiens mon sac à dos main gauche et mon passeport main droite.
La lumière verte s’allume. Je rentre .
Un couloir aveugle de deux mètres.
Une porte en face et une glace sur la droite avec un douanière ou un policière, enfin une meuf en uniforme un peu strict.

L’air sévère. Il faut se placer en face sans sourire.
Elle est jeune 25, 30 .plutot jolie. une beauté slave. les cheveux noirs geai attachés sous le caliquot reglementaire.
très joli port de tête.
Je suis détendu.

Elle me demande d’ouvrir mon blouson .
J'obtempère.
Puis elle me fait un signe comme si je devais lever mon pull.
On a beau être chez les cosaques, si une minette de trente piges me demande de lever mon polo je peux pas, passé soixante, ne pas déconner.

Je lève les sourcils, et émet avec les yeux un :

  • Vraiment ?

l’espace d’une seconde je vois ses yeux en amande s’étendre sur un sourire , mais elle se reprend vite, sûrement la caméra en haut à gauche.
Elle répète le geste le visage fermé.
Je lève mon pull.
Elle me rend mon passeport. Son regard c'est radoucit. elle sourit.

Je pousse la porte . Me voilà en route pour la Suisse.  Mais j’ai déjà le regret des gens.

Avec tous les événements actuels, je ne pense pas que j’aurai l'occasion d’y retourner, mais c’est l’un des pays qui m’a le plus ensorcelé.

En plus je sais comment obtenir le visa sur le passeport du premier coup désormais .






06 octobre, 2024

RANDONNEE IWAK 6#


 Le mot du jour du IWAK du 5 octobre 2024 est randonnée. Si je ne suis plus un grand adepte, je stagne à peine à huit bornes par jour avec Buck, qui a de plus en plus de mal à passer le sixième kilomètre.

Je fus un grand randonneur dans mes jeunes années. Les colos de montagnes d’Aulnay-sous étaient basées sur le trek pour fatiguer ces jeunes gens intrépides que nous étions. D’ailleurs on ne disait pas trekking mais bien crapahut. Prononcé avec un K pour que ça sonne difficile .

Je me rappelle particulièrement de celle située à Bellentre, où il construisait une station de ski plus haut, un camp de toile en pleine montagne,  ou nous nous retrouvions par téci dans des grands marabouts. Il y avait la tente des 1000-1000, celle de Bala. Que des ados. À celui qui bavasserait le plus de récits d’aventures improbables à la Frison Roche. Heureusement qu’il y avait le Krapahut. Je garde un souvenir merveilleux de ces abords de la Vanoise. Et comme disait Jean
  • Pourtant que la montagne est belle !
Mais revenons à nos circuits pédestres. Je trouve les choses un peu trop ‘codées’ de nos jours. Les bâtons de marche, les chaussures de marche, le gps, les sentiers balisés.
Trop de merchandising. Cependant l'idée m’est venue, moi qui suis un incorrigible athée, de faire une partie du chemin de Compostelle, en partant du Lot vers les Pyrénées. Mais aux beaux jours. Hein. C'est dans les cartons, avec le permis bateau, le retour du cheval et autres rêveries de vioques.

Voilà ma vue pour le snorkeling. Je vais commencer par une sieste, comme tous les jours après le déjeuner.


05 octobre, 2024

JUMELLES IWAK 5#

 



Ce jour, le mot IWAK du 5 octobre est jumelles. Me voilà bien. Cette fois-ci, c'est un challenge. Évidemment comme tout pirate j’ai une paire de jumelles.

Je les tiens de mon daron. Je vous les ai mis en tête de gondole. Je me demande ce qu’il marnait avec. Peut être comme la ritournelle du chanteur, “ alors on regardait les bateaux”

J’en ai une autre paire de longue vue, celle du mousse, plus petite que je sors à Chantilly pour le prix de Diane. Je peux bignoler les chapeaux des rondes bourges et la croupe des pouliches dans le rond de présentation

Je ne me considère pas comme un expert de la piste des Lions, mais pour la chute de rein des alezanes de cette course je me gourre rarement.

