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19 août, 2025

Déjà l'automne ?


Les fougères roussissent. 

C’est ce qui m’a frappé dans ma sortie d’hier. Sérieusement, je me suis dit :

  • l'automne commence tôt .

Puis je suis passé à autre chose. Non s’en prendre une photo.
Ce soir je déroule mon reader. Et je tombe sur ce blogueur beaucoup plus rapide que moi pour le calcul de l'arrivée de l’automne. 
Un dix neuf août.
Je pose un com et je me dis . On est trop sensibles. Et puis je tombe sur un autre article sur une page du monde.
Puisque je cause réchauffement, je vous conseille d’aller calculer votre poids en CO2 disponible sur un lien disponible sur un des blogs de Nicolas 
Pareil j’ai mis un com, mais bon il n'y a pas que les particuliers qui peuvent faire quelque chose ? Non ? les plans quinquennaux c'était bien.
On avait des centrales, de l'électricité pas chère et pas toutes ces merdes d’éoliennes qui tuent les oiseaux et nous niquent le paysage pour un courant somme toute, assez alternatif. Regardez le trou noir en Espagne.
Voilà. 
Et une note de râleur, une.
Mais jusqu' ici tout va bien, non ?










06 août, 2025

Grabataire l'influent.

 


 Ce jour, je vais vous faire mon influenceur , un peu grabataire l'influent , mais bon. C'est pour un reportage, et non pas pour une de ces séries nian-nian de Netflix dont on fait généralement la promo sur les blogs. 
Quoique vous pouvez vous faire ‘une nature sauvage ‘ que j’avais vu avant que Nicolas n’en fasse la promo . Série bien ficelée avec de magnifiques paysages.
Non.
Ce qui m'amène en ce six août qui est l’anniversaire de la bombe sur Hiroshima. C'est l'excellent reportage proposé par France TV sur la fuite en avant pour la création de la bombe. Avec des images d’archives assez inédites. J’ai passé un très bon et instructif moment. 

A voir en replay donc.


Hiroshima ou je suis passé il y a deux ans et dont je n’ai pas pu approcher le dôme, au fond à droite sur la photo, parce que notre président y faisait un tour le même jour. Un peu boulet celui-là.
Mais j’ai visité ce grand fort transformé en parc. La photo en tête de gondole. Avec ce vieux monsieur en bicyclette qui m’a sourit avant d'abandonner son vélo pour prendre en photo des oiseaux.

Je garde un souvenir fort de ce Japon alliant traditions et modernité.
En nos temps troublés, ce reportage est éclairant sur la genèse de l’apocalypse.


A voir, si vous êtes curieux ou si vous séchez sur le programme du mois d'août. 



29 juillet, 2025

Les vacances de Mochi

La pétition à atteint les deux millions de signatures. Beaucoup vont tenter de récupérer le bébé. Certains même pensent qu’ils sont à l’origine de ce mouvement populaire inédit.
Je n’en aurai pas causé ici, j’avais dit plus de prise avec ce monde, mais voilà, j’ai parcouru cet article de ouest France qui traduit parfaitement ce que je pense de la formidable mobilisation initiée par cette discrète jeune fille de vingt trois ans qui réussit là, comme goliath,  à mettre une jolie pierre dans nos institutions ankylosées depuis bien longtemps. 
Et je pense aussi que l'onde de choc va résonner bien plus loin que l'été, même si des contre-feux médiatiques sont allumés, et au plus haut niveau. 
La France fût pionnière pour les libertés. Il faut qu'elle le soit pour ce problème de santé indéniable. 

Et pour cette forme de démocratie directe, tiens pendant que j'y suis,  me voilà laché . l'Europe n’a qu'à suivre, comme par le passé. Ils ont des enfants et petits enfants, eux aussi.
Vox populi, vox dei.
Sinon en parlant mômes, je finis mon second livre d'Harrison dans le TIGIVI. Il y a guère plus la que je peux lire. Le reste du temps je suis toujours dominé par ma todo d’hyperactif. Bizarrement je considère que lire dans l'après midi par exemple est une perte de temps. Et le soir, même si l'idée est là, Morphée me cueille régulièrement. J’ai le syndrome de la poupée celluloïd. Je m’allonge hop , mes yeux se ferment. 

Yep,  je causai môme car je convoie Mochi le chat du quartier maître qui vient passer quelques semaines à la campagne. Dans un magnifique sac à dos rose, qui permet de supporter son poids et qui sied à mon teint halé. Mouarf. 


Ce matiné oslo d’un refuge guadeloupéen a un sacré caractère. Le quartier maître a du subir une opération des mains un jour où ce félin, et pas pour rire, a croisé un pitt dans le bois de Vincennes. Moi j'aurai eu peur pour le kien, mais elle a priviligié son greffier et c'est fait manger les mains par son tigre en le récuperant. 
Il est deux points zéro aussi, le zozo, équipé d’un gps et d’une application de traceur, une de plus que j’ai du installer sur mon téléphone pour suivre ce fils de flibustier s’il venait à s’échapper. Un katze numérique. 
Au bas mot, le cinquième élément.

