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19 août, 2025

Déjà l'automne ?


Les fougères roussissent. 

C’est ce qui m’a frappé dans ma sortie d’hier. Sérieusement, je me suis dit :

  • l'automne commence tôt .

Puis je suis passé à autre chose. Non s’en prendre une photo.
Ce soir je déroule mon reader. Et je tombe sur ce blogueur beaucoup plus rapide que moi pour le calcul de l'arrivée de l’automne. 
Un dix neuf août.
Je pose un com et je me dis . On est trop sensibles. Et puis je tombe sur un autre article sur une page du monde.
Puisque je cause réchauffement, je vous conseille d’aller calculer votre poids en CO2 disponible sur un lien disponible sur un des blogs de Nicolas 
Pareil j’ai mis un com, mais bon il n'y a pas que les particuliers qui peuvent faire quelque chose ? Non ? les plans quinquennaux c'était bien.
On avait des centrales, de l'électricité pas chère et pas toutes ces merdes d’éoliennes qui tuent les oiseaux et nous niquent le paysage pour un courant somme toute, assez alternatif. Regardez le trou noir en Espagne.
Voilà. 
Et une note de râleur, une.
Mais jusqu' ici tout va bien, non ?










02 août, 2025

la recharge



 Je n’ai plus la force de rien. Passé le déjeuner un engourdissement étrange m’envahit. Impossible d’aller plus loin dans les tâches prévues. Je DOIS m’allonger ou traîner ma misère toute la journée. Par la baie vitrée, je regarde le vent jouer sur le bord du parasol. Dehors, le vacarme d’un ballet de voitures me rappelle qu’on est en Août. 
Les 'pays' filent par les chemins détournés pour éviter les embouteillages. On est loin du trente réglementé, ça frise , rien qu’au bruit le soixante-dix.
Puis mes paupières sont lourdes et je rouvre les yeux une heure plus tard. voire deux désormais.
J’ai alors de nouveau de l'énergie, mais le sentiment bizarre d'être en faute. Perdre autant de temps ! Tsé tsé me lâche plus et le délai de recharge s’allonge !
Je me demande si mon vieux palpitan diesel n’a pas été remplacé par une de leur merdouille électrique pour faire autant d'arrêt pour se recharger.
C’est très chiant de ne plus tenir la longueur. 
Le chien et le chat ronflent aussi. Ils sont comme moi du matin, à dévaler les escaliers à la tom et Jerry à six heures. Le jour n’est pas là d’ailleurs quand ils commencent leur sarabande. il est déjà parti.
Le cœur de l'été. Faut que je me bouge. 
je vais couper du petit bois, tiens. 
puis sortir Molly entre chien et loup, l'heure où les sentiers se vident pour l'apéro.


Allez hop.
Et c'est la dernière fois que je géins ici. Déjà que je suis une vieux con, je voudrais pas en plus, summum,  tomber loque geignarde. Il faut savoir dire stop et mesurer quand la teuf est nifie.


30 décembre, 2024

Dix neuf ans.

 


Avant dernier jour de l'année . C'est un marronnier ici. L’anniversaire de ce blog. 

Dix-neuf ans. Pitin !

Créé quelques jours après celui de Nicolas mais bien après le Faucon et  aussi ce ‘En éternelle convalescence’ que j'ai découvert depuis peu.

Pour le ternet , Twitter ne sera créé qu’au printemps suivant et Facebook ne sera disponible pour tous que fin de l'année suivante.
Le moyen âge non ?
Ça paraît bien loin. J’avais été inspiré par un blog local à l'époque, blog d'informations  toujours indépendant, libre et affuté.
Au fil des années, mes notes sont devenues elles,  plus personnelles, pour finir par n'être que sur mon nombril.

Je me m'efface petit à petit de cet internet ou je me suis quand même bien éclaté.
Mais en retraite cela semble logique.
Chaque période de la vie a ses plaisirs.
Bien différents désormais.
Beaucoup plus IRL. Il m’arrive d’oublier mon téléphone et je ne touche le PC que rarement.
Quand même,  bon anniversaire petit journal.
Il y a tellement de pages que j’ai oubliées et que je feuillette de temps en temps.
Sinon voilà dix ans que je repousse ta note de clôture, active mais antidatée, elle viendra bien assez tôt, Non ?

A moins que dieu Google, qui retire régulièrement des produits, ne zigouille ce vieux grimoire.
A suivre donc.

Bon, la photo de tête de gondole n’a presque rien à voir avec cette note. Le périph en 2005 était à 90,  grâce à saint Anne, pas celle de bretagne, celle de Paname, il est passé à cinquante en 2024.  Pour une fois qu'une chose augmente pas en dix neuf ans . Je la nomme comme cela, Mame Hidalgo, parce que les bouffons n’ont rien vu de son taf de transformation en ville moderne de Paris. Les mêmes réduits du bulbe qui ont râlé pour le centre d’art moderne de Pompidou ou la pyramide du Louvre de la Mite, en leurs temps.

Curieusement on les a moins entendu pour le musée d’arts premiers de Chirac, qui lui, ne s'est jamais remis de son service national, hein !  On risque pas de les esgourder non plus sur le bracelet électronique du vilain petit Nicolas.

Mais revenons au périphérique.
Ce samedi matin, en reprenant cet axe, j’ai pu mesurer le bonus de cette baisse de vingt kilomètres par heure.
Circulation fluide. Là où je queutais il y a dix neuf ans, même pas vu le parcours. Les politiques d’un autre temps doivent bouffer leur galure, ça fonctionne. Et en plus le premier bilan semble positif.

Comme quoi, j'ai encore mes queunottes qui sortent encore de temps en temps. La pleine lune est passée pourtant.

Allez on se retrouve en 2025, si le bouchon me pousse jusqu'à la.

