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20 décembre, 2023

le père 100

 


Il fait encore nuit. Mais je me lève de plus en plus tôt . Au début de ta retraite, si longtemps attendue, surtout quand tu as plongé dans le rab quelques années, la fameuse soif de l’or, tu te dis, c'est cool je vais me permettre une grasse de temps en temps.

Je ne connais qu’un de mes potes de CE2 du parc qui comme moi ne faisait pas de “projets” pour sa retraite.
Un peu usé lui aussi par une vie chargée, mais dans son cas au service des autres, il me disait dernièrement : 

- Rien faire me va très bien.

Je suis bien raccord,
Cent jours.
Voila donc pile le compteur depuis que je ne taffes plus.
Le père 100 comme on disait pendant le service.
Mais à l'époque le calcul était dans l'autre sens.
J'ai mis du temps à réaliser. Ralentir c'est pas simple après quarante sept piges de chagrins.
Mais un branleur dans mon cas, a vite mis un pilotage petit vitesse.


il vaut mieux la machina ne suit plus.
tu constates que le moteur pousse moins, fatigué. Pis des pièces commencent à déconner.

Ma mémoire met les bouts, et mon palpitant ne monte plus les côtes en spad sans évacuer le vacarme du souffle d’un morse

Du coup, ton équipage inquiet de ce râle que tu extirpes en mettant tes chaussures, te pousse à prendre rendez-vous pour des contrôles techniques.
Essayer de choper une date  avant 2025 est un challenge.
On s’en bal ,la peur n’a jamais évité le danger. S’il y a bien un mot que j’ai gardé de mon pote d’enfance rebeu, c'est bien ce  

mektoub 

La fête est bien trop belle pour que ça dure.

Je deviens donc hyperactif.

Je planifie mes journées, longue TODO avec quand même une plage farniente ou lecture qui elle, évidemment ,ne rentre pas dans les cases.

Le temps file beaucoup plus vite que quand tu travaillais. 

La preuve ? Tu ne fais pas grand-chose en plus.
Je déconne. Je cuisine un peu, je viens de tenter mon premier hachis que j’ai glorieusement photographié pour la postérité.

Ou cette magnifique tarte aux pommes en tête de gondole. une vraie réussite.

Je passe aussi une bonne heure et demie à courir , enfin marcher, arpenter le ruban et le sirop d’la rue avec mon vieux Buck qui a encore plus de mal que moi à arquer, et sent encore plus mauvais que ma pomme.

Voila je vais profiter de ma présence sur PC, de moins en moins fréquente, pour décrocher un ou deux trucs de ma page de garde, ou peut être même revoir ma page web. juste laisser la blogroll.  Allez je file je suis débordé

Allez on finit en musique de vioque tiens.







19 décembre, 2023

La harpie qui a fait 💩 sur le texte de mon pote



 Il fût un temps ici ou je dressais le portrait de mes potes, étoiles ou comètes.

Comme si j'avais déjà senti que ma mémoire, arrosée minot au lsd, puis fumée au chanvre afghan, partirait sur le tard comme l'eau du bain, en tourbillons de glouglou dans un trou noir étincelant.

Un bidule pour me générer juste un fil pense bête sur le ternet.

Ma galerie est bien incomplète. Miko, Daniel et une recette de Bébert on ouvert le bal.

j'ai encore deux doigts libres dans ma main gauche, la main du cœur.

Donc aujourd'hui on va parler de Claudius, le flamboyant.

D'autres comme Momo aurait pu sortir, mais les vies trop tumultueuses doivent attendre la prescription des cinquante ans.

On y est presque.

Pourquoi le grand rital au profil de Caesar ? parce qu'il s'est mis à écrire et   que je lui trouve une certaine plume, on va dire sergent major, pleine de pleins et de déliés. Son côté du sud et sa poésie méritent le détour.

Seulement il ne s'est pas encore positionné à la mise en ligne. pas de blog. ni de journal, il se contente d'envoyer chaque texte à ses proches via mail en destinataires à la place de copies invisibles

Erreur fatale.

On est trahis que par les siens, c'est bien connus. 