Cerise sur le gâteau il s’entend bien avec Molly pour les conneries et ces vacances vont lui faire perdre un peu de poids au kéké du neuf cube.
Pour en revenir à Harrison, je sais quoi prendre comme prochain livre, je pense que ses oeuvres vont faire mon été.
Voilà. On file vers Rennes, Mochi pionce, je reprends ma lecture. 








22 juin, 2025

le retour de M. cent tilleuls

 

Canicule.
Du coup j'ouvre les yeux, plus tôt . Difficile de dormir. Je repense à ma note sur le futé qui a lancé l’augmentation de la température du quartier, en scalpant les arbres début juin.
Il y a du nouveau . 

J'ai le commanditaire de ce désastre.

Un papier extrait de la boîte aux lettres du mousse à attiré mon attention. 
Mais … Mais ! c’est signé de monsieur cent tilleuls ! 
J’avais presque oublié cette flèche.
Bon je lui explique avec force photos à, si je ne m'abuse,  ce préposé à l'écologie d'Aulnay-sous-Bois.


Les pluies de printemps ont été légèrement superieures, rien d'affolant, juste de quoi recharger la nappe phréatique.

Serait - il né avec le réchauffement climatique ? 

Ou ?



 

Les arbres à ce stade de développement génèrent une baisse de températures de deux à trois degrés.

Étonnant qu’un expert ne le sache pas. Avec tout le battage sur le réchauffement. Et je lui cause pas de leur production d’oxygène à ces forêts urbaines , je sais que lui, il n’en manque pas.

Le même endroit peu après , il peut remarquer qu’il s’agit bien de tilleuls, les arbres contre lesquels il a une dent depuis longtemps et non des platanes comme le claironne se ᝪ☠️ᝢᝲᝣᝡ😈ᝨ de spécialiste dans son courrier aux riverains.  Et je ne lui fais pas remarquer que il n'y a pas que la vegétation qui encombre régulierement les trottoirs sur cette rue passante 🤫

Certes les piétons d'un quatre vingt dix ne baissent plus la tête mais pas sûr que certains des tilleuls relève la leur, de tête.

Voilà.

Je sais qu’il n'en tiendra aucunement compte, c’est pas la première année où se scalpage ubuesque à lieu.


Mais je profite de son rappel dans l’actualité pour lui demander où il a bien pu planter ces cent tilleuls promis depuis qu’on s’est croisé à la fête de l'arbre et qu'il m’a bourré le mou. 

Car ceux, soi-disant replantés de l’arrachage d’Abrioux-Camélinat aurait fait la UNE de son fanzine si maladroitement nommé Oxygène, si ils avaient pas viré paillis, mais ça, pour sûr, on en cause pas tant.

Ce n'est pas si grave. Si on à chaud, on peut faire tourner les serviettes 😉.


 

@+









20 juin, 2025

trente trois le dix neuf six.

 

 Trente trois cette après midi.
Du fait de ces températures, on est encore en juin, je sors Miss Molly tôt le matin dans les rues de mon neuf cubes natal, ou je suis venu passer quelques jours de kanssva, on va dire, Et puis me ressourcer aussi.
Comme chantait le Stéphanois, dans ces jeunes années , on n'est pas d’un pays , mais on est d’une ville…
C'est l’heure de la rentrée des classes. Les parents accompagnent leurs enfants, mais ça court moins. On sent la fin de l'année.
Didier n'étant plus là pour critiquer ce département, je me lâche. 
Je trouve ce coin de plus en plus vivant. Le résultat d’une mondialisation effrénée, certes, mais tous ces enfants multicolores qui se chamaillent en riant dans la cour de récré, c'est plein d'espoir. 
Enfin si ils ont du taf et de l’air.
En parlant d'air, les rues ombragées des tilleuls sont un havre de paix pour les piétons . Mais ça ne va pas durer, adieu les deux ou trois degrés en moins. Les machines des élagueurs sont là. 


La ville doit payer moins cher quand l'élagage est fait avant l'été, je vois que ça. Que les résidents aient un peu de fraîcheur, elle s’en tamponne le coquillard. 
Il faut que ce soit net, aligné. Comme une taille de caniche,ou d’olivier, l’arbre qui lui, revient en force avec le réchauffement.
Déraciné de l'Espagne où il manque déjà d’eau, le voilà vendu ici dans des bacs plastiques noirs, style poubelles des années soixante pour que tout le monde ait son petit bout de Syracuse . 
N'empêche que de perdre trois degrés en ville, à cause d’une taille en juin, pas de doute qu’il y a sûrement des fu-futes qui ne croient pas au réchauffement climatique. Des adorateurs de Trump , de X ou de la conquête de Mars. La chaleur ne les effraie pas. Quand je vous dit que les martiens sont parmis nous.Voilà bien deux exemples,  les plus et les moins de mon cher quatre vingt treize, en ce jeudi. tiens un bonus :


Je ne vais pas rester longtemps. Je suis invité désormais, même si je ne dérange pas, je ne suis quand même plus d’ici. So.