@+


14 juin, 2024

le banc


 Il pleut toujours. Je me demande même s’il a fait beau, un jour, avant.
Avant que j'oublie tellement de choses dernièrement.

J’ai du descendre loin en bus pour rechercher cette tire moderne et électronique abandonnée chez le concessionnaire pour le symptôme déco de Noël. La reine des bip bip et autres casse-couilleries de voyants orange et rouge. Je reste persuadé que ces moyens de locomotions modernes sont déjà dotés d’une IA en mode Siri qui esgourde quand vous dites du mal de leurs gadgets censés vous faciliter la vie.

Je regrette ma 4L

Bref.
De l'arrêt du bus à la zone commerciale, il y a un petit bout à pied. Même si je trotte moins vite que pour mes classes, je ne ménage pas mes jambes et cette côte en faux plat tire un peu.

Je trouve que pour mon cas, l'âge accélère drôlement l’usure du temps dernièrement. Et puis le souffle est bien plus court avec cette persistance de crève.

Et là je le vois... A dix mètres.

La ville où j'étais avant ils les enlevaient, nid à SDF ou shiteux qu’ils disaient.
La, le long de ce trottoir bordé de cette double piste cyclable, ils ont placé un banc à mi-pente.

Des pro.

Malgré le grain, Je m’assois une petite minute. Le temps ralentit donc.
Je regarde les voitures qui filent juste en face.

J’ai l’impression que ces âmes solitaires en boîtes sont surprises de me voir sur ce banc, assis peinard à glander, sous ce crachin.


Un instant, ou plutôt l’espace d’un instant nos regards se croisent.
C’est un sentiment presque étrange. Un moment hors sujet.
Détaché du temps.

Mais je dois reprendre mon chemin.
Je remercie quand même le petit génie qui a eu l’idée de poser ce banc .

Je vais même en faire une note de rien.
Tiens.
Finalement, si ce petit djinn fait jurisprudence il ne va peut être pas être si moche que ça leur monde de demain.








13 juin, 2024

les choses changent...

 

Les choses changent.

Normalement c'est l'époque des ritournelles d'été, voir de la regrettée radio de blogueurs. Perso, j'ai cette chanson de Dylan depuis le début de la semaine dans la tête .

Les gens sont fous et les choses changent.

C’est pas faux.
Par exemple, je commence à faire comme Buck et à m’endormir après le déjeuner.
Bon lui c’est la journée presque entièrement désormais, sauf pour sa sortie.

Il y a comme un air de fin de vacances dans l’atmosphère. pourtant ce n’est pas les congés.
Ce coup froid improbable sur juin m’a laissé une vilaine toux.  Donc c’est quand même presque l’automne. J’ai ressorti mon bonnet pour le matin.

Dehors, dans le monde, il y a un dawa médiatique qui fait aussi comme une fin de saison, on liquide.
L’arbitre régalien s'est aveuglé dans son orgueil. Du coup les députés au chomdu vont peut-être se préoccuper des attentes des français plutôt que de conflits lointains et autres billevesées médiatiques. Ça emmerde leur ego mais la cantine est bonne.
Le pouvoir d’achat la, y a du taf.

Les gens sont fous et les choses changent.

Une chose est sûre, comme pour ma santé, les choses sont mal engagées, barrées comme moi ,mais ...

Vox populi Vox dei.

Il va y avoir une élimination des fonb d’égo qui saturent l’espace médiatique sans s’occuper le moins du monde du vulgus pecus depuis des années.
Le réformé du SN,  le Ciotti va être le premier, mais la liste de ce billard à trois bandes va s’allonger.
Deux mots de latin sur une note. C'est trop. J’arrête.

 En tous cas, cet automne à la saint Jean annonce un hiver bien rude. Faut que je pense à rentrer mon bois avant que mon dos capitule.

Au fait. Inutile de manifester, sortez voter, depuis le temps qu’on vous emmerde avec ça .



30 mai, 2024

Autant m'en emporte le zèph

 


Longtemps non ?

Me voilà comme ce cerf-volant croisé sur la promenade de l’aprèm. Addict au zèph. Je virevolte et tournoie presque toute la journée.
Le vent doit m'enivrer, je n’ai plus que ce sirop de la rue dans la caboche.

Je ne lis presque plus, bien que j’ai entamé le gros Marcel, énorme par son nombre de pages, hein !
J'ai déjà une anecdote, la bibliothécaire à qui je demandais si elle avait du Proust, (UNE livre s’il vous plaît) m’a indiqué sans faillir le rayon classique, non sans me préciser :

- prenez un spare, soit vous êtes Morgane, soit on lâche vite.

Pour moi cette  lecture est plutôt bien partie.
“Souvent, mais peu à la fois, comme le pauvre père Swann’’
Rien à faire, je retourne vite courir l’alizé. 
Et ce malgré ce temps de basque ou de normand suivant l’indice du pluviomètre journalier de ce mois de mai pourri

Pareil pour les séries, la très sympa série espagnole sur ce caïd atteint d'Alzheimer, je picore les épisodes, pause et hop je file le long des chemins creux.
Buck a du mal à suivre, même les bourrasques ne le motivent plus. Pourtant filer le nez au noroît en me distançant d’un bon demie miles c’était son truc il y a encore peu.
Dormir est désormais son seul passe-temps
Je n’en suis pas encore là, à tournoyer entre les diverses réparations, le jardin et la cambuse.

Mais j’ai presque abandonné l’ordi, le téléphone et les nouvelles du monde. 
Comment voulez-vous que je blogue régulièrement.

J’ai quand même noté de sortir chez les humains du Wokiland le 9 juin pour voter.
Mon devoir citoyen, même si j’ai passé l'âge d'être réserviste, voilà qui me semble cependant une évidence pour cette Europe dédiée jusqu'alors au biz , mais ça devrait géchan avec ce diable de tsar en embuscade.