Une de ses belle sœur, ex baba, donc toute naturellement convertie au wokisme, s'est plainte qu'il avait utilisé son prénom pour évoquer dans son laïus, une jolie postière qui lui avait tourné les sens avec son minois et son sourire, à ce tombeur sur le retour.

Du coup il a du caviarder son texte pour changer le prénom, et comme il n'a pas présenté d'excuses à la chef dé constructrice, le keum de celle-ci, à la botte, arch so, c'est fendu d'un retour cinglant via mail, toujours en copie tous.

cent convives au règlement du quiproquo, une vraie scène du douze.

le must de l'incorrection. 

Du rififi dans sa famille, par une harpie qui ne sait pas lire un  texte, ou qu,i à près de septante, se prend pour un des sept piliers de la sagesse.

La synthèse de ce non événement, c'est que même les vieux ont le bulbe gangrené par cette théorie de la vigilance sur tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.

La nature est un havre de paix ou il n'y a que égalité et gentillesse.

Mais comme, pour bibi, la liberté d'expression est une et indivisible. 

je me suis donc un peu échauffé sur ce bidule.

Donc je vous remets ici le portrait de ce grand amoureux de la vie. 

je l'avais réalisé pour un de ses textes où il nous croquait tous.

voici donc mon pote,  Claude : 

C comme César, Claudius noster ou chez les ricains, Gere comme Richard.

Il faut bien que je m’y colle. Aucune de ses copines, pourtant harengères trois étoiles, ni aucun de ses potes, ce ramassis de menteurs, mythomanes, esbroufeurs de premières ne s’y lance. Je ne vais pas reprendre sa méthode, fruit de longues études, pour vous dire où je l’ai rencontré la première fois. On est PAYS. 

On s’est croisé dix fois, avant un soir de décembre quatre-vingt à Villepinte célébrer les étoiles devant son appart de location. Inutile de tourner autour du pot, ni de mettre la poussière sous le tapis, notre Claude est une STAR. Une étoile à part dans la galaxie des potes. Est-ce parce qu’il brille plus que les autres et attire à lui tous les astres du périmètre ? Ou est ce son naturel, son affabilité et l’attention qu’il porte à chacun ? En tant qu 'affreux pirate, je ne sais pas. Mais le résultat est qu’il est, forcément, le centre de l’univers. On s’est rencontré tard, il naviguait avec une bande des mille-mille, la Didier’s band et moi celle de Balagny. La poussée d’hormone de la fin de l’enfance et la chasse aux belettes qui en résulte ne pouvait qu’immanquablement nous faire nous rencontrer.

Depuis une solide amitié, enfin plutôt attachement, je me méfie du mot amitié à notre époque où le genre devient indécis, je ne voudrai pas qu’il y ai un quiproquo nous lie 

#MDR. 

Mais je déraille, c’est l’âge. Je disais donc, une incassable camaraderie nous attache, comme elle vous amarre tous aussi à  sa gravité. Quand la corde m’est tombée sur le cou, c’est tout naturellement que je l’ai pris pour témoin. Tous ces moments si ébouriffants vécus ensemble, souvent excessifs, toujours romanesques le désignait forcément. 

Voila j'ai a peine rajouter une date. En grands consommateurs de cette fabuleuse vie dont on sait tout les deux que ce n'est qu'un one shot et que le paradis est réservé aux pisses vinaigre des grenouilles de bénitiers.

j'avais dit que je reviendrai pas avant 2024.

c'est raté, je suis définitivement un vieux con, surtout quand on chie sur le texte de  mon pote.


17 décembre, 2023

Mes dix de 2023



C'est un marronnier ici

En fin d'année, je vous reprend dix photos que j'ai prises dans l'année.Je prend plus beaucoup de photos, mais bon, j'en ai trouvée dix .