19 mars, 2025

Cinq ans ? vraiment ?

 


 Il y a comme une chaîne dans les blogs que je lis dernièrement sur la date des cinq ans du confinement.

Je n’y aurais pas pensé si on ne m’avait pas soufflé, donc je ne suis pas seul, smiley.

Je me demande pourquoi cette piqûre de rappel, cet anniversaire bizarre, c'est le cas de le dire, si ce n’est pas une petite promo pour le i-manuel de survie promis par notre président.

Vous savez comme les petits vieux yoyottent. Dans ce qu’il me reste de comprenette, ce COVID n'était qu’un épisode de plus à cette petite vie de yin et de yang. Juste derrière le service National, et bien après mes années lycée dont on célèbre demain l'arrivée du Courlu, qui tape plus d’un demi siècle de célébration.

Quoique comme beaucoup, ma vie à basculée depuis. Je me suis décidé bien qu’en rab de quelques années de cotisations à prendre ma retraite.
J’ai aussi déménagé suite au second passage du confinement.

Et surtout, vu la vague de complotistes et autres grands amateurs de rumeurs, je ne loupe plus une vaccination, moi qui tremblais depuis toujours sur les piqûres.

En fait j'ai presque tout oublié du confinement, heureusement qu’il me reste une pile de notes  , ça s'appelle surement cela, vieillir heureux.

Voilà demain c'est le courlu, enfin le printemps !
Carpe diem les loulous .















09 novembre, 2024

WAYE-M-SI-HÉ


 Il y a eu une élection aux states, comme on dit aujourd'hui . A première vue mes consoeurs et confrères blogueurs sont plus au jus que bibi, ils en ont causés dans leurs blogs respectifs.

Sorry, j’ai pas suivi, voilà trois semaines que je n’ai plus de box. Orange, dont la couleur ressemble au fameux chiffre 666, a changé un poteau bois dans ma rue pour un nouveau tout ressemblant, même beaucoup plus joli, mais en plastok. Comme ce sont des fusées chez l'agent orange, trois rues sont privées des informations si importantes diffusées par la télévision ou même le net.

Bon j'avais parié qu’il sortirait le blondinet, orange lui aussi, tiens. Je suis donc toujours dans la course pour les turfs clandestins. J'ai un sixième sens pour calculer les cracks et les vrais méchants, donc pas les tatoués, du premier coup d'oeil.

On a beau être de sensibilité deuxgoche, enfin humaniste parce que le mot gauche renifle le communautarisme , il y a un moment où il faut changer ses lunettes si vous ne captez pas comment le monde bouge.
Les priorités sociales ont changé, les minorités ont du mourron à se faire.Pas autant que les migrants. Désormais et jusqu' à dorénavant c'est l'assiette la machine à voter. L'estomac avant les bon sentiments.

Mais revenons aux Ricains et au clip préféré de la campagne de ce guru à casquette rouge. 

YMCA 

Ma mémoire à étincelles m'a rappelé une anecdote savoureuse lors de la sortie de ce morceau en 78.
Ma bande testostéronée de l'époque, noirs blousons et pétaradante bleus, se chamaillait pour interpréter ce disco number one tout un été. Chacun voulait être le flic ou l’indien.
Les mouvements du clip étaient appris par cœur pour flamber en boîte, les looks copiés.
Des vrais groupies. Les loulous chevelus de la cité fantome.

A cette époque proche du néolithique, la panoplie affichée des mœurs n'était pas encore si étendue qu’aujourd’hui.

Voila. 

Un peu plus tard est arrivée LA nouvelle, que je n’ai jamais vérifiée, mais que les danseurs  étaient gay.
Vous auriez vous vu la tête de mes durs à réveiller le matin.
Plus personne ne voulait être l’indien.

Du coup j’ai souri en voyant que le morceau préféré du troll Orange blond à mèche était ce fameux WAYE-M-SI-HÉ. Ce faux jobard est resté coincé en septante huit. Voilà de quoi me faire une note d’actualité.

Puisqu'on cause années quatre vingt et mauvais garçons, j'ai vu les deux toiles du moment sur le sujet et je vais donc vous faire mon critique éclairé. Vu que c'est un domaine où j'ai fait de l'ethnologie.