Prenez soin de vous.
@+



19 avril, 2024

Groupies in Persia

 

Comme tous les blogueurs curieux, je jette un œil distrait de temps en temps à mes stats.

Qu’elle note remonte du fond des temps, ou plus simplement, est ce que d’autres Pékin que ma pomme parcourent ce journal.

Google présente les choses succinctement si vous n’utilisez pas le compliqué pour moi Analytics.
Il y a les chiffres par navigateurs et par pays.

C'est ce qui m’amène.

J’avais déjà remarqué depuis un certain temps que l'Iran arrive en tête avec plusieurs centaines de hits.

Est-ce ma liberté d’expression, donc de paroles qui interroge les mollahs ? Ou peut-être parce que le côté #meetoo généralisé dernièrement me gonfle ? Malnor macho on te bâtis, tête de con tu restes.

Non.

C'est juste que l’Iran est une république dirigée par des religieux. Je me demande pourquoi il me colle aux basques comme ça. Et je dis république, je m’ai gouré, pays serait plus adapté.

Amis blogueurs, pouvez-vous jeter un oeil à vos stats par pays, voire si c'est Guénéral, comme aurait dit le regretté  Garcimore ?

Ou, est ce juste une petite fixette sur ma pomme pirate sans bateau, mais fan des aventures de la mer rouge de Monfreid ?

Ce serait bien que ce soit que ma gueule. Sinon ça crougnoute un peu.

Enfin je dis ça, hein. Je suis sûrement un tantinet parano.  Trop de substances illicites avant mes douze ans.
Bon on se tient au jus.
J'vais affûter mon sabre, tiens.







01 avril, 2024

Devenez Chasseur de Primes !



En ce premier jour du mois, j'étais distrait sur legifrance. j'ai sursauté et relu.

Sur cette période ou tous les médias s'embrasent sur la flambée du poids de la dette, j'ai trouvé cette nouvelle mesure bien qu' anecdotique, un brin écolo et valorisante pour le pouvoir d'achat.

Pour la dette, les agences de notation me font penser aux enzymes cher au sketch sur la lessive de Coluche.

110,6 milliards au sens Maastricht.

On s'en fout.
On a voté NON à Maastricht. 😉 Pis on est en guerre, ça coûte la baston.

Je les vois,les agences de notation avec leurs petites règles en fer, qui terrorisent les grands ministres de l'économie.

Comme notre grand écrivain, le Bruno, qui est pressenti pour devenir immortel, je veux dire rentrer à l'académie. Je remarque juste qu'on peut rarement être bon en lettres et en maths.

Mais je digresse, comme d'hab, reprenons.

Il s'agit pour une fois d'offrir un bonus, une prime en pourcentage de dix pour cent de l'amende, aux citoyens qui signale sur la plateforme 'www.luttons-ensemble-contre-le réchauffement.finances.gouv.fr'
Tout les organismes ou sociétés contrevenants à l'extinction des lumières de bureaux la nuit et autres publicités lumineuses entre une heure et six heures du matin.

Zéro tolérance pour les délinquants. Pour de vrai.

L'amende est de 200 € par jour pour chaque dispositif. 20 € de bénef par panneau et par jour de relevés. Une mine d'or, mieux que la taxe carbone.

Alors ?

Rien de plus simple, une photo, l'heure et la géolocalisation ou l'adresse du lieu.
Vous recevez en retour, un accusé de réception de votre demande et un virement rapide sur l'exercice.

Un petit geste quotidien pour le climat.

Allez foncez télécharger l'application sur play store ou Apple store

 

 

[MAJ 02/03/2024   🐟 d'avril. Évidemment]


 

 





20 mars, 2024

le 20 c'est le Courlu !

 


Avec tout ce brouhaha ambiant, j'allais oublier.
Pourtant c'est plus qu'un marronnier ici.
Pas une année sans fêter son arrivée le 21 mars.
Ma foi dans le Courlu s'émousserait elle ? 
Pas impossible que l'âge venant on ne garde plus sous le pied que l'hiver, voir l'automne pour les plus optimistes.
Mais voilà encore cette année, certainement à cause du changement climatique, ou plus sûrement parce que la terre ne tourne plus vraiment rond, il arrive le 20 Mars. 
Ce n'est pas encore la cata, il pourrait arriver le 19.
les deux derniers jours se sont adoucis et le soleil, ce grand absent des derniers mois, tente des timides percées.
Je suis assez heureux, de célébrer une année de plus ce fantastique Courlu.
même s'il n'arrive pas le 21.
Mes 🐦 sont sur le même tempo. Depuis ce matin,mercredi 20 mars à 4h06 et 21 secondes c’est un festival de trilles en tous genres dans le pin. 
Je vais arrêter de les shooter aux graines de tournesol 🌻 l’hiver est mort !

Vive le printemps 


12 mars, 2024

Option couture

 


 Je n’ai pas perdu la main depuis le certificat d’études,

A l’époque pour ne pas subir la tehon de chanter sur l’estrade devant tous mes potes de récré, j’avais choisi couture.

Enfin c’est toujours ce que je raconte, mais avec les années je sais plus si c’est très vrai.

Ce que je me rappelle c’est que j’ai eu le Certif et que j’ai pas chanté.

Mais soixante ans plus tard j’assure toujours avec une aiguille et un fil.

Ayant sûrement pris un peu de circonférence depuis que je cuisine, mon bouton de bénouse a lâché.

En futal, je met toujours les deux mêmes. Quand un est au sale , l’autre est sur mon royal postérieur. Des denim 30 X 30 à 10 € de chez Primark ,usés jusqu'à la corde.

Les autres pantalons très chics sont bien pliés sur l’étagère, comme au magasin.

Je décide de garder le lâcheur de bouton dans mon porte monnaie, avec mes centimes troués Linder, deux trois nez de cochons, heu triva monacha et deux jetons de lavage de la tire qui ne vont jamais d’un station sur l’autre.