J'avais une note sur les cent jours de ma retraite, mais c'est pas l'époque. J'y marmonnais que les vioques, mes désormais collègues, vendredi aprèm investissent en une nuée de tamalous le Leclerc.
Un vrai rallye de chariots, avec que des gus qui ont eu leurs permis avant que la ceinture existe.
Tout ça vote largement à droite, mais roule à gauche. Un beau bordel.
Je vous parle pas du dos argenté, avec son sac de victuailles, qui ère l’oeil un peu perdu, dans le fond du parking à la recherche de son Scenic.
Me sentant Radoteur, je laisse donc tomber le troisième âge.
Voici donc un bateau, pour vous souhaiter de bonnes fêtes. je suis pas certain de revenir avant 2024.
Je suis en cavale de mémoire. J'ai plus trop d'idée de notes, le bordel ambiant ne m'inspirant pas.
Donc c'est photos.
voici la seconde la tempête de novembre.


Ce n'est pas la tempête ciaran, je crois que j'avais, en vain, tenter d'ouvrir la porte de la voiture au même endroit.

la suivante ou la troisième.
j'aime cette photo, parce que je kiffe la mer. Et les éléments déchaînés. sûrement pour ça que je me suis toujours acoquiné avec des potes plus barrés, ou presque, que moi. En tous cas on voit plus le lavoir, il est mangé par l'écume de mes jours...



Ces moutons , dans les alignements de Carnac, c'était en mars ou avril.
Je roulais en revenant de je ne sais ou et je me suis arrêté pile à l'arrache sur le bas côté pour prendre la photo.
Je dis je ne sais ou, parce que j'oublie de plus en plus de choses. Récentes ou anciennes.
Un mouton blanc et un noir.

La fameuse dualité. 

Dans mon cas le bien et le mal ce n'est plus vraiment un problème, vu que ma carte SD est volatile.
Pas de remord. A savoir si j'en ai jamais eu. Ça aussi j'ai oublié.

Mais j'ai peu d'ennemis, où ils sont tous déjà décorés croix de bois .😉

 
 ces brises lames sont la juste pour un Intermède. être un jeune chêne et finir sacrifié à Neptune pour qu'il épargne les trois ruines sur le bord et un cimetière de bateaux.


Jamais beaucoup de selfie de ma pomme sur ce bieux blog. mais la, il y a deconne , et j'adore faire le con.
j'ai tout mes permis, depuis la soixante dix huit douze. et donc en bon corp franc, l'idée d'emprunter une moissonneuse batteuse pour le fun, m'a traversé l'esprit en ce joli mois de juin devant cette bécane garée la. Comme quoi à deux ans de septante le flibustier à quelques restes 😉


 
Sûr que pour les photos de 2023, je ne pouvais pas passer à côté de mon seisme visuel Japonais.
Cette photo toute simple du coeur de Tokyo.
les plantes sont sorties dehors, sur le trottoir. les réverbères sont souvent fleuris.
Un autre monde non ?  
On peut même dire une autre planète. un société ou le vulgus pecus valorise son quotidien et son héritage.
je me souviens de ces minuscules écoliers, en uniforme tous différents selon l'école, qui partent pour la journée, à pieds, avec leur rikiki sac à dos, goûter accroché par dessus les porte clefs de héros manga qui brinqueballes, et petit balai en fibre de cocotiers sous le bras. Pas pris de photos car les enfants ne doivent pas circuler dans le cloaque de l'IA d'internet. mais ils etaient déjà fiers et responsables à a peine cinq ans.
une claque qui résonne encore...


Allez c'est sur ce fabuleux pays, ou j'ai fait le plus de tofs en ce mois de mai. ces deux amoureux, à la porte du temple. je les ai trouvés super romantique. Et ces deux mots francais, posés en vrac sur le sac que je n'avais pas capté avant de posé le cliché ici.
bon je leur souhaite beaucoup de bonheurs à ces deux la.

 

ah !  les transports en commun japonais ! ils méritent bien une photo ici. le métro , ici .
rapide ponctuel mais j'ai dejà raconté tout ça. je persiste. un exemple à copier, et vite !



Kyoto by night. de faux airs de decor d'indiana jones avec cette lumière.
joli souvenir, jolie ville, toute sa place ici.


pour finir ce jeu d'offrande dans le jardin d'un temple. le bien nommé temple d'or. Enfin il me semble, j'ai un peu forgot. il faut mettre le yen dans la coupelle en fer. A première vue plein de malchanceux , dont ma pomme ont ratés leur voeu. 
J'ai recommencé plusieurs fois.
Mais les dieux ne m'étaient pas favorable ce jour là.