  • Le premier film "l'amour ouf" qui parle des relations jamais simple entre un tch'o crafleux et une fée clochette. La première partie est superbement interpretée avec deux jeunes plus vrais que mon souvenir. La bande son est une tuerie. La seconde partie un peu trop americanisée, j'allais dire marvelisée et forcément, moins dans mon jus. Je vous spoil pas la fin, mais j'ai jamais rencontré ça, il faut dire que j'ai eu affaire qu'à des affreux du neuf cube.
  •  Le second c'est le très joli "libre" sur prime vidéo , qui m'a plus basculé direct dans les années septante, leurs couleurs et lumières. J'avais déjà kiffé le film précédent  de cette réalisatrice. Mais la, les bracos, les paysages , et cette ambiance époque si bien restituée. J'ai passé un bon moment.
Donc si vous avez prime et que vous voulez du Revival , foncez.




14 octobre, 2024

ROAM IWAK 14#

 

 

Roam. Le mot du jour sur l'incontournable liste IWAK de ce 14 octobre.

Si vous voulez mon avis Errer est tout à fait mon état quand j’allume le poste, je musarde donc d'une chaîne à l’autre cherchant vainement un programme qui retient mon attention.

Je  m’égare donc avec la zapette, jumpant les pubs, mon dieu vous trouvez pas que les encarts de réclames à deux balles se multiplient plus que les écrevisses américaines dans nos rivières ?

Je peux défiler les centaines de canaux de ma Freebox sans vraiment me poser.

Après avoir mangé, lassé, j'abandonne la télécommande au bosco.Hop c'est parti pour déambuler de nouveau sans but sur la mire.

Je vous parle même pas d'aborder le dictionnaire de Netflix ou Prime ou après le sempiternel :

 C'est toujours pareil .

Nous décidons d’arrêter d’errer pour continuer chacun nos lectures.

Je suis sur un roman moyenâgeux où je m'endors après six pages. Mon errance se termine dans les bras de Morphée. Le bosco veille plus tard ,elle est sur le tome deux des histoires d’un médecin légiste qui l’emmène roder tard . J’ai intérêt à compter mes abatis

 Bon assez flâner. A demain pour le ‘GuideBook’


13 juillet, 2024

Intrigants Mappa rouge

 


Avec ce temps maussade, pour ne pas dire pourri, difficile de se croire en été.

Pourtant mon antre est remplie du joyeux brouhaha des mousses.

C'est bien la preuve que l’été est là si la migration des chasseurs de 🦀, collectionneurs de coquillages et autres attrapeurs de pompons est arrivée.

Un peu de remue méninges est excellent pour les croûtons de pirates. J’ai dû planquer tout ce qui coupe et brûle, bricoler à la va vite une ou deux balançoires avec des fortunes de mer.

Les fameuses armes fatales pour les conciliabules d’un monde où les adultes sont bannis.

Vu le temps que ces apprentis de la vie passent dessus, je pense que j’ai réussi et que j'ai encore, gloire, des souvenirs de mon passage chez hukleberry Finn.

Le plus jeune des mousses, m’a fait remarquer lors du dîner , avec la saveur et la franchise matinée de candeur qu'ont les enfants :

Pour un pirate il te manque des dents quand même !!!

Éclats de rire général sur la longue tablée. La vérité sors de la bouche des mômes. C'est la base.

Puis elle est venue me reluquer quand je pratiquais mon activité yoga bi- journalière : la vaisselle.

C’est rigolo la mousse ! On dirait mon bain !

Sur le coup je n’ai pas percuté, mais cette génération, la nième après la Y, ne connaît que le lave vaisselle. Voir un flibustier armé de mappa rouge,


style breaking Bad, attaquer une énorme pile d’assiettes sales est un pestacle que je n’avais pas envisagé, mais qui semble éducatif.

L'univers change plus vite que moi.

En tous cas, avec cette pluie de fin du monde, pas de balançoire ce matin.

Je ne publierai désormais qu’au retour du soleil. On est quand même près du 14 juillet ou presque. Rien depuis Octobre, ça devient un peu long. 

so long, je fatigue aussi, moi. Je vais me poser sur la balançoire, m'humidifier un peu, tiens.



21 décembre, 2023

Veille de Solstice

 


Nous sommes le 21 décembre.

la veille du solstice d'hiver. 

j'étais en pleine vaisselle, mapa rouge , of course, quand mon œil à lâché les profondeurs insondables de la mousse du W5 pour un étrange manège dehors sur ma gauche.

Vous avez vu comment ça déconne à gauche dernièrement ? ou c'est juste mon hémisphère droit qui me raconte nawak ?

Reprenons, déjà hier, chez le vieux, des Corneilles qui faisaient un truc chelou.

Un signe.

mais la Normandie y a toujours eu des trucs space. vikings, Azincourt et tutti quanti.

Non la c'est du sérieux, je lâche mon assiette, qui floque en se camouflant sous la mousse  et je file dehors sur la terrasse.

une pitin de colonie de processionnaires se dirige militairement vers le tapis du clébard.