Mais je m’éloigne, comme d’habitude.

J’ai dégoté un autre bouton plus imposant, en corne dans le pot familial. La ou deux générations ont déposé les boutons en rab ou récupérés sur les vêtements en partence chiffons.

Avec la sainte maxime des prévoyants : 

- ça peut servir !

Pas faux , la preuve. 

Quand j’étais petit, je jouais déjà avec cette grosse bonbonnière en bois et tout ces boutons colorés. Pas de Switch in that Time.

L’opération de rabibochage me prend cinq minutes.

Le plus dur est de passer le fil dans l’aiguille, ma vue de buse ayant mis les bouts. Même avec les binocles

Ensuite tout file assez vite, un ou deux nœuds en cours de travail, bien tourner le fil entre deux  derrière le bouton pour renforcer.

Comme vous pouvez le constater sur la photo de tête de gondole, le travail est soigné, la moyenne comme au Certif. 

Et une note de rien aussi, avec la même moyenne, tiens.


20 janvier, 2024

Des Add on pour ma comprenette

 

Le matin je zone devant mon kawa.
je met de plus en plus de temps à m'extraire des bras soporifiques de Morphée.
Mais je suis plus rapide que Buck qui lui, ronfle comme un sonneur.

Pour couvrir ce bruit et mon mutisme matinal, je met la radio en Bluetooth.
Ou des podcasts, c'est comme cela que j'ai appris que le fameux Bluetooth était un roi viking fédérateur.
C'est important à savoir. comme le choix de la mayonnaise.

Ce samedi, sur mon petit grand noir fumant, c'était un psy, un ponte, qui sort un livre  sur [l'homme augmenté
je vous le vend direct : chez Grasset.
Ce toubib cause bien. A un moment où on se pose la question du retour aux livres par rapport aux écrans, j'ai bien aimé son analyse, puisqu'on jacte psy.
Je vous met le lien si vous avez vingt trois minutes à perdre.

Il parle de délégation de la mémoire, le fameux effet Google :  
"Je sais que c'est entreposé quelque part, je n'ai pas besoin de le retenir "

Le fait de déléguer sa connaissance à Google, c'est la fameuse hybridation du cerveau.
Mais pour lui, la lecture textuelle, les livres, est la plus grande évolution, et donc hybridation du cerveau humain depuis la préhistoire. enfin si j'ai bien capté, moi le matin avant mon café...

Il faut donc s'en inspirer pour la prochaine, forcément plus technique.

Bon, j'espère vous avoir bien vendu le kinbou.

A plus faut que j'épluche les pommes pour mon boudin avant l’arrivée d’Isha.












12 janvier, 2024

Jipé

 

C'est le second pote, dans le cercle très restreint des boutonneux de l'adolescence qui fait un léger AVC.

Léger, mais AVC tout de même. Vous connaissez le dicton : 

jamais deux sans trois.

Allez savoir pourquoi je me sens concerné, peut être parce que comme bibi, il crèche au bout du monde. A ce jour, j'ai toujours cette fatigue d'effort. A force de me plaindre, en bon TAMALOU, j’ai pris rendez-vous en décembre 2023 chez un cardio. Le rendez-vous le plus tôt est février  2025. va pour février, je hais ce mois.

Bon on a une nouvelle ministre, elle cumule désormais les deux ministères santé et travail. Cela ne risque donc pas de s'arranger,  on nous refait la ritournelle du travail c'est la santé.

Comme ça me traîne dans la caboche, je l’écris pour excommunier l’idée de ma comprenette. J’aime bien, c’est comme la touche DEL , hop je suis libéré.

D’façon, j’aime bien excommunier.

Cela me rappelle ces traines lattes du camping de Fontaine Laborde en Août 78. Je leur achetais leur âme en échange de quelques mousses. Au début ils acquiesçaient en se foutant de ma gueule, puis revenaient le lendemain pour savoir si je déconnais.

- bien sûr !

Au moins j’ai 3 ou 4 âmes dans mon chargeur.

Mais je radote.

J’ai quand même vérifié le numéro des urgences chez dame Ternet, le fameux 112.

Au cas où je tombe raide dans mes longues virées journalières avec Buck sur la lande.

Assis à regarder l’océan et pouf ! plus de lumière. Avouez que ce serait plutôt cool pour un pirate.

Ce naze de barclé ne saura pas rentrer. mais il est pucé !

Oui la faucheuse me court sur le haricot, comme disait Eloi, à picorer dans mon pré carré.

Cela me choque parce que le Jipé qui vient de faire le léger off-on avait usé sa seconde C4 avec moi au lycée Jean Zay d’ASB.

On partageait tout les deux la table au fond, la glandouille impériale et les fous rires.

Comme ce jour ou madame W5(*) professeure de physique au sourcil inquisiteur et aux proportions gargantuesque a chuté de l’estrade en reculant, en pas chassés, s'il vous plait, avec à la main, le large tampon en moquette pour effacer le tableau.

Il y a eu un énorme SPLACH ! suivi d’un silence inhabituel en ces contrées, pendant qu’un nuage de craie virevoltait vers le bureau.

Puis deux crétins au fond à droite ont explosé de rire. Juste deux sur trente cinq.

Les classes étaient mieux équilibrées en ces temps reculés.

Je fus viré la même année, pour des détails oubliés et surtout pour ne pas en avoir branlé l'once d'une ramée.

Perdu de vue le Jipé pendant cinquante piges, et se remémorer l’histoire à peine retrouvé presque par hasard. Enfin,  il n'y a pas d'aléa chez les gentilhommes de fortunes.

Et rigoler comme deux sales morveux.

Mais la camarde pioche, et laisser ce blog en plan me gênerait moins que de ne pas avoir eu le temps de rédiger mes aventures de jeunesse.  Un mix entre Huckleberry Finn et Dead pool. 