Bonne semaine les gens.
 

 


08 décembre, 2019

Down in....


Bon voila plus d’un mois que j’ai pas pondu une ligne ici.
la vie est devenue tellement difficile sur Aulnay sous.
Nan je déconne.
les minusculess ont téléportés un olivier plu-ri centenaires pour remplacer nos tilleuls.
j’aurai pu râler mais j’étais trop occupé de l’autre côté du web ou des businessmens ont tentés de m’interdire un truc
donc je n’avais même pas conscience.

ce qui m'a un peu VNR, j'ai du me débarrassé de ce bidule pourtant sympa mais rempli de PUB.
j'ai jamais aimé qu'on m'interdise. c'est pas des commerçants du ternet qui vont commencer.

Je me suis dit mec. va commenter chez Jegoun ou chez Falcon Hill , voir chez le très vilaine langue,
mais aussi doué Didier .
Et puis j’ai du ranger des papelards pour obtenir ma retraite.
Après un peu de rab sur les soixante deux officiel, j’ai décidé de poser mes valises. 
Avant que ça parte en couilles. les pirates ont du flair pour les entourloupes.
D'où mon bulletin d’Eugène de Soixante quinze que j’affiche  comme un drapeau en tête de gondole
à tous ces endormis qui ont des masters, voir comme moi aujourd'hui des Doctorats de la VIE.
Un petit coup de COURLU ne saurait nuire.
Avec le regret de ce prof de philosophie.
Qui a déjà eu les regrets d’un prof de Philo ?
Sans DEC
Demain pour mes deux dernières semaines , je me fait un resucée de quatre vingt dix sept.
Je vais monter en spad au taf à Paname, juste pour voir. sous la pluie.
je pourrai télé travailler. 
Mais je suis d’une autre génération que ceux qui patientent tout seuls dans leurs woitures.
Ceux la sont déjà morts.Croyez moi, dans le genre accro, j'en ai vu d'autres avant.
Franchement je me croyais déjà grillé à ressasser mes souvenirs en serrant les paluches des notables qui
vous offrent un repas annuel chers ‘petit vioques’
En espérant qu’ils mettent le bon bulletin dans l’urne .
Quand j’ai écouté ça.




Et hop c’est reparti comme en quatorze

23 août, 2019

19 septembre, 2013

Ritournelle Et Réseau Bof Plus [RERB+]


Ça fait un bail, non ?
J'étais en panne quelque part dans les sargasses de cette rentrée.
Plus les années passent plus ça tire.
Si je tenais un de ceux qui m'ont rallongé de sept cent trente, hum je lui en collerais des likes , pour sûr.
Alors je parle peu.
Juste je chantonne toujours le même refrain sur mon spad pour oublier la pluie.
Je suis trempé aux épaules.
Faudrait que j'achète une bombe pour imperméabilisé ma pelure.
me voila arrivé.
Avec ce qu'il drache, les gens squattent l'abri vélo en attendant leur bus. excusez, merci. c'est quand même bien humide pour mi-septembre.
je descend en saluant martin, le cadavre de l'escalator.
Ce qui est plus dans cette nouvelle mouture du RER B, c'est que je ne cours plus le long des couloirs de la gare.
je m'assieds dans la première ZBD83347 qui passe.
je sort un bouquin et je regarde pas la fenêtre, le livre sur les genoux.
J'enlève mes lunettes. Hop ! cette fois ci mon sas est hermétique, suis barré.
On entend que le bruit de l'attelage du train et le sifflement des freins avant chaque station.
Alors dans cette soudaine brume le refrain revient dans ma caboche.
Mince...
Bene, comme c'est tendance dans le 93600 de poster des vidéos aussi donbaves qu'un programme construit au fil des rencontres boulevard de Strasbourg, je me lance aussi.
Tiens, pour le programme par exemple :
- qu'est ce qu'on pourrait bien faire du désormais inutile PIR payant, maintenant que les trains sont omnibus et que le parking à Blanc-Mesnil à peine plus loin est gratuit et avec une station en moins ?
j'ai bien une idée, moi ;.)

Et pour la vidéo tenez voila, avec la ritournelle, of course...