 

Urticantes et sans vrai prédateur ces joyeusetés sont une plaie pour les enfants et les cabots.

Comme je suis équipé sur le moment façon Dexter, pas d'ADN ni d'empreintes, je te colle une à une ces tueuses dans un sac plastique.

hop gadoue.

la dernière fois je les ai cramées au chalumeau mais cela prend un temps fou.

Leur résistance est incroyable.

La nuit passe. je suis un pirate au cœur tendre. Ou l'enfoiré dieu des chenilles à travaillé mes cauchemars toute la nuit.

Pris d'un remord ce matin, j'ai donc encore un peu de mémoire, je vais chercher le fameux sac pour les libérer lors de ma sortie de Buck près de l'étang.

Soit il continue de pleuvoir, elles se noient. Soit un crapaud affamé va fêter Noël.

On est au pays des fées, quand même.

Le vent s'est levé. rien d'exceptionnel, mais un vent chaud. 

Sur le lot seule la première est cannée en s'immisçant dans le nœud du sac plastique. Libérées sur le talus humide elles seront sauvées ou happées par le ruisseau. A elles de gérer. j'ai suffisamment de décanillage de chenilles pour mon minuscule karma.

Sans dèc, qui a déjà vu des processionnaires fin décembre  ?

Y a une fève dans le potage

Quand j'étais un adorable bambin rose et joufflu, ma grand-mère Lucie disait que les avions à réactions, qui pétaient le mur du son au-dessus du camp de Sissonne, lui niquaient ses couvées.

Mère-grand ils ont fait plus fort. 

Ils ont même crashé les saisons. 

y a pas que les canetons qui vont partir en sucettes.

party over.

Du coup je peux sortir les violons. d'façon, ces deux jumelles sont plus mimi que Mam' Fontaine Hier 👾








20 décembre, 2023

le père 100

 


Il fait encore nuit. Mais je me lève de plus en plus tôt . Au début de ta retraite, si longtemps attendue, surtout quand tu as plongé dans le rab quelques années, la fameuse soif de l’or, tu te dis, c'est cool je vais me permettre une grasse de temps en temps.

Je ne connais qu’un de mes potes de CE2 du parc qui comme moi ne faisait pas de “projets” pour sa retraite.
Un peu usé lui aussi par une vie chargée, mais dans son cas au service des autres, il me disait dernièrement : 

- Rien faire me va très bien.

Je suis bien raccord,
Cent jours.
Voila donc pile le compteur depuis que je ne taffes plus.
Le père 100 comme on disait pendant le service.
Mais à l'époque le calcul était dans l'autre sens.
J'ai mis du temps à réaliser. Ralentir c'est pas simple après quarante sept piges de chagrins.
Mais un branleur dans mon cas, a vite mis un pilotage petit vitesse.


il vaut mieux la machina ne suit plus.
tu constates que le moteur pousse moins, fatigué. Pis des pièces commencent à déconner.

Ma mémoire met les bouts, et mon palpitant ne monte plus les côtes en spad sans évacuer le vacarme du souffle d’un morse

Du coup, ton équipage inquiet de ce râle que tu extirpes en mettant tes chaussures, te pousse à prendre rendez-vous pour des contrôles techniques.
Essayer de choper une date  avant 2025 est un challenge.
On s’en bal ,la peur n’a jamais évité le danger. S’il y a bien un mot que j’ai gardé de mon pote d’enfance rebeu, c'est bien ce  

mektoub 

La fête est bien trop belle pour que ça dure.

Je deviens donc hyperactif.

Je planifie mes journées, longue TODO avec quand même une plage farniente ou lecture qui elle, évidemment ,ne rentre pas dans les cases.

Le temps file beaucoup plus vite que quand tu travaillais. 

La preuve ? Tu ne fais pas grand-chose en plus.
Je déconne. Je cuisine un peu, je viens de tenter mon premier hachis que j’ai glorieusement photographié pour la postérité.

Ou cette magnifique tarte aux pommes en tête de gondole. une vraie réussite.

Je passe aussi une bonne heure et demie à courir , enfin marcher, arpenter le ruban et le sirop d’la rue avec mon vieux Buck qui a encore plus de mal que moi à arquer, et sent encore plus mauvais que ma pomme.

Voila je vais profiter de ma présence sur PC, de moins en moins fréquente, pour décrocher un ou deux trucs de ma page de garde, ou peut être même revoir ma page web. juste laisser la blogroll.  Allez je file je suis débordé

Allez on finit en musique de vioque tiens.







16 novembre, 2023

Frédérico & Bluesky


 

Mon précédent ticket ayant été pris en compte, et rapidement le soir même, je ne peux laisser en tête de gondole ma prose révolutionnaire.
Je suis quand même vachement influent. #smiley.

Ce matin je suis sorti vous prendre une photo de Frédérico.
Ce con soufflait fort difficile de tenir debout.
J'ai fait comme les mouettes je suis rentré au chaud.