Seulement je continue d’être ramier. je repousse, je repousse. 

Et a un moment je pousserai plus du tout, ou à l'envers.

Il faut que je prenne sur moi. 

Arrêtez de traîner la lande, mater mes oiseaux ou rêver le cul collé au poêle, qui est certainement un souvenir lointain du radiateur du fond.

Oui, il est temps, hein.

Car jamais deux sans trois

(*) facile


05 janvier, 2024

Réarmement de la nation...


Réarmement de la nation.

J’ai esgourdé ce petit mot, comme un vilain larsen, dans le discours de notre président lors de ses vœux aux gueux.

Je me suis dit t’a mal entendu. mais comme je suis assez premier degré, j'ai levé un sourcil.
mais j'ai été bercé trop près du mur, je prend les mots pour ce qu'ils sont.



Puis je me suis rappelé ma défunte mère qui me lançait du fond de son Ehpad sur le comportement du candidat Macron hurlant son incantation dans le poste :

parce que c'est notre projet’

- Tu verras, celui-là va nous ramener la guerre.



Bizarrement, bien que ses remarques étaient souvent très prémonitoires, je n’ai pas validé, J’ai stocké l’information dans une case au fond de ma caboche et renchérit sur son appétit qui me semblait baisser terriblement. je n'avait pas vu, aveuglé par son sourire, l'arrivée de l'endura.

                                                        Réarmement de la nation.



Hier matin j’ai lu le papier de d'Auteuil en haut de ma blogroll, et l'article du monde qu’il met en lien.
Lui aussi il a entendu le même mot à la résonance de larsen, même si, lui, il pense à un enfumage sans lendemain.
Quand à moi, je n'en remettrai pas une couche sur le charlot qui a supprimé le service national.



Il n’empêche qu’au moment où tout le monde se polarise sur Gégé le russe, la proximité de la guerre en Ukraine continue à donner à ce mot un écho curieux, voire dangereux.


Surtout avec la passion européenne de notre président.



Vous allez vous dire, je vire complotiste, ou ce qui est pareil je vrille think tank sur 2024.
Enfin, je préférerais pas
Quoique, tenez, brusquement, je ne suis plus le seul à m'inquiéter de l’arrivée précoce des processionnaires.

Et vous, vous le sentez comment ce :

                                                    Réarmement de la nation.




30 décembre, 2023

Avant dernier jour de la pitin d'année ... 2023

C'est l'avant dernier jour de l'année.
Ce moment ou tout le monde est en plein dans les soucis de préparatifs de réveillon.
Par exemple, par quoi remplacer cette année les huîtres, qui n'ont pas supportées les débordements des stations d'épurations avec toutes ces pluies et tout ce caca, ce qui les rend impropre à la consommation ces petites mères.

Y a pas qu'elles qui sont chonchons avec les méfaits de ce réchauffement du fond de l'air.

Un p'tit biff en suivant tiens, y a pas deux jours que j'lai décripter ce petit mot la. En regardant un déroulé VousTube sur cinquante centimes, un futé de rappeur ricain.

Un noyau de miss, heu.. de gonzesses, elles, se sont octroyées le Maccarthisme du consentement.
Ce lot de déconstructeuses, dont certains dossiers peuvent néanmoins être jugés par la justice, dans les cas de viols, comme pour le présumé innocent, le gros Gégé, aka le Napoléon des cabots. 

Elles en font un peu trop sur le côté barouf médiatique.
Elles balancent tous les vieux mâles à la vindicte de la nouvelle rue, les réseaux.
Gare à vous si vous avez dit Chatte, salopes, connasses ou que vous aviez envie de serrer une collègue que vous kiffiez dans les années quatre vingt le long de la machine à kawa.
Je suis bien conscient, qu'avec de tels propos, je vais me mettre à dos quatre vingt dix pour cent de ma famille, cent pour cent de mes amies ou copines, mais merde :
Niquez vos mères avec le politiquement  correct.
Ce mouvement avec bien sûr une appellation angliche, pour que ça est l'air important, est une place de grève de puritaines trois points zéro. voila mon avis.
Ce tribunal immédiat, à lui aussi le même effet que les huitres du moment, VOMIR

J'ai lu ailleurs qu'ils étaient devenus tous fous. Tout à fait. Ce commentaire a disparu. Étrange non ?

C'est le double effet kisscool de ce dérèglement climatique.Et pas le dernier, ni le plus terrible. C'est chiant, faut zapper.

Pour bibi, il y a pile dix huit ans, cet avant dernier jour je lançais mon blog.
Une assez drôle d'idée. 

Très revendicatif au début, comme sur ce scandale du fonctionnement du RERB, il a au fil des ans viré plus personnel avec des sujets bien moins polémiques, voire d'un intérêt limité à ma pomme.
Je ne pensai pas que j'aurai la chance que ça dure aussi longtemps.
Il y a eu des bas et des hauts. Cette année c'est reparti un peu. Plus de temps, le larguage de X-Twitter, m'ont remis les doigts sur le clavier.
je n'ai pas repris mon cahier pour écrire, mais je pars toujours de photos.

bon anniversaire petit blog. 

 
Celui de Jegoun est plus vieux de deux jours, il n'a pas eu le temps de le fêter cette année.
j'espère que ca roule pour lui, il est plus prolixe d'habitude.
je compte continuer l'an prochain, si mon souffle tiens. Il faudra bien que je me résolve à vous abandonner à cette meute, enfin ce gang d'émasculeuses patentées et sa cohorte de suiveurs tatoués, hormonés d'la gonflette et sûrement de ce fait, atrophiés du sgeg.


En attendant, bon réveillon à toutes et tous.
Pas de foie gras, {grippe aviaire} pas d'huitre {norovirus} le réchauffement attaque salement non ?