02 mai, 2013

les deux pommes




Voilà deux fois cette semaine.
Je sais. Jamais deux sans trois. Cela commence à faire beaucoup.
Lundi un hyper à bas prix qui commence par li et finis par dl.
J'ai tout de suite calculé les deux mamies devant moi dans le rayon. Leurs façon de prendre un article de le reposer. Tourner la tête à gauche puis à droite. Stress.
Deux débutantes en piraterie, cent cinquante ans a elle deux.
A y est .la boite de thon à disparue . me voilà derrière elle à la caisse. Elle se chamaillent pour un article qu'elles reposent.
Le bosco se penche vers mon oreille.
- je suis sur qu'elles embrouillent.
- a leurs âge ? Tssss....
Mardi chez karouf market. In ze city comme ils disent. Encore une vielle dame en caisse, elle hausse le ton en agitant un sac en plastique avec deux pommes.
- trois euros vingt le kilo ? Vous n'y êtes pas elles sont en promotion je vous dit à un euro vingt cinq. trois € le kilo de pommes. vingt balles. Belle Europe.
La caisse est bloquée. Le responsable du rayon se déplace.
- non madame ce sont les petites à un euro. La dame repose ses deux golden.
Elle repasse devant la caisse en nous regardant tous bien dans les yeux. Enfin ceux qui la regarde.
Combien coûte deux pommes à trois euros le kilo ?
Je vous laisse le devoir, réfléchissez y entre deux ponts.

03 février, 2011

Blowback

Made in Aulnay
En fait tout mes lecteurs le savent, je suis un affreux chauvin.
Allez petite histoire de cette tofdujour ©
je partais faire mes courses hebdomadaire quand je l’ai calculée. 
Pas de place pour stationner dans ce virage d'autoroute et pas eu le temps de sortir mon TZ, engoncé que je suis dans mon manteau d’hiver.
Tout absorbé par comment j’allais mettre en boite cette belle image , je ne suis redescendu IRL que dans la queue de ce supermarché à coté de ces robots de caisses automatiques.
Un vieux monsieur avec un petit cabas et une baguette moulée papotait avec une caissière qui en manipulait frénétiquement son ticket de bisphenol A.
- c’est elles qui payeront ma retraite ironise la dame.
- je ne passe pas au caisses automatiques je tiens a ce que vous conserviez votre emploi répond le charmeur en regardant dédaigneusement les terminators à caddie.
- pis de toute façon j’ai pas de carte bleu continua-t-il en rangeant son chéquier , je ne paierai jamais ce bout de plastique.

   hé ! c’est dans l’air ou quoi ?

En tout cas avec le blowback imprévu de la mondialisation en ce début d’année, et comme je le suis déjà un peu ,ancien, moi aussi , je tiens à la féliciter cette publicité.
si si.
puisqu'on barre dans les si, si je change mon vaisseau de vingt ans , je prend une C3.
féliciter un Pub, tout arrive, allez y,chambré , je radote pas .
Car c’est les Cantonales d’Aulnay Sous Nord et comme pour cette publicité, j'attends avec impatience sur le net pour voir comment vont innover, par exemple en faveur de l’emploi local, nos aspirants conseillers généraux. 

Faut bien que je souffle pour ceussent qui seraient tenter de nous faire une dynastie de l'immobilisme.


   hé ! Auriez vous vu que le monde change ?


Et la photo me direz vous, hein .
Bien je mondialise aussi moi , j’ai embarqué mon crabe, en stagiaire non rémunéré qui a mitraillé en passant  par la fenêtre ouverte.
A râlé tout du long en précaire de choc arraché à sa wii , sur l’ineptie d’un tel commando.
A moitié raison ,mon ponton est au sud , je suis pas concerné .
Mais notre ville est de plus en plus une marque qui gagne , des succès ici ou bien la et maintenant cette affiche.
Comme plein de petites lumières au cœur de ce vilain et si long hiver.
alors je lui ai même rajouté un peu de couleur à mon petit soleil 

je vous le redit je suis fier d'être Made in Aulnay, ça assure ,non ?
En fait tout mes lecteurs le savent, je suis un affreux chauvin.