La quatrième tempête en bien peu de temps. même si la période est normale, vous me permettrez de trouver le rythme soutenu.

Sinon j'ai reçu, enfin, mon invitation Bluesky.
Comme je suis curieux comme un chat, malgré que j'ai râlé, ce qui est habituel, j'ai tapé l'incruste.

l'affaire des 'Feeds' m'intrigue un peu. je vais creuser le sujet.

En tous cas je ne reproduis pas le comportement twitter. 
pour l'instant je scrute et je zone.
ce qui ne me change pas beaucoup. #smiley.

j'ai donc créer un feed "nawak & météo"


je pense pas qu'il y ai beaucoup de nawak, mais ça m'amuse.
pour créer ces fameux feeds c'est par ici 

et la, la boucle est bouclée,  j'ai trouvé pourquoi je ne tenais pas debout ce matin



14 novembre, 2023

la cerise sur le gâteau


J’avais dit : 

Fontaine je ne boirai plus ton eau…

Mais voilà, les pirates s’ils n’ont qu’une parole, sont surtout des menteurs de première.
Je disais donc :

laisse la vie publique aux jeunes, occupe toi de tes pieds de tomates 🍅.

Seulement les quatre tempêtes successives ont niqué mes plantes..
Ou cet automne qui ne dit pas son nom.
Ils se sont couchés grisonnants  dans une vaste flaque de boue qui s’appelait potager. 

Donc je ne m'en mêle plus , sauf exception qui confirme la règle, quand la connerie politique pousse le bouchon un peu loin.
Désormais abonné aux anciens, j’allume le poste le midi, pour suivre la décomposition du monde en fouillant mes coquillettes jambon.

Donc menu du jour dans le poste

  • La misère augmente considérablement en France
  • Les femmes sont les plus touchées.
  • Augmentation du diabète chez les jeunes
Et la … 

la  cerise 🍒 sur le Gâteau, celle qui m’a fait ressortir ma grogne, jamais enfouie bien loin, pour être honnête :

  • Les tickets restaurant ne pourront plus servir à acheter des ingrédients comme la farine, les pâtes , bref les denrées alimentaires dès 2024.

Excusez moi.

QUELLE BELLE BANDE D’ &@#&€+&&  ! 

Je m’imagine l’avorton de bureaucrate, un de ces bacs plus 23 rentré dans l’administration pour la sécurité de l’emploi, mais tout de même des dents qui rayent un peu pour passer niveau 226 en 2030.
Il rentre de déjeuner de la cantoche de l’assemblée nationale où il a été invité par un élu qui fait du lobbying pour les sandwicheries industrielles, à moins que ce ne soit pour la restauration rapide.
Il a mangé un poulet cocotte façon grand-mère, une vraie réussite, surtout qu'il était invité par ce végétarien d’élu, végan ou croyant ? 
Il se pose rapidement la question, mais l'élude.
Celui-ci a tapé les œufs florentine, il n'est donc pas végétalien !
Donc s’il veut avancer il faut redonner du cash à la malbouffe.
La gamelle maison, dont les produits frais ont été achetés avec des titres restaurant, c'est la fin du petit commerce !
il a cette riche idée. 
C’est pas comme si on avait une inflation galopante, glissée sous le tapis avec la suppression des tickets de caisses, et les jérémiades des milieux autorisés, qui voient la fin du tunnel dans leurs grilles excel comme Madame Irma le bonheur dans sa boule.
Qui aujourd'hui a un repas complet avec son titre restau, sans rajouter à la fin ? Qui ?
Non, un petit branleur veut se faire mousser et la France du bas qui bosse se fait enfiler un peu plus.

Joli , bravo, clap clap.
Mais je n’ai plus de titres déjeuner.
Pourquoi je me mêle ?

Un peuple n’a qu’un ennemi dangereux, c’est son gouvernement comme disait mon saint préféré .

NDLR : toute ressemblance avec des faits existants ne saurait être que fortuite. 
C'est bien connu 
 
 
 [MAJ] 20:55 la mesure permettant  l'achat de produits alimentaires avec des titres restaurant est prorogée  sur 2024. Vite fait aux infos de la chaîne M6 avant que le 🔥 ne se propage.

No comment.













04 novembre, 2023

Une tempête chasse l'autre



Une tempête chasse l'autre, comme une note de rien chasse l'autre.

La dernière ou mon machisme primaire s'est révélé à vos yeux atterrés mérite bien de descendre. 

En fait je dois être sensible aux tempêtes, un genre de sensibilité à la con.

Domingos la ramène.

La troisième bourrasque en pas une semaine et demie.

ce jour ,la mer semble plus mauvaise que pour cirian.

 

Le vent est identique mais cette fois le baromètre est désespéré.

Dans les choux

 


Le vent souffle dans les volets.