Tiens une photo de la mer de glaces en 1950 de ma base d'images du grand tonton.

 

Le même lieu aujourd'hui 😉 ou il y a pas cinq ans. 

On comprend que les huitres et les meufs fassent le nez.
Cette suite d'images de mon, lui aussi disparu grand tonton, me laisse de quoi faire quelques notes sur 2024.
Pourvu que dieu me prête vie, comme aurait dit Lafontaine. Quoique je fasse plus vielle carpe que menu fretin.


 Faut que je lâche, so, passez tranquille à 2024,

 @ +






19 décembre, 2023

La harpie qui a fait 💩 sur le texte de mon pote



 Il fût un temps ici ou je dressais le portrait de mes potes, étoiles ou comètes.

Comme si j'avais déjà senti que ma mémoire, arrosée minot au lsd, puis fumée au chanvre afghan, partirait sur le tard comme l'eau du bain, en tourbillons de glouglou dans un trou noir étincelant.

Un bidule pour me générer juste un fil pense bête sur le ternet.

Ma galerie est bien incomplète. Miko, Daniel et une recette de Bébert on ouvert le bal.

j'ai encore deux doigts libres dans ma main gauche, la main du cœur.

Donc aujourd'hui on va parler de Claudius, le flamboyant.

D'autres comme Momo aurait pu sortir, mais les vies trop tumultueuses doivent attendre la prescription des cinquante ans.

On y est presque.

Pourquoi le grand rital au profil de Caesar ? parce qu'il s'est mis à écrire et   que je lui trouve une certaine plume, on va dire sergent major, pleine de pleins et de déliés. Son côté du sud et sa poésie méritent le détour.

Seulement il ne s'est pas encore positionné à la mise en ligne. pas de blog. ni de journal, il se contente d'envoyer chaque texte à ses proches via mail en destinataires à la place de copies invisibles

Erreur fatale.

On est trahis que par les siens, c'est bien connus. 

Une de ses belle sœur, ex baba, donc toute naturellement convertie au wokisme, s'est plainte qu'il avait utilisé son prénom pour évoquer dans son laïus, une jolie postière qui lui avait tourné les sens avec son minois et son sourire, à ce tombeur sur le retour.

Du coup il a du caviarder son texte pour changer le prénom, et comme il n'a pas présenté d'excuses à la chef dé constructrice, le keum de celle-ci, à la botte, arch so, c'est fendu d'un retour cinglant via mail, toujours en copie tous.

cent convives au règlement du quiproquo, une vraie scène du douze.

le must de l'incorrection. 

Du rififi dans sa famille, par une harpie qui ne sait pas lire un  texte, ou qu,i à près de septante, se prend pour un des sept piliers de la sagesse.

La synthèse de ce non événement, c'est que même les vieux ont le bulbe gangrené par cette théorie de la vigilance sur tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.

La nature est un havre de paix ou il n'y a que égalité et gentillesse.

Mais comme, pour bibi, la liberté d'expression est une et indivisible. 

je me suis donc un peu échauffé sur ce bidule.

Donc je vous remets ici le portrait de ce grand amoureux de la vie. 

je l'avais réalisé pour un de ses textes où il nous croquait tous.

voici donc mon pote,  Claude : 

C comme César, Claudius noster ou chez les ricains, Gere comme Richard.

Il faut bien que je m’y colle. Aucune de ses copines, pourtant harengères trois étoiles, ni aucun de ses potes, ce ramassis de menteurs, mythomanes, esbroufeurs de premières ne s’y lance. Je ne vais pas reprendre sa méthode, fruit de longues études, pour vous dire où je l’ai rencontré la première fois. On est PAYS. 

On s’est croisé dix fois, avant un soir de décembre quatre-vingt à Villepinte célébrer les étoiles devant son appart de location. Inutile de tourner autour du pot, ni de mettre la poussière sous le tapis, notre Claude est une STAR. Une étoile à part dans la galaxie des potes. Est-ce parce qu’il brille plus que les autres et attire à lui tous les astres du périmètre ? Ou est ce son naturel, son affabilité et l’attention qu’il porte à chacun ? En tant qu 'affreux pirate, je ne sais pas. Mais le résultat est qu’il est, forcément, le centre de l’univers. On s’est rencontré tard, il naviguait avec une bande des mille-mille, la Didier’s band et moi celle de Balagny. La poussée d’hormone de la fin de l’enfance et la chasse aux belettes qui en résulte ne pouvait qu’immanquablement nous faire nous rencontrer.

Depuis une solide amitié, enfin plutôt attachement, je me méfie du mot amitié à notre époque où le genre devient indécis, je ne voudrai pas qu’il y ai un quiproquo nous lie 

#MDR. 

Mais je déraille, c’est l’âge. Je disais donc, une incassable camaraderie nous attache, comme elle vous amarre tous aussi à  sa gravité. Quand la corde m’est tombée sur le cou, c’est tout naturellement que je l’ai pris pour témoin. Tous ces moments si ébouriffants vécus ensemble, souvent excessifs, toujours romanesques le désignait forcément. 

Voila j'ai a peine rajouter une date. En grands consommateurs de cette fabuleuse vie dont on sait tout les deux que ce n'est qu'un one shot et que le paradis est réservé aux pisses vinaigre des grenouilles de bénitiers.

j'avais dit que je reviendrai pas avant 2024.

c'est raté, je suis définitivement un vieux con, surtout quand on chie sur le texte de  mon pote.


17 décembre, 2023

Mes dix de 2023



C'est un marronnier ici

En fin d'année, je vous reprend dix photos que j'ai prises dans l'année.Je prend plus beaucoup de photos, mais bon, j'en ai trouvée dix .