Au départ ce samedi matin pour ce challenge du jour,je voulais vous prendre deux poubelles plastiques jaune jumelles pour cette note.
Le samedi c’est le jour du ramassage des plastiques, toutes les semaines paires.

Mais le bosco si est opposée.

  • Tu as dépassé la carte vermeil de presque dix piges et tu prends en photo des belpou ? Tu es complètement fou ! Mais quand va tu grandir ?

Je me range à son avis.

Donc vous n'aurez que les jumelles du daron, et la chanson qui va avec.




04 octobre, 2024

Exotique IWAK 4#


 
Mon porte-manteau est exotique depuis quelques temps. Depuis que mon masque makondé victime du dernier déménagement trône dessus.

Le mot du jour pour l’IWAK du 4 octobre étant  ''exotic', ça tombe plutôt bien.

Je suis un grand collectionneur d’objets d’ailleurs. Faut dire que la SSD étant un lieu plutôt gris, j'ai pris l'habitude très tôt de glaner un peu de rêve et de couleur en amassant des objets.
Mon Tiki est resté sur place. Faut que je pense à le délocaliser.

Dans la série exotique il y a aussi le fameux combawa ramené en graine de la réunion.
Lui je l’ai pas oublié lors de ma dernière virée.
Il reste encore un peu dehors, j’espère encore quelques beaux jours .


Dans mon inventaire d'objets exotiques j'ai encore une liste de bidules à la Prévert assez inutiles, très beaux et tous chargés de souvenirs.
Je pourrai vous dérouler l’intégralité mais on va y passer l’après-midi.
Le dernier arrivé depuis septembre est un casque de brousse qui s'affiche sur le meuble, exotique, de la salle à manger.

J'espère que le chasseur sous le casque a été dévoré par un 🦁 voire une lionne pour ne pas faire anti metoo.

Allez à demain, comme disait Lucien dans le jeu des 1000 Francs,(encore un truc exotique ) si vous le voulez bien 👍🏼





02 octobre, 2024

DÉCOUVRIR : IWAK 2

 


 J'ai raté le premier jour du Inktober pour les blogueurs, le fameux Iwak, sûrement parce que les soucis quotidiens avaient le dessus.

J’aime bien ce nom IWAK ça rime avec mon nimportnawak. Et puis les chaînes blogger m'ont toujours branchées.

Pourtant j’avais lu le post de Laurent sur les sacs à dos. Et seul le grand yaka sait le nombre de besaces dorsales que j’ai usées. Comme les écoliers chaque année, je changeais de bag pour me rendre au taf. Faut croire que le RERB les usait, ou que c'était une forme de coquetterie de road runner.

J’ai toujours un sac dos avec son araignée de petits sacs interne pratique pour tout organiser.  Et même un tout petit dorsal genre cycliste.
Chiné 5 € a une brocante et qui me sert de sac à ✋🏼 fourre tout.

Mais le thème de ce deux octobre est DÉCOUVRIR. Ça tombe bien, je découvre ce IWAK, grande nouveauté pour les pisseurs de lignes comme bibi, qui, par ces temps enveloppé de marasme et de moulte soucis dans le périmètre tombe à pic pour nourrir ce carnet.

J’aurai pu faire le Inktober il y a quelques années, avant que la quartier maître ne s’empare du sujet ou elle est passée maître. Maintenant ma main tremble trop, déjà quand j'écris ont dirait docteur folamour, j'ai du mal a me relire, alors dessiner 🤣

Mon dernier dessin de 92, trône dans les tinettes

ce qui vous donne une idée de mon égo de dessinateur. Alors un texte par jour est une excellente gymnastique pour ce blog. Vous pouvez trouver la liste chez Matéo si ça vous chante de bosser un peu, bande de blogueurs fainéants. Je ne cite personne, les flemmards se reconnaîtrons.

Je vais essayer de tenir le rythme. Cela m'effraie un peu mais bon rien de tel qu’un challenge pour un vieux grigou taiseux. Et puis dans ce VRAI automne qui m'enveloppe déjà un peu trop, ça va être une sympathique récré.