Je viens a peine de finir de débiter le mimosa terrasser par l'ouragan Céline.

Je vais m'acheter un groupe.

pis je pense qu'un pété pied m'aidera à ronfler sous mon toit avec tout ce vacarme annoncé.

Après tout on est samedi. 

Bon je remarque que tous ces événements me chauffent le blog, ça publie veugra.

Donc finalement, à quelque chose, malheur est bon.





03 novembre, 2023

Kiakiakiakia-kiakiakiak

 

je voulais vous causer du bannissement de l’écriture inclusive, dans le titre.

Histoire de m’attirer les foudres des néo-maoïstes de la ligue révolutionnaire pour le wokisme uber alles.

Mais je n’ai rien trouvé de bien neuf pour chier sur ce hachage de l'écriture de la langue Française qui m’horripile depuis son invention.

Regardez, un bouseux comme moi, qui n’arrive déjà pas à conjuguer la grammaire d’avoir correctement, balance un mot sur deux en argot ou en verlan et a cotisé aux zéros sur les dictées d’orthographe jusqu’au CM2.

Vous croyez que bibi, dont les genoux ont goûtés de la règle en fer sur le sol du coin ou de la remontée de tête par les pattes je vais me plier devant des points E et tirets S ?

Ma cache walou, pas un kopeck sur ce concept.

Vous voudriez que je me stérilise dans cette écriture lénifiante ?

Désormais je suis dans le club des séniors et non des senior.e.s

Quelle bouffonnerie.

Certains vont dire que je me braque, qu’il faut avancer, que la langue évolue.

Pour sûr que la langue évolue, la voilà matinée rosbeef.

Il est même un peu tard pour s'arc bouter sur l’unité de la nation via le langage.

Diminuer le franglais, c'est une bonne blague. Regardez le nouveau bingo de la Française des jeux, ici en tête de gondole

A trop vouloir favoriser l’espéranto des affaires, l’angliche, vous avez fini par la laisser, notre jolie langue, aux mains des sectes de la ponctuation et autres marchands de rêves.

Les sectes c’est bien connu, c’est juste bon pour maigrir, se suicider ou pomper votre grisbi.

Suicider la langue, pas impossible

Je vous l’ai déjà dit je suis un vieux con. 

je ne pouvais que faire une note, pour une fois que le banquier se fait applaudir.

Mais me direz vous pourquoi ce titre 

 Kiakiakiakia-kiakiakiak 


Et bien rien de plus CFran, et malgré le tiret pas de l’inclusif.

Je débarrasse la table ce midi quand ce cri m’a collé à la baie vitrée.

Quel est cet emplumé, avec ce cri crescendo ?

Il est tout vert, comme mes ex voisines.

Un joli pic vert, enfin un pivert  qui déjeune dans le dinjar.




Trop cool. Hop dans la boîte.

Alors dites moi , les grosses des piverts, c’est des pivert.e.s ?

Allez, j'arrête de picasser, je sens que ça ne rentre pas.

 

01 novembre, 2023

Le plastique c'est fantastique.

 


Le plastique c'est fantastique.

 

Avant la tempête si annoncée on est sorti Buck et moi pour la balade journalière pécho la boule de pain et le canard.

Le journal évoque un gros coup dans l'ouest, et sans le déplier je pense que le vent est concerné.

Vu que je me tiens peinard depuis un moment, smiley.

La boule nous fait deux jours et pas sûr qu'il y ait du pain demain.

Mon voisin qui doit impérativement monter à Guingamp ce jeudi pour le taf a mis sa tronçonneuse dans le coffre. les arbres sont les premiers à morfler dans ces situations.


Un peu, la grande inconnue cette annonce météo, mais le réchauffement n'y est pour rien peut on entendre ici ou la.


Avec le chien, on a fait un grand tour par la côte, ou je me suis livré à mon hobby , le ramassage du plastique échoué. 

Un truc pas concerné par le changement si brutal de climat.


Je n'avais pas planifié, pas pris de sac d'Action.

Erreur de bleu bite.

En quelques criques, je me retrouve les bras chargés d'une quinzaine de bouteilles d'eau minérales. 

En plus, je dois aller jusqu'au bourg, il n'y a pas de bac à marée dans le périmètre.




Au moment de transférer ma récolte dans une poubelle, mon œil est attiré par une étiquette bleue


Taiping, Perak, Malaisie ...


Mince, je cette bouteille a battu le record de celle de ma petite Allemande qui avait fini chez les surfeurs des landes.

Treize mille kilomètres vers la bretagne.

En ligne droite.


Si elle a bifurqué par le cap, en passant devant Port Elisabeth, là, on tape facile les quarante mille kilomètres, grosso modo 25000 miles.

 

Pour être romantique , je me dis que peut-être s'est-elle envolée depuis la plage de Pantai Teluk Segadas




En tous cas avant ce gris qui arrive, cela semble un joli coin.