J'avais une note sur les cent jours de ma retraite, mais c'est pas l'époque. J'y marmonnais que les vioques, mes désormais collègues, vendredi aprèm investissent en une nuée de tamalous le Leclerc.
Un vrai rallye de chariots, avec que des gus qui ont eu leurs permis avant que la ceinture existe.
Tout ça vote largement à droite, mais roule à gauche. Un beau bordel.
Je vous parle pas du dos argenté, avec son sac de victuailles, qui ère l’oeil un peu perdu, dans le fond du parking à la recherche de son Scenic.
Me sentant Radoteur, je laisse donc tomber le troisième âge.
Voici donc un bateau, pour vous souhaiter de bonnes fêtes. je suis pas certain de revenir avant 2024.
Je suis en cavale de mémoire. J'ai plus trop d'idée de notes, le bordel ambiant ne m'inspirant pas.
Donc c'est photos.
voici la seconde la tempête de novembre.


Ce n'est pas la tempête ciaran, je crois que j'avais, en vain, tenter d'ouvrir la porte de la voiture au même endroit.

la suivante ou la troisième.
j'aime cette photo, parce que je kiffe la mer. Et les éléments déchaînés. sûrement pour ça que je me suis toujours acoquiné avec des potes plus barrés, ou presque, que moi. En tous cas on voit plus le lavoir, il est mangé par l'écume de mes jours...



Ces moutons , dans les alignements de Carnac, c'était en mars ou avril.
Je roulais en revenant de je ne sais ou et je me suis arrêté pile à l'arrache sur le bas côté pour prendre la photo.
Je dis je ne sais ou, parce que j'oublie de plus en plus de choses. Récentes ou anciennes.
Un mouton blanc et un noir.

La fameuse dualité. 

Dans mon cas le bien et le mal ce n'est plus vraiment un problème, vu que ma carte SD est volatile.
Pas de remord. A savoir si j'en ai jamais eu. Ça aussi j'ai oublié.

Mais j'ai peu d'ennemis, où ils sont tous déjà décorés croix de bois .😉

 
 ces brises lames sont la juste pour un Intermède. être un jeune chêne et finir sacrifié à Neptune pour qu'il épargne les trois ruines sur le bord et un cimetière de bateaux.


Jamais beaucoup de selfie de ma pomme sur ce bieux blog. mais la, il y a deconne , et j'adore faire le con.
j'ai tout mes permis, depuis la soixante dix huit douze. et donc en bon corp franc, l'idée d'emprunter une moissonneuse batteuse pour le fun, m'a traversé l'esprit en ce joli mois de juin devant cette bécane garée la. Comme quoi à deux ans de septante le flibustier à quelques restes 😉


 
Sûr que pour les photos de 2023, je ne pouvais pas passer à côté de mon seisme visuel Japonais.
Cette photo toute simple du coeur de Tokyo.
les plantes sont sorties dehors, sur le trottoir. les réverbères sont souvent fleuris.
Un autre monde non ?  
On peut même dire une autre planète. un société ou le vulgus pecus valorise son quotidien et son héritage.
je me souviens de ces minuscules écoliers, en uniforme tous différents selon l'école, qui partent pour la journée, à pieds, avec leur rikiki sac à dos, goûter accroché par dessus les porte clefs de héros manga qui brinqueballes, et petit balai en fibre de cocotiers sous le bras. Pas pris de photos car les enfants ne doivent pas circuler dans le cloaque de l'IA d'internet. mais ils etaient déjà fiers et responsables à a peine cinq ans.
une claque qui résonne encore...


Allez c'est sur ce fabuleux pays, ou j'ai fait le plus de tofs en ce mois de mai. ces deux amoureux, à la porte du temple. je les ai trouvés super romantique. Et ces deux mots francais, posés en vrac sur le sac que je n'avais pas capté avant de posé le cliché ici.
bon je leur souhaite beaucoup de bonheurs à ces deux la.

 

ah !  les transports en commun japonais ! ils méritent bien une photo ici. le métro , ici .
rapide ponctuel mais j'ai dejà raconté tout ça. je persiste. un exemple à copier, et vite !



Kyoto by night. de faux airs de decor d'indiana jones avec cette lumière.
joli souvenir, jolie ville, toute sa place ici.


pour finir ce jeu d'offrande dans le jardin d'un temple. le bien nommé temple d'or. Enfin il me semble, j'ai un peu forgot. il faut mettre le yen dans la coupelle en fer. A première vue plein de malchanceux , dont ma pomme ont ratés leur voeu. 
J'ai recommencé plusieurs fois.
Mais les dieux ne m'étaient pas favorable ce jour là.

Bonne semaine les gens.
 

 


16 novembre, 2023

Frédérico & Bluesky


 

Mon précédent ticket ayant été pris en compte, et rapidement le soir même, je ne peux laisser en tête de gondole ma prose révolutionnaire.
Je suis quand même vachement influent. #smiley.

Ce matin je suis sorti vous prendre une photo de Frédérico.
Ce con soufflait fort difficile de tenir debout.
J'ai fait comme les mouettes je suis rentré au chaud.

La quatrième tempête en bien peu de temps. même si la période est normale, vous me permettrez de trouver le rythme soutenu.

Sinon j'ai reçu, enfin, mon invitation Bluesky.
Comme je suis curieux comme un chat, malgré que j'ai râlé, ce qui est habituel, j'ai tapé l'incruste.

l'affaire des 'Feeds' m'intrigue un peu. je vais creuser le sujet.

En tous cas je ne reproduis pas le comportement twitter. 
pour l'instant je scrute et je zone.
ce qui ne me change pas beaucoup. #smiley.

j'ai donc créer un feed "nawak & météo"


je pense pas qu'il y ai beaucoup de nawak, mais ça m'amuse.
pour créer ces fameux feeds c'est par ici 

et la, la boucle est bouclée,  j'ai trouvé pourquoi je ne tenais pas debout ce matin



14 novembre, 2023

la cerise sur le gâteau


J’avais dit : 

Fontaine je ne boirai plus ton eau…

Mais voilà, les pirates s’ils n’ont qu’une parole, sont surtout des menteurs de première.
Je disais donc :

laisse la vie publique aux jeunes, occupe toi de tes pieds de tomates 🍅.