 

non sans dèc, Le plastique c'est fantastique.


Allez je poste avant l'apocalypse , pas certain s'avoir du jus demain.

restez au chaud. 

un temps à écluser deux trois bouquins tiens !

 

25 février, 2021

La hiérarchie des douleurs

 


Voilà bien deux mois que mon genou gauche me les brise menues.

Bon au début je me suis dit c'est le sucre. Ou un genre de goutte lié à l'abus de ti-punch. Boisson,dont je reconnais volontiers, un certain abus par ces soirées confinées à écouter jacasser des brêles dans le poste.

La douleur ça a une mémoire.

Il y a peu de douleurs identiques. Parlez en aux tortionnaires, comme Jean-Marie il vous expliquera que sinon on tarauderait toujours au même endroit.

Mais avec les zanés ma mémoire est embuée.

Je me rappelle de celle de la clavicule fracassée, avé la turvoi société avant que la ceinture existe. Je me rappelle de celle du bras, pété à la colo d'héry sur Ugine quand un couillon voulait en finir du haut d'un sapin, pour une déception amoureuse. J'ai oublié le nom de ce cave, mais pas le coup d'électricité quand j'ai chuté dans le ravin en reculant sans regarder. Tout ça pour mieux capter la cime de l'arbre et en même temps toutes ces bonnes âmes qui au pied de l'épicéa lui hurlaient de descendre.

Mais le genou ?

Non. Je me rappelle du malaise suite au coup de batte de criquet morflé en pleine caboche par ce con de Vergilles parce que j'avais déniché leur planque au jeu de la collerette. Ça m'avait valu une radio du crâne à l'hosto de Briançon.

Mindieu je me rappelle de l'intensité de presque toutes , mais pas de ce foutu genoux gauche.

Et puis, l'idée c'est imposée quand j'ai voulu monter l'échafaudage des travaux du bateau. Impossible de le lever ce fameux organe en mawashi guerri . J'ai donc abandonné mon pinceau et cherché au fond de mes souvenirs d'où sortait cette douleur. Le mawashi c'est le même mouvement que pour monter à cheval.

A yé. Je l'ai. 

Une souvenir de Leffe qui m'avait écrasé la jambe contre le pare botte sur quelques mètres lors d'une partie de horseball. J'avais été un moment à traîner la guibolle.

Mindieu que j'aimais ce cheval.

Quelle nostalgie j'ai pour l'équitation. On m'avait mis chez cet ex colonel parce que j'étais trop introverti et réservé.

Et bien. Quel résultat.

Tiens puisqu'on cause douleurs et canassons.

Et celle du pouce retourné, tu l'a ?

Quand c'est chaud et que t'a fini de pleurer, tu trouves vite fait un palefrenier qui te le remet bien droit, d'un coup sec et te colle le même onguent qu'on colle au genoux cagneux des vielles carnes.

Tiens c'est cela qu'il faut que je dégotte. Un cataplasme pour rossinante.

Allez, j'ai ma troisième note de février.

Portez vous bien, avec le masque et n'oubliez pas de hiérarchiser vos douleurs ;.)




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24 juillet, 2020

#IZC (In Ze Cluster)

Cent trente quatrième jour d’après.

Ou de #FDM, suivant comme vous le vivez.

c’est pas moi qui fait le décompte. C’est un pro. Ici

j’ai décidé de m’offrir quatre jours de brake.

Ce premier semestre 2020 à été particulièrement tendu, enfin par ici.

Me voila donc parti prendre un bain de mer ou deux. Sortir Buck sur la lande et lire un bouquin ou trois.

Évidemment les bonnes résolutions, c’est comme les todo, on a toujours un grain de sable échappé du camping des flots bleus qui vient mettre le brin.

Le deuxième jour en sortant chercher le pain, je trouve space, pour ne pas dire bizarre tout ces gens masqués dans la rue.

Les gens par ici seraient-ils tous dans mon optique ? Sortons couvert ?

Je me dit quelle chouette ambiance, jusques que je titube sur le mot covid au bar ou je me siffle une mousse le midi en regardant la mer. 

parce que la vraie raison est la, regarder la mer.

bref je me suis fourré dans un cluster.

Je peux vous dire la, comme par enchantement, tout le monde le porte le masque.

Moi je suis passé chez le petit tailleur de la place Edouard VII avant de partir.

Je voulais deux masques, il était en rupture. il me les a retrouvés sous un pile de ben-houses

J’ai eu le nez de lui dire de relancer la machine.

Bon vais je pouvoir rentrer ? Po grave j’ai mon bureau dans le web et la 4G ici est presque meilleure que la fibre d’Aulnay.

Dans l'attente, je vous met un morceau bien que la radio des blogueurs soit confinée ce qui en désole pus d'un

Allez Salut et surtout


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