Seulement les quatre tempêtes successives ont niqué mes plantes..
Ou cet automne qui ne dit pas son nom.
Ils se sont couchés grisonnants  dans une vaste flaque de boue qui s’appelait potager. 

Donc je ne m'en mêle plus , sauf exception qui confirme la règle, quand la connerie politique pousse le bouchon un peu loin.
Désormais abonné aux anciens, j’allume le poste le midi, pour suivre la décomposition du monde en fouillant mes coquillettes jambon.

Donc menu du jour dans le poste

  • La misère augmente considérablement en France
  • Les femmes sont les plus touchées.
  • Augmentation du diabète chez les jeunes
Et la … 

la  cerise 🍒 sur le Gâteau, celle qui m’a fait ressortir ma grogne, jamais enfouie bien loin, pour être honnête :

  • Les tickets restaurant ne pourront plus servir à acheter des ingrédients comme la farine, les pâtes , bref les denrées alimentaires dès 2024.

Excusez moi.

QUELLE BELLE BANDE D’ &@#&€+&&  ! 

Je m’imagine l’avorton de bureaucrate, un de ces bacs plus 23 rentré dans l’administration pour la sécurité de l’emploi, mais tout de même des dents qui rayent un peu pour passer niveau 226 en 2030.
Il rentre de déjeuner de la cantoche de l’assemblée nationale où il a été invité par un élu qui fait du lobbying pour les sandwicheries industrielles, à moins que ce ne soit pour la restauration rapide.
Il a mangé un poulet cocotte façon grand-mère, une vraie réussite, surtout qu'il était invité par ce végétarien d’élu, végan ou croyant ? 
Il se pose rapidement la question, mais l'élude.
Celui-ci a tapé les œufs florentine, il n'est donc pas végétalien !
Donc s’il veut avancer il faut redonner du cash à la malbouffe.
La gamelle maison, dont les produits frais ont été achetés avec des titres restaurant, c'est la fin du petit commerce !
il a cette riche idée. 
C’est pas comme si on avait une inflation galopante, glissée sous le tapis avec la suppression des tickets de caisses, et les jérémiades des milieux autorisés, qui voient la fin du tunnel dans leurs grilles excel comme Madame Irma le bonheur dans sa boule.
Qui aujourd'hui a un repas complet avec son titre restau, sans rajouter à la fin ? Qui ?
Non, un petit branleur veut se faire mousser et la France du bas qui bosse se fait enfiler un peu plus.

Joli , bravo, clap clap.
Mais je n’ai plus de titres déjeuner.
Pourquoi je me mêle ?

Un peuple n’a qu’un ennemi dangereux, c’est son gouvernement comme disait mon saint préféré .

NDLR : toute ressemblance avec des faits existants ne saurait être que fortuite. 
C'est bien connu 
 
 
 [MAJ] 20:55 la mesure permettant  l'achat de produits alimentaires avec des titres restaurant est prorogée  sur 2024. Vite fait aux infos de la chaîne M6 avant que le 🔥 ne se propage.

No comment.













03 novembre, 2023

Kiakiakiakia-kiakiakiak

 

je voulais vous causer du bannissement de l’écriture inclusive, dans le titre.

Histoire de m’attirer les foudres des néo-maoïstes de la ligue révolutionnaire pour le wokisme uber alles.

Mais je n’ai rien trouvé de bien neuf pour chier sur ce hachage de l'écriture de la langue Française qui m’horripile depuis son invention.

Regardez, un bouseux comme moi, qui n’arrive déjà pas à conjuguer la grammaire d’avoir correctement, balance un mot sur deux en argot ou en verlan et a cotisé aux zéros sur les dictées d’orthographe jusqu’au CM2.

Vous croyez que bibi, dont les genoux ont goûtés de la règle en fer sur le sol du coin ou de la remontée de tête par les pattes je vais me plier devant des points E et tirets S ?

Ma cache walou, pas un kopeck sur ce concept.

Vous voudriez que je me stérilise dans cette écriture lénifiante ?

Désormais je suis dans le club des séniors et non des senior.e.s

Quelle bouffonnerie.

Certains vont dire que je me braque, qu’il faut avancer, que la langue évolue.

Pour sûr que la langue évolue, la voilà matinée rosbeef.

Il est même un peu tard pour s'arc bouter sur l’unité de la nation via le langage.

Diminuer le franglais, c'est une bonne blague. Regardez le nouveau bingo de la Française des jeux, ici en tête de gondole

A trop vouloir favoriser l’espéranto des affaires, l’angliche, vous avez fini par la laisser, notre jolie langue, aux mains des sectes de la ponctuation et autres marchands de rêves.

Les sectes c’est bien connu, c’est juste bon pour maigrir, se suicider ou pomper votre grisbi.

Suicider la langue, pas impossible

Je vous l’ai déjà dit je suis un vieux con. 

je ne pouvais que faire une note, pour une fois que le banquier se fait applaudir.

Mais me direz vous pourquoi ce titre 

 Kiakiakiakia-kiakiakiak 


Et bien rien de plus CFran, et malgré le tiret pas de l’inclusif.

Je débarrasse la table ce midi quand ce cri m’a collé à la baie vitrée.

Quel est cet emplumé, avec ce cri crescendo ?

Il est tout vert, comme mes ex voisines.

Un joli pic vert, enfin un pivert  qui déjeune dans le dinjar.




Trop cool. Hop dans la boîte.

Alors dites moi , les grosses des piverts, c’est des pivert.e.s ?

Allez, j'arrête de picasser, je sens que ça ne rentre pas.